Pavé sur mes problème de santé...

OP
K3

Khey378

il y a un jour

Je m'explique vite fait  : je raconte mon histoire concernant ma santé. Appartenant au groupe sanguin O+ et née prématurément, étant petit j'étais un peu fragile niveau santé, mais rien de méchant. Je me fais retirer les amygdales à mes 7ans , et puis plus rien jusque mes 20 ans où je suis contrainte de prendre, et encore à ce jour, des antiacides, du à un reflux gastrique…

Je menais jusque-là une vie normale sans trop de problème de santé, puis un jour tout a basculé… Après avoir été en contact avec une IST, du à ma vie de jeune en action (j'avais à ce moment-là 26 ans)… Je pars donc chez mon médecin traitant, et lui parle de mes symptômes et donc nous detecton effectivement une ist , assez courante je fut traité et analysé jusqu'à disparition complète de la "bactérie" qui au passage m'avais était transmis par une fille facile, je la soupçonne même d'avoir prémédité la contamination, enfin bref, je suis malgré les résultats sanguins normaux pas complètement rassurer, donc je décide de pousser les recherches avec mon médecin traitant et effectue de nombreux test ect tout en parallèle étant assez bête je recommence à avoir des rapports non protégés avec une seconde partenaires, puis pris dans un élan hypocondriaque, je vais voir mon médecin en étant persuadé d'être contaminé par une autre ist, j'ai fait de nombreux test a se sujet j'ai était jusqu'à faire une cystoscopie en passant par me faire palper les boules par des vieux radiologue, et me mettre à poil et me faire touché le zizi a toutes mes consultations avec de nombreux spécialistes divers et variés jusqu'à une analyse m'étant revenu, avec écrit en gras, que je n'étais pas protégé contre l'hépatite b chose sant doute normal car je ne mettait jamais fait vacciner, toujours dans mon élan hypocondriaque je demande au médecin de me vacciner contre l'hépatite b et c'est à ce moment que les problème se sont aggravé,

Je ne comprenais pas comment mon médecin avait été réticent à l'idée de faire ce vaccin, jusqu'à me faire une grimace, lorsque je lui ai demandé de me l'administrer  ; j'ai fini par comprendre…

Ayant reçu 3 doses de vaccin, j'ai, quelques temps après la première injection (environ 2 semaines), senti mon cœur dont les battements ont commencé à devenir perceptibles au point de me faire une petite secousse à chaque battement, pour ensuite me bloquer le mollet, puis ensuite avoir des maux de crâne, des impatiences, des tremblements, des vertiges, des faiblesses musculaires, des cheveux cassants. En parallèle, je continuais de voir le médecin après être vacciné, et il m'envoya chez tous les spécialistes  : cardiologue, rhumatologue, neurologue, angiologue, et j'en passe… Ça a duré bien 3 ans pour au final m'entendre dire, que je n'avais rien, en tout cas de décelable dans les analyses courantes et que probablement tout ça était dans ma tête, pour finalement après 4 ans d errence médical ou j'ai couru partout pour guérir, après l'injection de se vaccin, personne ne m'a rien donné j'ai donc par moi même tenté de me guérir par les compléments en vitamine l'arrêt du sucre, la marche marathonienne l'arrêt de la viande, l'arrêt de l'eau du robinet, et en général éviter les produits transformés et j'ai bien sûr plus bu une goûte d'alcool et j'ai commencé à jeûner, je mangé qu'une fois par jour et parfois je jeûner 7 ,5 jours à plusieurs reprises, je consommé beaucoup de gingembre curcuma en jus pur de la propolis bref des produits"naturel" mais la médecine n'avais pas encore dit sont dernier mots, car d'après les médecins il fallait que je consulte un psychiatre, et après avoir raconté rapidement mon parcours médical au psychiatre il en déduit que je suis dépressif anxieux généralisé et me donne des AD anxiolytiques et fini par me donner des antipsichotiques ayant constaté ensemble, des idée bizarre émanant de mon cerveau, "des délire" il note que je suis en pleine psychose...

