ce combat grotesque dès le début de l'épisode donne le ton, en effet. je rejoins ce qui a été dit par un autre khey, sur le budget consacré à la réalisation qui est grandiose sur tous les plans : des décors superbes, une ambiance géniale, et c'est bien la seule raison de s'intéresser à cette purge. bella ramsey est imbuvable, elle joue mal, provoque malaise et envie de lui botter le train (même si je conçois que l'activité nécessiterai d'y passer quelques heures pour en faire le tour, à condition de chausser du 47)

la propagande lgbt qui s'installe dès la fin de ce premier épisode autour de ce même personnage indésirable n'aide pas à nous convaincre des qualités de cette déesse au visage inachevé. c'est dommage, ils auraient tourné ça sur fond vert dans le studio de webedia, ça aurait laissé un peu de monnaie pour investir dans un vrai scénario et des acteurs qui soient un peu plus crédible. la scène de combat contre l'infecté qui devient soudainement plus malin que les autres était un peu prévisible. le procès qui en découle, qui souligne une fois de plus que les femmes sont bien évidemment capables de faire comme les hommes (globalement : tout comme les hommes, mais en mieux, c'est ce qu'il faut retenir) l'était beaucoup moins. il a tout de même le mérite de rajouter une petite touche de propagande intolérable au cas où certains dans l'audimat n'en auraient pas déjà eu l'overdose

la première saison avait frappé un grand coup avec son épisode spécialement dédié aux deux cowboys qui aiment bien se taper dans la motte (un épisode d'une heure sur une saison qui en compte dix, ça fait 10%, c'est beaucoup), mais ce premier épisode de la saison suivante annonce du très grand mendez