On dit qu’il ne faut pas être violent
4 messages
Mise à jour: il y a 6 mois
Kalizo
il y a 6 mois
Résumé :
Dans une dictature, où les dirigeants sont violents et répriment les citoyens, certains voient la violence comme un dernier recours pour se faire entendre et résister. Ils se sentent pris entre se soumettre ou risquer la révolte, questionnant comment transmettre leur souffrance quand l'État les opprime. Historiquement, des figures comme Socrate, Jésus, ou William Wallace incarnent cette lutte, montrant qu'affronter le pouvoir est parfois inévitable pour défendre la liberté.
Sangriaa
il y a 6 mois
Je devrais être pote avec chat Gpt, il dit des choses plus intelligentes que les êtres humains. Mais ça manque de goût quand même
Kalizo
il y a 6 mois
Du coup mon avis :
La société même actuelle magnifie la violence. C'est la violence entre individu qui est vivement critiqué, au profit de la violence d'Etat (judiciaire, policière). C'est une sorte de sous traitance de la violence par des "spécialistes", avec la conviction que cela sert le bien commun (et à mon avis c'est le cas). Ce qui est lourdement condamné c'est la violence pulsionnelle, individuelle, incontrôlable.
Cela dit, on ne manque pas de références à la révolution française, et il existe une mythologie de la violence du peuple contre les élites / contre l'oppresseur dans la plupart des pays occidentaux.
Et les peuples qui se lèvent contre l'oppression en utilisant la violence sont souvent considérés de façon positive par l'opinion publique (printemps arabe par exemple)
Et sans parler de la violence culturelle, dans les films, le JV ou le sport. La violence est vue comme un exutoire, voir un produit de consommation. Quelque chose que l'on s'interdit mais que l'on regarde avec délectation.
Sangriaa
il y a 6 mois