Petit TEXTE littéraire et Dépressif sur mon VOYAGE en THAILANDE

OP
E_

Enculator_2

il y a 23 jours

Arrivée le 11 Janvier 10h00 à Bangkok. Toujours un peu honte d'annoncer aux autres que je vais là-bas… la Thaïlande c'est devenu le macdo du tourisme, disait un ami. Peu d'arguments vraiment sérieux à lui opposer.
Le paradis exotique où s'enchevêtrent allègrement vessies et lanternes chinoises, décor édénique et défouloir hédoniste me semblait, durant l'année précédente, pouvoir se résumer à un accident de parcours; moment nécessaire aussi, ultime adieu à l'imaginaire juvénile dont il m'appartenait de faire le deuil définitif, comme le chrétien pénitent transiterait du stade esthétique au stade religieux. Mais j'y suis revenu. Mes constructions mentales se sont lamentablement effondrées. Retour en arrière, énième procrastination, grande amertume. « Ils sont bouddhistes, tout s'explique, il fait chaud c'est pour ça, quand on vit au paradis on peut se le permettre, plus de dieu à adorer ni à craindre, etc etc… » le prurit mental s'est imposé de lui-même. On est peut-être au macdo, mais un macdo sans issue, dont les effluves parfois nauséeuses vous endorment en quelques heures et pour longtemps. Une nouvelle fois, l'évènement inaugural et mystérieux que j'avais connu lors de mon précédent voyage, au même endroit, à près de 500 mètres du grand temple Wat Phra Kaeo: la vibration imaginaire du Gong qui me traverse, comme Neil Armstrong entendait, parait-il, les minarets de la lune avant sa conversion à l'Islam; l'irradiation, la plénitude flottante. Je marche sur le trottoir de cette avenue sur laquelle s'alignent les portraits d'un roi débauché et silencieusement conspué. Puis je me ballade dans le vieux Bangkok, puis dans le Bangkok moins vieux, jusqu'au fleuve d'où surgissent sur l'autre rive les grattes-ciels, notre monde en négatif, l'improbable technicité fondue sur les tropiques par la chaleur écrasante.
Un cliché en négatif. Les mêmes archétypes, d'une autre couleur. Même taille et même population en chiffres que la France. Mais été en hiver, chedis à la place des églises, circulation à gauche, pays jamais colonisé. Aucune continuité, aucun lien, un pure décalque en négatif. Non pas un voyage, mais un désancrage.
Une harmonie troublante semble régner dans ce pays. Et dans cette culture. Je parlais de prurit mental; impossible de résister à l'envoûtement des peintures murales dans les temples. La vie de Bouddha. Ses vies antérieures, qui s'étalent du sol au plafond. L'imagerie du paradis terrestre. Plus que toute autre croyance, le bouddhisme s'adresse à l'enfant qui git en nous, et nous fait envisager l'enfance comme vie antérieure. D'où un sentiment global de déjà-vu; rêver l'Asie, c'est rêver ce qui tourne en rond, s'incliner passivement devant le vortex du samsara. L'archétype prend la place de l'idole, comme la nature de Bouddha, enfouie en chacun, prend la place du bouddha historique. Le voyageur se trouve dès lors confronté au doute torturant d'entre ce qui relève de la réminiscence du précédent voyage, ou de l'ivresse enfantine suggérée par une alchimie opaque. Séduction provenant aussi du hiatus admirable entre l'évidence qui se représente, le bouddha souriant dans la jungle, la nature édénique, et la pudeur des autochtones. L'intelligence entendue, compassionnelle, exact contraire d'un racolage démonétisant, caractéristique de bien des cloaques dévastés par le surtourisme.
Koh Phangan. Ile de 10000 habitants située dans le golfe de Thaïlande, elle est depuis une trentaine d'années le relais de ce que fut Goa dans les années 60. Et ça se comprend. Même si toute prise de drogue y est illégale et surtout, inutile. Les pisse-froids de la civilisation, ceux qui doutent encore de l'évidence que la nature, en certains lieux du globe, puisse imiter l'art, feraient bien d'aller y faire un stage de quelques semaines. Deus sive natura, enfance démiurgique de la nature qui crée des formes et communique en infralangage. Chant des oiseaux et des grillons, babillage naïf; déluge tropical soudain, enfant qui s'effondre en pleurs. Nul part ailleurs, dans mes diverses pérégrinations, qu'elles soient proches ou lointaines, n'ai-je été confronté à un tel spectacle d'amplification…
ON