Mais pour mon médecin traitant, je n'ai aucune maladie, du moins aucune lésion visible, "rien d'organique", mais le psychiatre soupçonne à plusieurs reprises une schizophrénie, qui n'est à l'heure actuelle toujours pas diagnostiquée, car aussi je n'entends pas de voix…

Cependant, j'ai arrêté tous mes traitements anxiolytiques, AD et antipsychotiques. Je suis donc sevré de tout ça, alors que je suis censé les prendre… Je note que ma libido monte en flèche depuis l'arrêt de ses traitements. J'ai par ailleurs demandé au psychiatre si j'étais pas "autiste", je lui ai demandé 3fois, il me répond non à chaque fois. Pourtant, je suis pas très sociable, voire de moins en moins depuis tout ça…

Je suis actuellement en train de monter un dossier MDPH dont je ne sais toujours pas s'il sera accepté, vu qu'on ne sait pas ce que j'ai mise à part soi-disant "l'anxiété généralisée", qui bizarrement me force à adopter une hygiène quasi irréprochable. Et malgré tout, je ressens toujours des symptômes comme des maux de tête, l'impression d'avoir une excitabilité musculaire, des énervements incontrôlables et parfois des palpitations, notamment au repos, de l'insomnie, de l'irritabilité, des vertiges, etc. D'après eux, rien d'alarmant, mais je continue malgré tout à un peu m'inquiéter…

Je préfère ne pas trop prendre les traitements ou alors avec parcimonie et tente tant bien que mal à me soigner naturellement le plus possible en évitant les excès en toute chose, mais c'est compliqué…

Voilà, donc je ne travaille pas, étant inapte socialement du à une timidité quasi maladive et à des comportements inadaptés. Bizarrement, je ne fais rien de mal, mais souvent les gens sont mal à l'aise en ma présence. Plus d'une fois, j'ai essayé de m'insérer, mais le patron finissait par me virer rapidement sous prétexte que j'étais "trop lent", alors que la vérité en est sûrement tout autre…

Du coup, j'ai compris que travailler ce n'était pas pour moi, je ne ressens pas le bénéfice d'aller travailler à l'usine, je me sens plus épanouie à me soigner chez moi, d'autant plus qu'il m'est arrivé plusieurs fois des évanouissements au travail, notamment lors de réunions, étant quelque part agoraphobe… J'ai du mal avec les gens, une personne à la fois ça va, mais trop de monde autour de moi qui me regarde, mon cerveau ne suit pas et, comme je ne fuis pas et que je reste, mon système de survie me fait m'évanouir… Heureusement que ça ne m'arrive pas à chaque fois, mais pour vous donner un indice, lorsqu'il y a trop de monde dans une salle d'attente, je suis mal à l'aise. Aujourd'hui, ça va mieux, mais il m'arrive encore de quitter la salle d'attente et d'attendre là où il n'y a personne…

Sans compter que mes symptômes sont toujours présents, moins grâce aux soins, mais toujours présents. Du coup, quand je vais travailler, mes muscles fatiguent vite, j'ai des petits vertiges. Je peux bien sûr marcher pendant des heures sans m'arrêter, mais lors d'efforts intenses, je faiblis vite, donc les travaux qu'on me propose sont souvent des travaux physiques, et sur le long terme, je ne suis plus en mesure de tenir. Du coup, j'ai zappé l'idée de travailler et je suis au RSA, par obligation malheureusement. Ayant une maladie invisible, je ne suis pas reconnu, donc c'est difficile pour moi de travailler, mais pour eux je ne suis pas handicapé, je n'ai rien…

Du coup, ayant travaillé déjà 7 ans et eu plusieurs projets, j'ai toujours travaillé, encore aujourd'hui, mais plus pour la même chose. Aujourd'hui, mon travail, c'est de me régénérer, de préserver ma santé qui a été salement impactée par cet empoisonnement que j'ai subi, d'étudier, de me cultiver, d'écrire, de m'intéresser à l'art, à la science, de sortir respirer l'air pur d'une forêt, de me balader, de voir la famille ou de voir des amis pour ceux qui sont encore là…

Sinon, oui, j'ai toujours de la libido, et je vis bien malgré tout, car la pureté, il n'y a rien de meilleur. Certes, avec plus d'argent, ça serait mieux, plus facile, mais même comme ça, j'arrive à vivre décemment ; avec un peu plus, ça serait mieux, car chaque jour, je fais travailler mon cerveau, je crée, j'invente, je réfléchis… Bien sûr, je me divertis aussi énormément, mais en soi ce n'est pas abrutissant, car j'évite de me polluer l'esprit avec des contenus pourris…

