Petit TEXTE littéraire et Dépressif sur mon VOYAGE en THAILANDE
32 messages
Mise à jour: il y a 23 jours
Onvientdeloin
il y a 23 jours
On aurait un peu dit du Houellebecq. La même main minérale de la société de consommation semble branler votre bite flacide.
MortJeune57
il y a 23 jours
Enculator_2
il y a 23 jours
ridicule
pkoi tu dit sa
Enculator_2
il y a 23 jours
C'est cool.
On aurait un peu dit du Houellebecq. La même main minérale de la société de consommation semble branler votre bite flacide.
euh je saisis pas trop l'image véhiculée par ton commentaire dsl
Onvientdeloin
il y a 23 jours
euh je saisis pas trop l'image véhiculée par ton commentaire dsl
C pas grave
Malus
il y a 23 jours
Enculator_2
il y a 23 jours
le texte est eclatax
pkoi
Uvas_Blancas_02
il y a 23 jours
Enculator_2
il y a 23 jours
le pavé bordelent. jamais je lis ça khey. balance-nous plutôt des culs de thaïlandaises
wallah t'es paresseux ma gueule...
Jean-mich-much
il y a 23 jours
MichaelMcCann
il y a 23 jours
LJDV_Moth
il y a 23 jours
Cette terre exotique, où les vessies et les lanternes chinoises se confondent dans un joyeux capharnaüm, s'était d'abord présentée à moi comme un mirage d'Éden, un exutoire païen où l'Occidental venait s'étourdir d'oubcu que ce voyage serait un adieu nécessaire, une étape à franchir pour faire table rase des rêveries juvéniles, comme un chrétien résolu quitte le péché pour l'ascèse. Mais me voilà de retour. Mes constructions mentales, élevées avec soin, se sont effondrées comme des échafaudages de carton. Ce retour n'est qu'une fuite en arrière, une procrastination de l'âme, lourde d'amertume.
La pensée envahissante surgit, tenace : « Ils sont bouddhistes, tout s'explique. Ici, la chaleur fait fondre les dieux et l'inquiétude ; on vit dans un paradis où tout semble permis... » Bangkok, ville de torpeur et de vertige, se dévoile comme un fast-food sans porte de sortie, une antre où les effluves nauséeuses vous endorment d'un long sommeil.
Et puis ce phénomène étrange, ce Gong imaginaire qui résonne à quelques pas du Wat Phra Kaeo. Une vibration, une plénitude suspendue, un instant mystique. Était-ce le mirage d'une âme étrangère ou une remémoration enfouie ? Et moi, piéton solitaire, je longeais ces trottoirs où les portraits d'un roi débauché se dressaient, témoins silencieux d'une adulation feinte. Bangkok défilait sous mes pas, vieux quartier décharné, fleuve poisseux, silhouettes métalliques des gratte-ciels, ces prodiges d'une technicité improbable fondue dans l'étreinte tropique.
C'est un monde en négatif : même population, mêmes chiffres qu'une France inversée. Ici, l'été est un hiver étouffant, les chedis remplacent les clochers, la circulation se fait à gauche. Tout semble miroir et décalque sans raccord, une terre flottante dépourvue d'ancrage.
Pourtant, une étrange harmonie règne ici, mystérieuse et troublante. J'avais mentionné un prurit mental, mais je succombais à l'envoûtement des fresques des temples. La vie du Bouddha, ses renaissances successives déployées du sol au plafond. Ce bouddhisme, qui parle à l'enfant tapi en chacun de nous, m'invitait à envisager l'enfance comme une existence antérieure. Une boucle infinie où l'Asie se rêve elle-même dans le vortex éternel du samsara. Ici, le Bouddha vivant remplace l'idole figée, la jungle luxuriante appelle au recueillement, et les autochtones, discrets et bienveillants, incarnent une grâce presque sacrée.
Et Koh Phangan... Cette île au charme sauvage, refuge d'une nature qui chante et enfle dans un crescendo divin. Les oiseaux et grillons mêlaient leurs voix au déluge tropical, comme si la terre elle-même babillait d'innocence. Jamais ailleurs je n'avais assisté à un tel spectacle, cette amplification des formes et des sons, cette nature démiurgique qui semble à chaque instant créer l'art.
Enculator_2
il y a 23 jours
C'est pas trop mal écrit mais tu racontes rien khey, mets du contenu un peu
je raconte l'ambiance...
Theravaada
il y a 23 jours
Jean-mich-much
il y a 23 jours
je raconte l'ambiance...
