Nous sommes le 29 Novembre 2024 à 22h14, il fait froids et la quasi totalité de mes frères guerriers sont tombés au combat

Je sors faire ma promenade quotidienne afin de m'aérer l'esprit et ne pas écouter les murmures hypnotiques de mes boules les suppliants d'être purgée

Étant dans une petite ville et la nuit étant tombée mes chances de croiser quelqu'un sont très minces, minces, pas comme le fiak de la jolie jeune fille venant de passer devant moi

Une jeune femme faisant du jogging un soir d'hiver à 22h passé. Serait-ce un mirage fruit de mon esprit profondément corrompu ou un signe du destin ? J'apercois ses fesses bouger au ralenti en fasse de moi. Gauche, droite, gauche, droite. Impossible de détourner ce putain de regard

Mon rythme cardiaque accélère, mon souffle se coupe, le temps semble avoir ralenti. Il n'a du s'écouler que 3 secondes tout au plus depuis que ce boule s'est imposé à moi mais dans ma tête il s'était écoulée des saisons entière comme si un mangekyô Sharingan s'était discrètement abrité entre ses deux fesses

Soudain une pulsion de vie apparu, une sorte de miracle ou la rédemption de l'âme semble transcender toute forme d'impureté ou la tentations et vices sont rois. Je m'arrêtera et détourna le regard pendant 10 bonnes secondes afin de laisser la jeune femme partir, ma main poser sur mon coeur et mon âme hurlant toute les valeurs patriotiques de courage et loyauté que le no nut november m'avait enseigné jusqu'à là. je ne peut pas me laisser abbattre

Je repris ma marche et reregardi en face et c'est avec le plus grand effroi possible que je constata que tout les malheurs que j'avais expérimenté de ma naissance jusque là n'était que des illusions. La femme s'était arrêtée pour faire ses lacets, le boule bien tendu et luisant prêt à être dévoré par ma libido féroce dont l'appétit était semblable à celle d'un lion parcourant les contrées sauvages apercevant une jeune brebis

Mon esprit était figé et mes jambes avançait toute seule, me rapprochant progressivement de ce fiak si exotique ou les courbes me rappelait celles des montagnes sur lesquels s'écoulait l'eau, un véritable paradis tropical dans lesquels les plus beaux secrets de ce monde était enfoui. Une utopie à part entière était très certainement enfoui en ces fentes regorgeant de mystère qui n'attendait qu'à être découverts, en cet instant je me senti d'âme aventurière étant devenu le nouveau Christophe Colon

Je continue ma marche de façon automatique et passa à côté de la jeune femme découvrant son visage. Une femme située aux alentours de 25ans dont le visage rendrait n'importe quel gay en rut, un équilibre parfait entre chaque trait qui composent son visage, des yeux verts émeraudes, des légères tâches de rousseurs sous les yeux, une bouche légèrement pulpeuse et affinée à la fois et même un menton merveilleusement bien dessinée moi qui était de base indifférent à ce détail fut en cet instant fasciné

Alors que je pensais le désir à son paroxysme mon regard jeté à sa poitrine me fit comprendre que l'effervescence hormonale me parcourant n'avait pas encore commencée. J'avais crus avoir finis le dessert alors que je n'en étais qu'à l'entrée

Cette femme était à la fois fine mais avec une poitrine énorme qui était à deux doigts de toucher le sol, la jeune femme étant penchée en avant afin de finir ses noeuds. Cet angle parfait me permis de comprendre l'étendu des beautés en ce monde. Combien de milliards de galaxies composent ce monde ? Je n'en sais rien mais je suis persuadé qu'en cet univers infini je suis précisément situé au plus bel endroit que le monde ait connu rendu toute contingence jaloux de mon honorable placement

Ses seins absolument énormes et biens proportionnés étaient une entrave directe même à la notion d'importance car plus rien n'a de valeur quand des seins remuant comme ça expriment si violement leurs existences au monde. Mon coeur fus à deux doigts de lâcher et c'est quand j'eu l'espoir naïf de croire que le supplice allait se terminer que la voluptueuse sorti une bouteille d'eau qu'elle se mis à boire frénétiquement, faisant par erreur s'égarer quelques gouttes légèrement à cotées de sa bouche glissants progressivement sur son menton avant de se déposer sur ses seins

Une goutte, deux gouttes, trois gouttes. Ses énormes seins se retrouvaient progressivement trempés semblable à nouveau à une cascade se déversant sur les plus belles montagnes des îles paradisiaques. L'exotisme de son boule n'était qu'un échantillon de la révélation que furent ses seins dont l'ampleur ferait trembler la folie des grandeurs elle même. À la vue de ses loches les concepts de ce monde s'entrechoquaient et la logique n'existait plus. Si la vie était une personne elle serait actuellement rivée et tourmentée face aux énormes seins remplis d'eau de cette inconnue dont la simple présence suffirait à rebâtir des nouvelles lois à notre univers

Face à ce chaos hormonal mon esprit lâcha et je hurla à la mort

RAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAARGG !!!!!!

et juta une première fois, 3 litres quittèrent instantanément mon corps et traversèrent mon pantalon qu'ils avaient par ailleurs désormais teintés de blanc, pas le temps de réaliser ce qu'il se passe je lâcha un deuxième hurlement au moins 20x plus violent que le précédent

RAAAAAAAAAAAAAAAAAAGAGAGAAGAAAAAAAAAAAAAAAAAAHRRRGGGGGGH !!!!!!!!!!!!!

Je ne pus même pas retrouvé un tant soit peu la moindre molécule d'oxygène que je fut envahit d'un souffle suprême

MOUHAHAHA YOUHOUUUUUUU !!!

À cet instant le ne fut ni mort ni vivant, même la prise simultanée de toute les drogues du monde n'aurait pus me provoquer un état de transcendance aussi grand. Les 2 premières éjaculations fut douloureuses mais celle-ci me pleongea dans un monde de douceur ou la béatitude comble les coeurs et où les âmes ayant trop endurées peuvent trouver le repos et réconfort dont elles avaient besoins

J'ouvris les yeux et alors que je pensais être une âme errante face au porte du paradis je me trouva face à ma voisine femme de ménage de 50ans remplis de spermes avec des inondations dans ma ville. L'abstinence prolongée m'avait juste fait perdre la tête et un tant soit peu idéaliser le corps féminin de la ménagère en surpoids, ridée et dont la moitié des dents étaient parties. Depuis le début de ce pavé vous m'avez suivi jouir devant une femme obèse