Paris m'a TOUT pris
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Mise à jour: il y a 3 mois
PulpFriction
il y a 3 mois
Oui, telle est mon histoire. Paris, la ville des lumières, la ville de l'amour, la ville de la culture, la ville de la mode. Tant de clichés pour décrire cette ville qui semble attirer tant de gens. Pourtant, pour moi, Paris est devenue la ville de la mort, la ville de la folie, la ville de la désolation. Depuis que je suis venu ici pour poursuivre mes études, ma vie a pris une tournure sombre et sinistre. J'ai perdu toute joie de vivre, toute énergie, toute passion. Je suis devenu un être vide, brisé, consumé par la douleur.
Tout commence dès que je descends les escaliers pour prendre le métro. Le vertige cognitif me saisit, les masses marchent de façon automatique, la mort dans l'âme. Les odeurs de pisse fermentée m'envahissent, la foule me presse, les panneaux publicitaires me crient des messages de consommation effrénée. Tout cela crée en moi un sentiment de dystopie, un sentiment de cancer. La vie en IDF n'a pas d'autre but que de fracasser la santé mentale des hommes.
Pourtant, je ne suis pas un être fragile. Avant de venir ici, j'étais normal, sociable, avec un hippocampe et un cortex préfrontal sans doute dans la moyenne. Mais depuis que je suis à Paris, je me suis transformé en un être paresseux et effrayé, hanté par la mentalité des gens, l'immobilier, la mixité culturelle et l'insécurité.
Je ne peux plus sortir sans être pris de panique, sans me sentir agressé par les clodos, sans subir les micro-agressions répétitives. Je suis un serf dans cette ville féodale, un esclave du système capitaliste qui m'a pris mon âme et mon identité.
Chaque jour, je suis pris dans une routine aliénante : trois heures de transport par jour, un boulot qui ne me procure aucune satisfaction, une pause déjeuner qui ne suffit pas à me ressourcer, un retour chez moi tard le soir. Je suis épuisé, déprimé, en colère. Je crie dans ma chambre, j'ai des accès de rage, je rêve de tout détruire.
Pourtant, je ne peux pas partir, je suis piégé ici. Je suis en proie à une force obscure, une aura perverse qui m'est sensible mais pas intelligible. J'ai exploré toutes les hypothèses, de la psychologie à la parapsychologie en passant par l'axiologie, mais rien ne peut expliquer ce phénomène.
Je suis condamné à vivre dans cette ville de malade, à subir la vie en cage parisienne, à perdre peu à peu toute humanité. Je ne peux que crier ma douleur, ma haine, ma tristesse. La vie n'a plus de sens pour moi, je suis déjà mort'ent.
Cousin-Babar
il y a 3 mois
trop chiant à lire avec tes tournures de Jean-Grammaire.
PulpFriction
il y a 3 mois
trop chiant à lire avec tes tournures de Jean-Grammaire.
Retourne sur Tiktok le low
hslg
il y a 3 mois
Oui, telle est mon histoire. Paris, la ville des lumières, la ville de l'amour, la ville de la culture, la ville de la mode. Tant de clichés pour décrire cette ville qui semble attirer tant de gens. Pourtant, pour moi, Paris est devenue la ville de la mort, la ville de la folie, la ville de la désolation. Depuis que je suis venu ici pour poursuivre mes études, ma vie a pris une tournure sombre et sinistre. J'ai perdu toute joie de vivre, toute énergie, toute passion. Je suis devenu un être vide, brisé, consumé par la douleur.Tout commence dès que je descends les escaliers pour prendre le métro. Le vertige cognitif me saisit, les masses marchent de façon automatique, la mort dans l'âme. Les odeurs de pisse fermentée m'envahissent, la foule me presse, les panneaux publicitaires me crient des messages de consommation effrénée. Tout cela crée en moi un sentiment de dystopie, un sentiment de cancer. La vie en IDF n'a pas d'autre but que de fracasser la santé mentale des hommes.
Pourtant, je ne suis pas un être fragile. Avant de venir ici, j'étais normal, sociable, avec un hippocampe et un cortex préfrontal sans doute dans la moyenne. Mais depuis que je suis à Paris, je me suis transformé en un être paresseux et effrayé, hanté par la mentalité des gens, l'immobilier, la mixité culturelle et l'insécurité.
Je ne peux plus sortir sans être pris de panique, sans me sentir agressé par les clodos, sans subir les micro-agressions répétitives. Je suis un serf dans cette ville féodale, un esclave du système capitaliste qui m'a pris mon âme et mon identité.
Chaque jour, je suis pris dans une routine aliénante : trois heures de transport par jour, un boulot qui ne me procure aucune satisfaction, une pause déjeuner qui ne suffit pas à me ressourcer, un retour chez moi tard le soir. Je suis épuisé, déprimé, en colère. Je crie dans ma chambre, j'ai des accès de rage, je rêve de tout détruire.
Pourtant, je ne peux pas partir, je suis piégé ici. Je suis en proie à une force obscure, une aura perverse qui m'est sensible mais pas intelligible. J'ai exploré toutes les hypothèses, de la psychologie à la parapsychologie en passant par l'axiologie, mais rien ne peut expliquer ce phénomène.
Je suis condamné à vivre dans cette ville de malade, à subir la vie en cage parisienne, à perdre peu à peu toute humanité. Je ne peux que crier ma douleur, ma haine, ma tristesse. La vie n'a plus de sens pour moi, je suis déjà mort'ent.
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PulpFriction
il y a 3 mois