Prendre soin de soi, c'est tout un art, surtout quand on est malade, et encore plus si on est pauvre et malade… Maladie invisible, je le rappelle…

Aucun produit cosmétique, pas de dentifrice  : la salle de bain est vide, et même se laver 1 fois par semaine, c'est beaucoup, car, dans mon cas, je suis tout le temps propre, et cela sans me laver, car c'est un mode de vie…

L'eau du robinet est toxique, pour ça qu'elle coule, a flow, tu croyais quoi  ?

Donc même se baigner dans cette eau n'est pas sain, il faut y aller le moins possible, mais par contre, lavez-vous les mains plusieurs fois dans la journée.

Vivez, amusez-vous, apprenez, partagez.

OP
K3

Khey378

il y a un jour

Alors oui, il m'arrive malgré tout cela de m'amuser et de profiter de la vie, que ce soit avec des amis autour d'un verre, avec une copine pourquoi pas, mais il y a un temps de reprise important dans mon cas : lorsque je suis dans l'abu, je suis contraint de vite me reprendre en main avant que ma santé déraille, donc je joue entre profiter, m'amuser et faire attention à sa santé…

Donc, j'ai plus ou moins des périodes où je me lâche un peu, puis d'autres où je fais très attention. De toute manière, ce sont des manières de vivre à adopter en général, comme éviter l'eau du robinet, les fast-foods à outrance, l'alcool, la drogue, la fainéantise, et éviter les produits chimiques transformés, préférer laver le sol avec de l'eau citronnée ou trouver une autre alternative.

Les parfums déodorants, tout ça, c'est toxique ainsi que les crèmes, etc. Prenez directement l'aloé vera bio, puis vous préparez vos soins. J'ai compris, grâce à tout ça, qu'il vaut mieux profiter du naturel, c'est merveilleux.

Aujourd'hui, je bois un café bio sans sucre, sans lait, je trouve ça beaucoup meilleur qu'avec du sucre, qui finalement ne fait que masquer le vrai goût du café… Je continue les conneries, mais je fais gaffe quand même et je rajoute à mon alimentation des produits détoxifiant ; puis je jeûne souvent, donc ça me permet de maintenir un équilibre entre moi et la maladie, de pouvoir kiffer sans pour autant se détruire… J'aime de plus en plus les choses pures, simples, brutes, comme un fromage AOP, un jus de myrtilles sauvages bio, un shot de gingembre pur, un café sans sucre sans lait, de la propolis. de la gelée royale, des fruits frais, des herbes fraîches, des légumes frais, des graines, des olives, de l'huile d'olive, de l'ail, du citron, du jus de grenade, un peu d'huile de coco, du jus de coco. Si vous mettez ça dans vos aliments, vous pouvez manger presque ce que vous voulez, car vous avez déjà une alimentation hypotoxique, donc ça crée un équilibre. Prenez des probiotiques, de la propolis, des vitamines C, des fruits, des légumes bio, et vous pouvez manger ce que vous voulez  : tout est une question d'équilibre.

-T

-Tangerine-

il y a un jour

Au final t'as une vie plus heureuse que la mienne.
OD

Odorante

il y a un jour

Soit tu troll soit tu pense réellement que quelqu'un vas en avoir quelque chose à foutre au point de lire ton pavé. Dans le deuxième cas c'est affligeant autant de naïveté.
OP
K3

Khey378

il y a un jour

On sait jamais si ça parle à quelqu'un... même ne serait-ce qu'une personne, ça serait déjà pas mal, on se sentirait déjà moins seul dans la même situation et ça fait toujours du bien...
CW

CanadaWet6

il y a un jour

Ouais en gros t'as rien quoi, quelle indécence
FF

French-Friesed

il y a un jour

J'ai lu même pas la moitié et j'ai compris que tu as la maladie de la prise de tête et te créer tes propres problèmes dsl si l'autre moitié dis le contraire mais tu as pas l'air d'en valoir la peine tu dois faire pas mal de mal autour de toi
N1

nsss1

il y a un jour

Pas lu mais suis avec toi