Ne pas CONSIDÉRER l'épisode 3 de la saison 7 de Black Mirror comme un chef-d'oeuvre = LOW IQ

OP
KI

kikesa

il y a 5 jours

Comme ça c'est dit
[O

[OwO]

il y a 5 jours

Il fait partie des pires épisodes de la série, y'a absolument rien qui va, technologie merdique, trop long, les acteurs à chier, toute l'histoire qui repose sur "on peut pas la déconnecter" https://image.noelshack.com/fichiers/2019/22/4/1559206820-atade.png
OP
KI

kikesa

il y a 5 jours


Il fait partie des pires épisodes de la série, y'a absolument rien qui va, technologie merdique, trop long, les acteurs à chier, toute l'histoire qui repose sur "on peut pas la déconnecter" https://image.noelshack.com/fichiers/2019/22/4/1559206820-atade.png

Hop là premier low iq

Il ne comprend rien à la sensibilité artistique de l'épisode ni au message véhiculé

"y a absolument rien qui va, technologie merdique" en quoi ?

"trop long" en quoi ?

"les acteurs à chier" c'est vrai que l'actrice principale est pas terrible, mais les acteurs vintages sont excellents

L'histoire ne repose pas sur "on peut pas la déconnecter"

D4

Douglas4055

il y a 5 jours

C'est lequel juste pour résumer ?
_C

_CaraMail_

il y a 5 jours


C'est lequel juste pour résumer ?

OP
KI

kikesa

il y a 5 jours


C'est lequel juste pour résumer ?

L'hôtel rêverie, une histoire d'amour profondément bouleversante.

L'autre low iq dit que la technologie est "merdique" ? Mais justement, c'est là toute la force de l'épisode.
Ce n'est pas une technologie lisse, futuriste et propre à la San Junipero, non. C'est une techno bancale, presque réaliste dans son imperfection, un prototype à peine maîtrisé. Et c'est exactement ce que Black Mirror fait de mieux : montrer une technologie plausible dans son usage dysfonctionnel, un peu comme dans White Bear ou The Entire History of You. Ce n'est pas censé être séduisant, c'est censé être inquiétant.

Il dit que l'épisode est trop long alors que justement cette lenteur est un choix. Le cinéma est un art. C'est la tension qui monte, lentement, comme une angoisse qu'on ne peut pas éteindre. L'épisode prend son temps parce qu'il te met dans la même position que les personnages : coincés, sans échappatoire. Le rythme te pousse à ressentir l'étouffement, le désespoir progressif, et c'est précisément ça qui le rend si viscéral.

Les acteurs à "chier" livrent une performance toute en retenue. Pas d'hystérie hollywoodienne, pas d'exagération. Leur jeu est tout en tension contenue, en regards qui en disent long, en silences lourds. Et c'est cohérent avec la direction de l'épisode : ce n'est pas un drame flamboyant, c'est une descente lente dans l'impuissance morale et émotionnelle. Après oui, l'actrice principale a des expressions explosées parfois, mais ça la rend plus "humaine" comparée aux IA "parfaites".

Et ton “on peut pas la déconnecter”, comme si c'était un truc bidon ? C'est LE cœur du malaise. Cette phrase toute simple, "on peut pas la déconnecter", c'est pas juste un prétexte. C'est une métaphore puissante sur l'irréversibilité des choix technologiques et moraux. On a créé un truc, on ne sait plus comment l'arrêter, et maintenant on vit avec les conséquences. C'est pas un plot hole, c'est le message. Puis y a un tout autre message derrière l'épisode ; une histoire d'amour entre humain et IA. La conscience ; comment est-elle interprétée ou reproduite ?

L'épisode prend des risques. Il montre ce qui arrive quand l'humain joue avec des outils qu'il ne comprend pas, puis s'en lave les mains. Il est imparfait, oui. Comme le monde qu'il reflète.

_C

_CaraMail_

il y a 5 jours

Il faudrait déjà que je finisse la saison 6
OP
KI

kikesa

il y a 5 jours


Il faudrait déjà que je finisse la saison 6

Regarde la saison 7, osef tu reprendras la 6 plus tard