On est en FEVRIER 2025 (quasi), toujours AUCUN bon FILM...
9 messages
Mise à jour: il y a un mois
Dobby-leTamoul
il y a un mois
ogo_AntiOldfagg
il y a un mois
TheLonesomeMan
il y a un mois
Dobby-leTamoul
il y a un mois
T'as qu'a demander à ta reum de jouer dans un porno
Elle ferait un carton dans la catégorie Granny
KheyouAdorbale
il y a un mois
Cette uniformité crasse des productions audiovisuelles contemporaines me sidère. Séries comme longs-métrages reproduisent inlassablement les mêmes schémas narratifs, comme s'ils puisaient à une même fosse sceptique d'inspiration. Cris hystériques, larmes télécommandées, pathos à jet continu - un déluge d'émotions factices destiné à masquer l'indigence scénaristique.
Comment peut-on ignorer cette mécanique éculée ? Ces simulacres dramaturgiques où chaque conflit se résout en hurlements, chaque révélation en crise de spasmes, chaque dialogue en joute vocale ? Le prétendu "scénario" n'est plus qu'un prétexte à déverser des litres de sueur émotionnelle, compression JPEG d'humanité passée à la moulinette algorithmique.
Le plus vertigineux reste cette hypnose collective. Assistons-nous à une lobotomie par binge-watching ? Les mêmes archétypes rapiécés, les mêmes climax préfabriqués, et personne ne semble percevoir cette résonance nécrotique. L'industrie a transformé l'art de raconter en usine à clichés sous stéroïdes, et le public applaudit mécaniquement, réclamant sa dose d'adrénaline synthétique.
Cette boucle infernale d'ersatz émotionnels ne m'émeut plus - elle m'épuise. Chaque nouvel épisode ressemble au vomi d'un IA ayant ingurgité 70 ans de télé-réalité. Où est passée l'audace ? La nuance ? La capacité à troubler sans marteler, à émouvoir sans manipuler ? Nous méritons mieux que ce cirque d'automates hurlants.
Dobby-leTamoul
il y a un mois