Oui ben ça suffit pas, du coup, c'est chiant
Enculator_2
il y a 23 jours
Le 11 janvier, dix heures sonnantes. Bangkok m'accueillait dans ses tourbillons moites, ses odeurs lourdes et suffocantes, mélange de friture et d'encens, de bitume et de chair humaine. Et pourtant, chaque fois que je prononçais le nom de cette ville devant des oreilles européennes, une gêne sourde m'étreignait. « La Thaïlande est le fast-food des touristes », m'avait lancé un ami, sa phrase vibrante de mépris. Que pouvais-je répondre à cela ? Rien, sinon un silence vexé.
Cette terre exotique, où les vessies et les lanternes chinoises se confondent dans un joyeux capharnaüm, s'était d'abord présentée à moi comme un mirage d'Éden, un exutoire païen où l'Occidental venait s'étourdir d'oubcu que ce voyage serait un adieu nécessaire, une étape à franchir pour faire table rase des rêveries juvéniles, comme un chrétien résolu quitte le péché pour l'ascèse. Mais me voilà de retour. Mes constructions mentales, élevées avec soin, se sont effondrées comme des échafaudages de carton. Ce retour n'est qu'une fuite en arrière, une procrastination de l'âme, lourde d'amertume.
La pensée envahissante surgit, tenace : « Ils sont bouddhistes, tout s'explique. Ici, la chaleur fait fondre les dieux et l'inquiétude ; on vit dans un paradis où tout semble permis... » Bangkok, ville de torpeur et de vertige, se dévoile comme un fast-food sans porte de sortie, une antre où les effluves nauséeuses vous endorment d'un long sommeil.
Et puis ce phénomène étrange, ce Gong imaginaire qui résonne à quelques pas du Wat Phra Kaeo. Une vibration, une plénitude suspendue, un instant mystique. Était-ce le mirage d'une âme étrangère ou une remémoration enfouie ? Et moi, piéton solitaire, je longeais ces trottoirs où les portraits d'un roi débauché se dressaient, témoins silencieux d'une adulation feinte. Bangkok défilait sous mes pas, vieux quartier décharné, fleuve poisseux, silhouettes métalliques des gratte-ciels, ces prodiges d'une technicité improbable fondue dans l'étreinte tropique.
C'est un monde en négatif : même population, mêmes chiffres qu'une France inversée. Ici, l'été est un hiver étouffant, les chedis remplacent les clochers, la circulation se fait à gauche. Tout semble miroir et décalque sans raccord, une terre flottante dépourvue d'ancrage.
Pourtant, une étrange harmonie règne ici, mystérieuse et troublante. J'avais mentionné un prurit mental, mais je succombais à l'envoûtement des fresques des temples. La vie du Bouddha, ses renaissances successives déployées du sol au plafond. Ce bouddhisme, qui parle à l'enfant tapi en chacun de nous, m'invitait à envisager l'enfance comme une existence antérieure. Une boucle infinie où l'Asie se rêve elle-même dans le vortex éternel du samsara. Ici, le Bouddha vivant remplace l'idole figée, la jungle luxuriante appelle au recueillement, et les autochtones, discrets et bienveillants, incarnent une grâce presque sacrée.
Et Koh Phangan... Cette île au charme sauvage, refuge d'une nature qui chante et enfle dans un crescendo divin. Les oiseaux et grillons mêlaient leurs voix au déluge tropical, comme si la terre elle-même babillait d'innocence. Jamais ailleurs je n'avais assisté à un tel spectacle, cette amplification des formes et des sons, cette nature démiurgique qui semble à chaque instant créer l'art.
wallah c'est chat gpt ? ah ils sont fort ces ricains de la silicon valley... bon c'est encore plus pompeux bizarrement...
Enculator_2
il y a 23 jours
J'en peux plus des topics sur la Thaïlande
d'où ton pseudo ?
Theravaada
il y a 23 jours
d'où ton pseudo ?
Oui, enculator
DeSilvaAlbert
il y a 23 jours
Enculator_2
il y a 23 jours
ça donne envie
c'est ironique ?
Grandesdents
il y a 23 jours
Grandesdents
il y a 23 jours
Enculator_2
il y a 23 jours
Le 11 janvier, dix heures sonnantes. Bangkok m'accueillait dans ses tourbillons moites, ses odeurs lourdes et suffocantes, mélange de friture et d'encens, de bitume et de chair humaine. Et pourtant, chaque fois que je prononçais le nom de cette ville devant des oreilles européennes, une gêne sourde m'étreignait. « La Thaïlande est le fast-food des touristes », m'avait lancé un ami, sa phrase vibrante de mépris. Que pouvais-je répondre à cela ? Rien, sinon un silence vexé.
