Mais ce n'est pas la faute des jeunes générations qui arrivent sur le marché ni des aides sociales qui sont données pour compenser la perte de travail le problème. Mais bien le fait qu'on vive aujourd'hui dans un pays soviétique.

La rentabilité du capital investi est de moitié de ce qu'elle est dans tous les autres pays de la zone Euro. Et cela pour la simple et bonne raison que le coût du travail est exorbitant et qu'on vient en plus y rajouter un nombre de prélèvements directs complètement abusifs et confiscatoires.

On peut dénoncer le patronat et le grand patronat pour ses écartes abyssales de salaires, mais à un moment donné il va peut être falloir se poser la vraie question de comment on peut accepter que plus de la moitié de la richesse générée par ce pays est captée par l'État.

Comprenez qu'entre la France et l'URSS la seule différence qu'il n'y a pas besoin d'une brigade du Politburo pour venir nous faire les poches.