Onvientdeloin

il y a 23 jours

C'est cool.
On aurait un peu dit du Houellebecq. La même main minérale de la société de consommation semble branler votre bite flacide.
MJ

MortJeune57

il y a 23 jours

ridicule
OP
E_

Enculator_2

il y a 23 jours


ridicule

pkoi tu dit sa

OP
E_

Enculator_2

il y a 23 jours


C'est cool.
On aurait un peu dit du Houellebecq. La même main minérale de la société de consommation semble branler votre bite flacide.

euh je saisis pas trop l'image véhiculée par ton commentaire dsl

ON

Onvientdeloin

il y a 23 jours

euh je saisis pas trop l'image véhiculée par ton commentaire dsl

C pas grave

MA

Malus

il y a 23 jours

le texte est eclatax
OP
E_

Enculator_2

il y a 23 jours


le texte est eclatax

pkoi

UB

Uvas_Blancas_02

il y a 23 jours

le pavé bordelent. jamais je lis ça khey. balance-nous plutôt des culs de thaïlandaises
OP
E_

Enculator_2

il y a 23 jours


le pavé bordelent. jamais je lis ça khey. balance-nous plutôt des culs de thaïlandaises

wallah t'es paresseux ma gueule...

CN

CelestinNain

il y a 23 jours

wallah t'es paresseux ma gueule...

Frère on est fatigué là https://image.noelshack.com/fichiers/2016/47/1480081450-ris42.png

JM

Jean-mich-much

il y a 23 jours

C'est pas trop mal écrit mais tu racontes rien khey, mets du contenu un peu
MM

MichaelMcCann

il y a 23 jours

Aère moi tout ça et peut être que je lirai
LM

LJDV_Moth

il y a 23 jours

Le 11 janvier, dix heures sonnantes. Bangkok m'accueillait dans ses tourbillons moites, ses odeurs lourdes et suffocantes, mélange de friture et d'encens, de bitume et de chair humaine. Et pourtant, chaque fois que je prononçais le nom de cette ville devant des oreilles européennes, une gêne sourde m'étreignait. « La Thaïlande est le fast-food des touristes », m'avait lancé un ami, sa phrase vibrante de mépris. Que pouvais-je répondre à cela ? Rien, sinon un silence vexé.
Cette terre exotique, où les vessies et les lanternes chinoises se confondent dans un joyeux capharnaüm, s'était d'abord présentée à moi comme un mirage d'Éden, un exutoire païen où l'Occidental venait s'étourdir d'oubcu que ce voyage serait un adieu nécessaire, une étape à franchir pour faire table rase des rêveries juvéniles, comme un chrétien résolu quitte le péché pour l'ascèse. Mais me voilà de retour. Mes constructions mentales, élevées avec soin, se sont effondrées comme des échafaudages de carton. Ce retour n'est qu'une fuite en arrière, une procrastination de l'âme, lourde d'amertume.
La pensée envahissante surgit, tenace : « Ils sont bouddhistes, tout s'explique. Ici, la chaleur fait fondre les dieux et l'inquiétude ; on vit dans un paradis où tout semble permis... » Bangkok, ville de torpeur et de vertige, se dévoile comme un fast-food sans porte de sortie, une antre où les effluves nauséeuses vous endorment d'un long sommeil.
Et puis ce phénomène étrange, ce Gong imaginaire qui résonne à quelques pas du Wat Phra Kaeo. Une vibration, une plénitude suspendue, un instant mystique. Était-ce le mirage d'une âme étrangère ou une remémoration enfouie ? Et moi, piéton solitaire, je longeais ces trottoirs où les portraits d'un roi débauché se dressaient, témoins silencieux d'une adulation feinte. Bangkok défilait sous mes pas, vieux quartier décharné, fleuve poisseux, silhouettes métalliques des gratte-ciels, ces prodiges d'une technicité improbable fondue dans l'étreinte tropique.
C'est un monde en négatif : même population, mêmes chiffres qu'une France inversée. Ici, l'été est un hiver étouffant, les chedis remplacent les clochers, la circulation se fait à gauche. Tout semble miroir et décalque sans raccord, une terre flottante dépourvue d'ancrage.
Pourtant, une étrange harmonie règne ici, mystérieuse et troublante. J'avais mentionné un prurit mental, mais je succombais à l'envoûtement des fresques des temples. La vie du Bouddha, ses renaissances successives déployées du sol au plafond. Ce bouddhisme, qui parle à l'enfant tapi en chacun de nous, m'invitait à envisager l'enfance comme une existence antérieure. Une boucle infinie où l'Asie se rêve elle-même dans le vortex éternel du samsara. Ici, le Bouddha vivant remplace l'idole figée, la jungle luxuriante appelle au recueillement, et les autochtones, discrets et bienveillants, incarnent une grâce presque sacrée.
Et Koh Phangan... Cette île au charme sauvage, refuge d'une nature qui chante et enfle dans un crescendo divin. Les oiseaux et grillons mêlaient leurs voix au déluge tropical, comme si la terre elle-même babillait d'innocence. Jamais ailleurs je n'avais assisté à un tel spectacle, cette amplification des formes et des sons, cette nature démiurgique qui semble à chaque instant créer l'art.
OP
E_

