CHAPITRE 10 Immigration et sécurité : restaurer l'autorité
La France doit rester une terre de droit, mais elle ne peut plus être une terre de désordre. L'immigration doit être maîtrisée, utile, et compatible avec notre capacité d'intégration.

Je renforcerai l'exécution des obligations de quitter le territoire français. Les OQTF seront appliquées systématiquement. Les pays qui refusent de reprendre leurs ressortissants verront leurs visas limités, leurs aides suspendues, et leurs relations réévaluées.

Mais la fermeté ne signifie pas l'hostilité. Notre objectif, à terme, est de permettre aux populations de vivre dignement chez elles. La France redéploiera une partie de son aide au développement pour aider les pays d'origine à se stabiliser, se structurer et offrir des opportunités à leur jeunesse. Il s'agit de soutenir l'autonomie de ces pays, pas de les vider de leurs forces vives.

Nous aiderons ceux qui fuient la guerre ou la répression réelle. Mais nous dirons aussi clairement que l'avenir de ces pays dépend de ceux qui y restent, de ceux qui y reviennent et de ceux qui y investissent.

Une immigration utile, maîtrisée, respectueuse des lois françaises, sera toujours possible. Une immigration incontrôlée, non intégrée, et subie ne le sera plus.

La France doit rester une terre de droit, mais elle ne peut plus être une terre de désordre. L'immigration doit être maîtrisée, utile, et compatible avec notre capacité d'intégration.

Je renforcerai l'exécution des obligations de quitter le territoire français. Les OQTF seront appliquées systématiquement. Les pays qui refusent de reprendre leurs ressortissants verront leurs visas limités, leurs aides suspendues, et leurs relations réévaluées.

Mais la fermeté ne signifie pas l'hostilité. Notre objectif, à terme, est de permettre aux populations de vivre dignement chez elles. La France redéploiera une partie de son aide au développement pour aider les pays d'origine à se stabiliser, se structurer et offrir des opportunités à leur jeunesse. Il s'agit de soutenir l'autonomie de ces pays, pas de les vider de leurs forces vives.

Nous aiderons ceux qui fuient la guerre ou la répression réelle. Mais nous dirons aussi clairement que l'avenir de ces pays dépend de ceux qui y restent, de ceux qui y reviennent et de ceux qui y investissent.

Une immigration utile, maîtrisée, respectueuse des lois françaises, sera toujours possible. Une immigration incontrôlée, non intégrée, et subie ne le sera plus.

CHAPITRE 11 Entrepreneuriat et mérite : libérer la création de valeur
Aujourd'hui, créer une entreprise en France est compliqué, fiscalement décourageant et souvent pénalisé. Je veux que l'entrepreneuriat devienne une voie ouverte, fluide et valorisée.

Je propose une exonération totale de charges pendant les deux premières années d'une nouvelle activité. Les indépendants et TPE seront libérés des obligations fiscales complexes. Un régime ultra-simplifié sera mis en place pour les créateurs d'entreprise, sans comptabilité obligatoire les deux premières années sous un certain seuil.

Les entreprises qui bénéficient d'avantages fiscaux devront verser au minimum 5 pour cent de leur bénéfice net sous forme de primes à leurs salariés. L'entreprise aidée par la collectivité doit partager ses résultats.

La fiscalité sur la transmission d'entreprise sera réduite pour favoriser la reprise par des jeunes actifs. Et l'État créera un fonds public d'investissement pour soutenir les entrepreneurs dans les secteurs stratégiques.

CHAPITRE 12 Écologie souveraine et utile
Je ne veux pas d'une écologie punitive qui interdit, taxe et culpabilise les Français. Je veux une écologie de souveraineté, de modernisation et d'investissement utile.

Le nucléaire restera le cœur de notre stratégie. Il permet de produire propre, stable et pas cher. Je soutiendrai les énergies renouvelables là où elles sont cohérentes : solaire sur les toits, éolien en mer, hydroélectricité.

La rénovation énergétique sera priorisée sur les logements anciens, avec des aides ciblées sur les classes moyennes. Les transports publics régionaux seront renforcés pour réduire la dépendance à la voiture sans l'interdire.

L'écologie doit redevenir un levier d'investissement national, pas un outil de punition sociale.

CHAPITRE 13 Une diplomatie d'indépendance et de coopération
Je veux une France forte dans une Europe forte. Mais je refuse une Europe qui nous impose des règles qui nous affaiblissent. La souveraineté économique, énergétique, et militaire doit être préservée.

La France renforcera ses liens stratégiques avec ses voisins européens, mais sur la base de la coopération, pas de la soumission. Nous devons rester maîtres de notre politique budgétaire, de notre énergie, de nos frontières.

Sur le plan international, la France soutiendra l'indépendance technologique de l'Europe, en particulier face à la Chine et aux États-Unis. Je lancerai un plan d'indépendance pharmaceutique pour produire en France une grande partie de nos médicaments essentiels. Ce sera un enjeu de sécurité nationale.

CHAPITRE 14 École de la République et culture économique
L'école doit redevenir un lieu d'autorité, d'apprentissage réel et de préparation à la vie.
Les savoirs fondamentaux seront remis au centre. Lecture, écriture, calcul, histoire de France.

Dès le collège, les élèves apprendront les bases de la gestion d'un budget, de l'investissement, de l'épargne, du fonctionnement d'une entreprise. Les lycéens recevront une initiation à l'intelligence artificielle et au raisonnement algorithmique.

Je veux une école utile, ambitieuse, structurée. Une école qui donne envie de progresser, pas qui nivelle par le bas.

CHAPITRE 15 Santé : un modèle mixte, juste et équilibré
Notre système de santé est en tension. Les délais explosent, les soignants s'épuisent et les déserts médicaux s'étendent. Il faut un modèle plus efficace, plus souple, mais toujours équitable.

Je maintiendrai un socle public solide. Les plus modestes seront protégés intégralement par l'assurance maladie comme aujourd'hui. Mais au-delà d'un certain revenu, une cotisation complémentaire sera demandée, qui donnera accès à des services renforcés via des structures partenaires ou privées sous contrat.

Ce n'est pas la privatisation. C'est la responsabilisation. Le modèle américain a dérivé dans l'injustice car il reposait uniquement sur la finance. Le nôtre sera différent. On cotise un peu plus quand on le peut. On est protégé quand on ne peut pas.

Le reste à charge sera plafonné pour tous. Aucun Français ne devra renoncer à se soigner pour des raisons financières. Mais chacun devra aussi participer à la hauteur de ses moyens.

Ce système mixte permettra d'investir plus efficacement dans les soins, sans peser sur les seuls actifs du moment. Il sera piloté avec rigueur et transparence.