NOFAKE: J'ai couché avec une Japonaise
15 messages
Mise à jour: il y a 9 mois
ForomorFou
il y a 9 mois
Ouais nan je vais pas lire ton pavé chatgprout
Fou_Fighters
il y a 9 mois
Tu devrais éditer ce post en bouquin, ta japoniaiserie fera fureur
SaddamHussein5
il y a 9 mois
résumé du prompt : il a rêvé d'avoir baisé une japonaise
Snoop_Small
il y a 9 mois
ANOUK la famoso Belge
- Une Nuit à Bruges**
Sous les étoiles scintillantes et les rues pavées de Bruges, la magie de la ville semblait capturer l'âme de ceux qui la traversaient. Les canaux miroitants reflétaient les lumières dorées des lampadaires, créant une ambiance féerique. Les vieilles bâtisses de briques et les flèches des églises se dressaient majestueusement, témoins silencieux de siècles d'histoire.
C'est là que je l'ai vue pour la première fois. Anouk, une femme à la beauté douce et mystérieuse, se tenait près d'un café au bord de l'eau. Ses cheveux châtains ondulaient sous la brise légère, et son sourire illuminait son visage. Nos regards se croisèrent, et un éclat de curiosité passa dans ses yeux.
Je m'approchai, attiré par une force inexplicable. "Bonsoir," dis-je avec un sourire, tentant de masquer ma nervosité. Elle répondit par un sourire chaleureux.
"Bonsoir," dit-elle, sa voix douce avec cet accent belge chantant. "Vous êtes touriste, n'est-ce pas ?" Sa question était posée avec une pointe de malice.
Nous avons commencé à parler, d'abord de banalités, puis de choses plus profondes. Elle me parla de Bruges, de ses canaux et de ses légendes, et moi, de ma fascination pour la Belgique, pour son mélange unique de cultures et d'histoires. Chaque minute passée en sa compagnie était un trésor, chaque sourire échangé un joyau.
La nuit avançait, et nous nous trouvâmes bientôt dans le Minnewaterpark, le parc de l'Amour, sous les saules pleureurs qui se reflétaient dans l'eau calme du lac. Nous marchions lentement, nos pas en synchronie, comme si nous avions répété cette danse des milliers de fois.
"Je veux te montrer quelque chose," dit-elle soudain, sa main effleurant la mienne. Elle m'entraîna vers un petit pont de pierre, presque caché par la végétation luxuriante. Là, au milieu du pont, elle s'arrêta et leva les yeux vers le ciel.
"Regarde," murmura-t-elle. Je levai les yeux et vis des milliers d'étoiles brillant dans le ciel clair. C'était un spectacle d'une beauté à couper le souffle.
"Merci," chuchotai-je, profondément ému. Elle se tourna vers moi, ses yeux brillants de mille émotions.
"C'est une nuit que je n'oublierai jamais," dit-elle doucement. Elle s'approcha et posa délicatement ses lèvres sur les miennes. Ce baiser, doux et tendre, semblait contenir toute la magie de Bruges, toute la beauté de cette nuit.
Mais soudain, tout changea. Un bruit strident retentit, et la scène autour de moi commença à se dissiper, comme de la fumée emportée par le vent. Les rues pavées, les canaux, même Anouk, tout disparut lentement.
Je me réveillai en sursaut, le cœur battant. J'étais dans ma chambre d'hôtel, à Bruges, seul. Le silence était assourdissant. Le rêve avait été si réel, si vibrant. Mais ce n'était qu'un rêve.
Je me levai et ouvris la fenêtre. La ville dormait encore, paisible. En me retournant, je vis sur la table une petite boîte en bois. Curieux, je l'ouvris. À l'intérieur, une miniature d'un cygne en cristal scintillait doucement, rappelant les cygnes gracieux du Minnewaterpark.