Enculator_2

il y a 23 jours


C'est pas trop mal écrit mais tu racontes rien khey, mets du contenu un peu

je raconte l'ambiance...

TH

Theravaada

il y a 23 jours

J'en peux plus des topics sur la Thaïlande
JM

Jean-mich-much

il y a 23 jours

je raconte l'ambiance...

Oui ben ça suffit pas, du coup, c'est chiant

OP
E_

Enculator_2

il y a 23 jours


Le 11 janvier, dix heures sonnantes. Bangkok m'accueillait dans ses tourbillons moites, ses odeurs lourdes et suffocantes, mélange de friture et d'encens, de bitume et de chair humaine. Et pourtant, chaque fois que je prononçais le nom de cette ville devant des oreilles européennes, une gêne sourde m'étreignait. « La Thaïlande est le fast-food des touristes », m'avait lancé un ami, sa phrase vibrante de mépris. Que pouvais-je répondre à cela ? Rien, sinon un silence vexé.
Cette terre exotique, où les vessies et les lanternes chinoises se confondent dans un joyeux capharnaüm, s'était d'abord présentée à moi comme un mirage d'Éden, un exutoire païen où l'Occidental venait s'étourdir d'oubcu que ce voyage serait un adieu nécessaire, une étape à franchir pour faire table rase des rêveries juvéniles, comme un chrétien résolu quitte le péché pour l'ascèse. Mais me voilà de retour. Mes constructions mentales, élevées avec soin, se sont effondrées comme des échafaudages de carton. Ce retour n'est qu'une fuite en arrière, une procrastination de l'âme, lourde d'amertume.
La pensée envahissante surgit, tenace : « Ils sont bouddhistes, tout s'explique. Ici, la chaleur fait fondre les dieux et l'inquiétude ; on vit dans un paradis où tout semble permis... » Bangkok, ville de torpeur et de vertige, se dévoile comme un fast-food sans porte de sortie, une antre où les effluves nauséeuses vous endorment d'un long sommeil.
Et puis ce phénomène étrange, ce Gong imaginaire qui résonne à quelques pas du Wat Phra Kaeo. Une vibration, une plénitude suspendue, un instant mystique. Était-ce le mirage d'une âme étrangère ou une remémoration enfouie ? Et moi, piéton solitaire, je longeais ces trottoirs où les portraits d'un roi débauché se dressaient, témoins silencieux d'une adulation feinte. Bangkok défilait sous mes pas, vieux quartier décharné, fleuve poisseux, silhouettes métalliques des gratte-ciels, ces prodiges d'une technicité improbable fondue dans l'étreinte tropique.
C'est un monde en négatif : même population, mêmes chiffres qu'une France inversée. Ici, l'été est un hiver étouffant, les chedis remplacent les clochers, la circulation se fait à gauche. Tout semble miroir et décalque sans raccord, une terre flottante dépourvue d'ancrage.
Pourtant, une étrange harmonie règne ici, mystérieuse et troublante. J'avais mentionné un prurit mental, mais je succombais à l'envoûtement des fresques des temples. La vie du Bouddha, ses renaissances successives déployées du sol au plafond. Ce bouddhisme, qui parle à l'enfant tapi en chacun de nous, m'invitait à envisager l'enfance comme une existence antérieure. Une boucle infinie où l'Asie se rêve elle-même dans le vortex éternel du samsara. Ici, le Bouddha vivant remplace l'idole figée, la jungle luxuriante appelle au recueillement, et les autochtones, discrets et bienveillants, incarnent une grâce presque sacrée.
Et Koh Phangan... Cette île au charme sauvage, refuge d'une nature qui chante et enfle dans un crescendo divin. Les oiseaux et grillons mêlaient leurs voix au déluge tropical, comme si la terre elle-même babillait d'innocence. Jamais ailleurs je n'avais assisté à un tel spectacle, cette amplification des formes et des sons, cette nature démiurgique qui semble à chaque instant créer l'art.

wallah c'est chat gpt ? ah ils sont fort ces ricains de la silicon valley... bon c'est encore plus pompeux bizarrement...