Cette terre exotique, où les vessies et les lanternes chinoises se confondent dans un joyeux capharnaüm, s'était d'abord présentée à moi comme un mirage d'Éden, un exutoire païen où l'Occidental venait s'étourdir d'oubcu que ce voyage serait un adieu nécessaire, une étape à franchir pour faire table rase des rêveries juvéniles, comme un chrétien résolu quitte le péché pour l'ascèse. Mais me voilà de retour. Mes constructions mentales, élevées avec soin, se sont effondrées comme des échafaudages de carton. Ce retour n'est qu'une fuite en arrière, une procrastination de l'âme, lourde d'amertume.
La pensée envahissante surgit, tenace : « Ils sont bouddhistes, tout s'explique. Ici, la chaleur fait fondre les dieux et l'inquiétude ; on vit dans un paradis où tout semble permis... » Bangkok, ville de torpeur et de vertige, se dévoile comme un fast-food sans porte de sortie, une antre où les effluves nauséeuses vous endorment d'un long sommeil.
Et puis ce phénomène étrange, ce Gong imaginaire qui résonne à quelques pas du Wat Phra Kaeo. Une vibration, une plénitude suspendue, un instant mystique. Était-ce le mirage d'une âme étrangère ou une remémoration enfouie ? Et moi, piéton solitaire, je longeais ces trottoirs où les portraits d'un roi débauché se dressaient, témoins silencieux d'une adulation feinte. Bangkok défilait sous mes pas, vieux quartier décharné, fleuve poisseux, silhouettes métalliques des gratte-ciels, ces prodiges d'une technicité improbable fondue dans l'étreinte tropique.
C'est un monde en négatif : même population, mêmes chiffres qu'une France inversée. Ici, l'été est un hiver étouffant, les chedis remplacent les clochers, la circulation se fait à gauche. Tout semble miroir et décalque sans raccord, une terre flottante dépourvue d'ancrage.
Pourtant, une étrange harmonie règne ici, mystérieuse et troublante. J'avais mentionné un prurit mental, mais je succombais à l'envoûtement des fresques des temples. La vie du Bouddha, ses renaissances successives déployées du sol au plafond. Ce bouddhisme, qui parle à l'enfant tapi en chacun de nous, m'invitait à envisager l'enfance comme une existence antérieure. Une boucle infinie où l'Asie se rêve elle-même dans le vortex éternel du samsara. Ici, le Bouddha vivant remplace l'idole figée, la jungle luxuriante appelle au recueillement, et les autochtones, discrets et bienveillants, incarnent une grâce presque sacrée.
Et Koh Phangan... Cette île au charme sauvage, refuge d'une nature qui chante et enfle dans un crescendo divin. Les oiseaux et grillons mêlaient leurs voix au déluge tropical, comme si la terre elle-même babillait d'innocence. Jamais ailleurs je n'avais assisté à un tel spectacle, cette amplification des formes et des sons, cette nature démiurgique qui semble à chaque instant créer l'art.
sérieux t'as utilisé quoi ?
GusFringale
il y a 23 jours
Theravaada
il y a 23 jours
c'est ironique ?
Arrêtez de pourrir la Thaïlande. J'ai DDB
Enculator_2
il y a 23 jours
Parfaitement illisible, t'en fais des tonnes on dirait que tu utilises un dico de synonymes
mais non, aucun dico de synonyme k'est-ce qui te fait dire ça... y'a des images, une recherche sur la musicalité, ou disons des analogies (prurit-consPUER-effluves-etc...)
Gyropetard
il y a 23 jours
Je comprends pas pourquoi vous cherchez à écrire si visiblement vous en avez rien à foutre de la littérature voire la haïssez au point où vous aimez tomber dans tous les clichés éculés sans prise de recul
Merci
GusFringale
il y a 23 jours
Puis putain le seul style identifiable c'est la maladie des temps modernes " phrase non verbale sans sujet pour donner une impression de lassitude et de candeur " vu 1000 fois depuis Céline, on en PEUT PLUS
" Peu d'arguments vraiment sérieux à lui opposer. "
" Un cliché en négatif. "
" Aucune continuité, aucun lien, un pure décalque en négatif. "
Putain mais quelle horreur, et TOUT le paragraphe suivant est écrit comme ça, AUCUNE ENERGIE. Et il y a même pas le point-virgule de Houellebecq pour faire semblant d'en avoir quelque chose à foutre de ce qu'on écrit. Lisez vos textes à voix haute par pitié, ça vous empêchera de nous sortir ces espèces de notices Ikea
Enculator_2
il y a 23 jours
Je comprends pas pourquoi vous cherchez à écrire si visiblement vous en avez rien à foutre de la littérature voire la haïssez au point où vous aimez tomber dans tous les clichés éculés sans prise de recul
clichés ? j'ai parlé des ladyboys, des plats épicés ou de la box thaï ? soyons sérieux svp...
Enculator_2
il y a 23 jours