Non mais quand je dis ça, je parle des métiers en tension qui prennent même les gens qui ont des trous de 5 ans dans le CV.

ça dépend, go fibre, ça prenais a une époque pas mal de monde pour te dire
les meilleurs sont passé en auto a se prendre de gros salaire et les moins bons sont restés en cdi a se prendre 1700 - 1800 par mois

Salut la prime de Noël était délicieuse. Si vous avez un discord ou un telegram de khey parasite je suis preneur, si quelqu'un a une freebox je le paye 3€/mois pour un petit service pas illégal

Des gros bisous et on prie pour que les 15h entrent pas en action

comme suppression de l'ASS
j'ai toujours entendu ça depuis sarkosy .. tous les gouvernement compris.

Je suis inscrit a pole emploi depuis des annees... obligatoire meme a l'epoque pour toucher le rsa !

Les personnes en retraite devront effectuer aussi 15h obligatoire, si moins de 75 ans 10h si moins de 80 ans, d'aides scolaires ou aides aux enfants handicapé, ou garde des enfants des RSA qui seront obligés eux mêmes de faire les 15h en emplois en tension

Macron et sa droite vont ouvrir France-Retraite-Active.

Seront exonérés les personnes en Ehpad, et les bénéficiaires de l'Apa (Allocation personnalisée d'autonomie) Gir 1 , 2 et 3

aussi aides en entreprises : formations des jeunes apprentis

on peut pas donner le rsa*
tu t'est tromper dans ta phrase !

Ca arrive bientôt les rsaistes

Reforme repoussé a 2027 + suppression de poste a france travail

ARTICLE COMPLET :

C'est une réforme qui ne tombe pas au meilleur moment... En plein rebond du chômage, des plans sociaux et des restrictions budgétaires, le gouvernement Bayrou hérite d'un dossier empoisonné : la mise en oeuvre des 15 heures ou 20 heures d'activité obligatoires par semaine en contrepartie du RSA.

Annoncée depuis 2023 et imaginée alors que l'emploi repartait, la généralisation de cette nouvelle contrainte concernant actuellement 1,2 million de bénéficiaires, laisse planer aujourd'hui un certain flou. Pire, une potentielle bombe à retardement pour les départements chargés de la gestion de cette prestation sociale et contraints de mettre des moyens pour accompagner la mise en oeuvre de cette mesure controversée.

Trois décrets d'application censés encadrer l'esprit de ce dispositif décliné localement ont été publiés au Journal Officiel ce mardi 31 décembre. D'autres doivent encore paraître, notamment celui sur les modalités des sanctions (suspension de tout ou partie du RSA) appliquées en cas de refus ou de non-respect.

Un travail, une formation ou du bénévolat

Déjà repoussé d'un an, le compte à rebours de la généralisation sur tout le territoire de ce principe de donnant-donnant - une allocation contre une activité - commence donc normalement en janvier. Si 49 départements ont déjà lancé des expérimentations auprès de 70 000 allocataires avec des résultats encourageants (54 % d'entre eux ont accédé à un emploi dans les douze mois, selon les premiers bilans), 52 départements, soit plus de la moitié, doivent encore se mettre en ordre de marche.

Le calendrier devrait s'étaler jusqu'en 2027 à en croire Thibault Guilly, initiateur de la réforme et actuel directeur de France Travail. « La réforme sera progressive puisque nous avons deux ans pour proposer un accompagnement rénové aux actuels bénéficiaires » a-t-il déclaré dans une interview à La Tribune du 29 décembre.

France Travail, qui entend coordonner l'ensemble des acteurs, sera le principal maître d'oeuvre de cette mesure emblématique, inscrite noir sur blanc dans le cadre d'un nouveau « contrat d'engagement » signé par chaque bénéficiaire. Les territoires devront, avec les acteurs locaux de l'insertion, définir localement la liste des activités proposées. Quant à l'accompagnement des bénéficiaires, il pourra être fait par des travailleurs sociaux, des agents des missions locales ou des conseillers de France Travail.

Pas comptabilisés en chômeurs de catégorie A

Il s'agit d'inciter les bénéficiaires à s'engager dans des activités professionnelles, de formation, d'insertion ou du bénévolat. « Ces heures d'activité ne sont pas une condition à l'octroi d'une allocation mais un élément du contrat d'engagement », insiste l'opérateur public. Cette durée minimum de 15 heures pourra être abaissée ou supprimée en fonction de la situation personnelle de chacun (problèmes de santé, parent isolé sans solution de garde...) et au vu des dispositifs locaux mis en place. Quant aux personnes qui travaillent déjà, comme les indépendants ou les agriculteurs, une adaptation est prévue qui « devra tenir compte de leur disponibilité et de leurs besoins ».

En attendant que l'ensemble des départements s'y mettent, dès ce 1er janvier tous les allocataires du RSA seront désormais inscrits automatiquement à France Travail, contre 40 % aujourd'hui. Face au risque statistique d'une augmentation mécanique des statistiques du chômage, le gouvernement a imaginé la parade en créant deux nouvelles catégories de demandeurs d'emploi (F et G) qui ne seront pas comptabilisés dans les chiffres officiels, la fameuse catégorie A.

Les syndicats inquiets du manque de moyens

C'est un moyen « d'identifier toute personne dépourvue d'emploi pour lui proposer un accompagnement rapide », répond le patron de France Travail. En catégorie F, seront ainsi inscrits tous ceux qui nécessitent une prise en charge comme le logement, la garde enfant, la santé... Et en G, toutes les personnes en attente de parcours d'accompagnement. De là à créer la polémique. « On ne joue pas avec les chiffres », se défend Thibault Guilly.

Plusieurs syndicats de France Travail tirent la sonnette d'alarme. FO réclame même l'abandon de la loi. Avec l'inscription automatique des bénéficiaires du RSA, les conseillers se demandent comment ils vont pouvoir gérer cet afflux massif d'un nouveau public en insertion. « Sur le terrain, on craint une explosion des portefeuilles des collègues sans moyens supplémentaires », s'alarme un responsable syndical.

La question des moyens de France Travail sera d'ailleurs au coeur des prochains arbitrages budgétaires. Selon le projet de budget envisagé sous le gouvernement Barnier, un sérieux coup de rabot était appliqué sur son enveloppe. Au total l'opérateur devait perdre l'équivalent de 883 postes.

Cet article est paru dans Le Parisien (site web)