Je souris, le cœur serré mais reconnaissant. Peut-être que, d'une certaine manière, Anouk avait vraiment existé, même si ce n'était que dans un rêve. Et cette nuit à Bruges resterait gravée en moi, une romance éphémère mais inoubliable.
Snoop_Small
il y a 9 mois
- Une Nuit à Paris**
Sous les lumières scintillantes et les rues pavées de Paris, la magie de la ville semblait capturer l'âme de ceux qui la traversaient. Les bouquinistes le long de la Seine, les terrasses animées des cafés, et la majesté de la Tour Eiffel créaient une ambiance romantique incomparable. Les vieilles bâtisses haussmanniennes se dressaient fièrement, témoins silencieux de siècles d'histoire.
C'est là que je l'ai vue pour la première fois. Magalax, une femme d'une beauté atypique, se tenait près d'un stand de crêpes, une baguette sous le bras et un béret vissé sur la tête. Ses cheveux châtains tombaient en douces vagues sur ses épaules, et son sourire illuminait son visage malgré une certaine négligence dans son apparence. Nos regards se croisèrent, et un éclat de curiosité passa dans ses yeux.
Je m'approchai, attiré par une force inexplicable. "Bonsoir," dis-je avec un sourire, tentant de masquer ma nervosité. Elle répondit par un sourire chaleureux et un léger hochement de tête.
"Bonsoir," dit-elle, sa voix douce avec cet accent français mélodieux. "Vous êtes touriste, n'est-ce pas ?" Sa question était posée avec une pointe de malice.
Nous avons commencé à parler, d'abord de banalités, puis de choses plus profondes. Elle me parla de Paris, de ses secrets et de ses légendes, et moi, de ma fascination pour la France, pour sa culture et son histoire. Malgré une légère odeur de tabac et d'autres effluves moins agréables, chaque minute passée en sa compagnie était un trésor, chaque sourire échangé un joyau.
La nuit avançait, et nous nous trouvâmes bientôt sur les quais de la Seine, la rivière illuminée par la lueur de la lune. Nous marchions lentement, nos pas en synchronie, comme si nous avions répété cette danse des milliers de fois.
"Je veux te montrer quelque chose," dit-elle soudain, sa main effleurant la mienne. Elle m'entraîna vers un petit pont, le Pont des Arts, célèbre pour ses cadenas d'amour. Là, au milieu du pont, elle s'arrêta et leva les yeux vers le ciel.
"Regarde," murmura-t-elle. Je levai les yeux et vis des milliers d'étoiles brillant dans le ciel clair. C'était un spectacle d'une beauté à couper le souffle.
"Merci," chuchotai-je, profondément ému. Elle se tourna vers moi, ses yeux brillants de mille émotions.
"C'est une nuit que je n'oublierai jamais," dit-elle doucement. Elle s'approcha et posa délicatement ses lèvres sur les miennes. Ce baiser, doux et tendre, semblait contenir toute la magie de Paris, toute la beauté de cette nuit.
Mais soudain, tout changea. Un bruit strident retentit, et la scène autour de moi commença à se dissiper, comme de la fumée emportée par le vent. Les rues pavées, les quais de la Seine, même Magalax, tout disparut lentement.
Je me réveillai en sursaut, le cœur battant. J'étais dans ma chambre d'hôtel, à Paris, seul. Le silence était assourdissant. Le rêve avait été si réel, si vibrant. Mais ce n'était qu'un rêve.
Je me levai et ouvris la fenêtre. La ville dormait encore, paisible. En me retournant, je vis sur la table une petite boîte en bois. Curieux, je l'ouvris. À l'intérieur, une miniature de la Tour Eiffel en cristal scintillait doucement, rappelant la nuit magique.
Je souris, le cœur serré mais reconnaissant. Peut-être que, d'une certaine manière, Magalax avait vraiment existé, même si ce n'était que dans un rêve. Et cette nuit à Paris resterait gravée en moi, une romance éphémère mais inoubliable.
Snoop_Small
il y a 9 mois