OP
E_

Enculator_2

il y a 23 jours


J'en peux plus des topics sur la Thaïlande

d'où ton pseudo ?

TH

Theravaada

il y a 23 jours

d'où ton pseudo ?

Oui, enculator

DS

DeSilvaAlbert

il y a 23 jours

ça donne envie
OP
E_

Enculator_2

il y a 23 jours


ça donne envie

c'est ironique ?

GR

Grandesdents

il y a 23 jours

Parfaitement illisible, t'en fais des tonnes on dirait que tu utilises un dico de synonymes
GR

Grandesdents

il y a 23 jours

Lourdeur de style
OP
E_

Enculator_2

il y a 23 jours


Le 11 janvier, dix heures sonnantes. Bangkok m'accueillait dans ses tourbillons moites, ses odeurs lourdes et suffocantes, mélange de friture et d'encens, de bitume et de chair humaine. Et pourtant, chaque fois que je prononçais le nom de cette ville devant des oreilles européennes, une gêne sourde m'étreignait. « La Thaïlande est le fast-food des touristes », m'avait lancé un ami, sa phrase vibrante de mépris. Que pouvais-je répondre à cela ? Rien, sinon un silence vexé.
Cette terre exotique, où les vessies et les lanternes chinoises se confondent dans un joyeux capharnaüm, s'était d'abord présentée à moi comme un mirage d'Éden, un exutoire païen où l'Occidental venait s'étourdir d'oubcu que ce voyage serait un adieu nécessaire, une étape à franchir pour faire table rase des rêveries juvéniles, comme un chrétien résolu quitte le péché pour l'ascèse. Mais me voilà de retour. Mes constructions mentales, élevées avec soin, se sont effondrées comme des échafaudages de carton. Ce retour n'est qu'une fuite en arrière, une procrastination de l'âme, lourde d'amertume.
La pensée envahissante surgit, tenace : « Ils sont bouddhistes, tout s'explique. Ici, la chaleur fait fondre les dieux et l'inquiétude ; on vit dans un paradis où tout semble permis... » Bangkok, ville de torpeur et de vertige, se dévoile comme un fast-food sans porte de sortie, une antre où les effluves nauséeuses vous endorment d'un long sommeil.
Et puis ce phénomène étrange, ce Gong imaginaire qui résonne à quelques pas du Wat Phra Kaeo. Une vibration, une plénitude suspendue, un instant mystique. Était-ce le mirage d'une âme étrangère ou une remémoration enfouie ? Et moi, piéton solitaire, je longeais ces trottoirs où les portraits d'un roi débauché se dressaient, témoins silencieux d'une adulation feinte. Bangkok défilait sous mes pas, vieux quartier décharné, fleuve poisseux, silhouettes métalliques des gratte-ciels, ces prodiges d'une technicité improbable fondue dans l'étreinte tropique.
C'est un monde en négatif : même population, mêmes chiffres qu'une France inversée. Ici, l'été est un hiver étouffant, les chedis remplacent les clochers, la circulation se fait à gauche. Tout semble miroir et décalque sans raccord, une terre flottante dépourvue d'ancrage.
Pourtant, une étrange harmonie règne ici, mystérieuse et troublante. J'avais mentionné un prurit mental, mais je succombais à l'envoûtement des fresques des temples. La vie du Bouddha, ses renaissances successives déployées du sol au plafond. Ce bouddhisme, qui parle à l'enfant tapi en chacun de nous, m'invitait à envisager l'enfance comme une existence antérieure. Une boucle infinie où l'Asie se rêve elle-même dans le vortex éternel du samsara. Ici, le Bouddha vivant remplace l'idole figée, la jungle luxuriante appelle au recueillement, et les autochtones, discrets et bienveillants, incarnent une grâce presque sacrée.
Et Koh Phangan... Cette île au charme sauvage, refuge d'une nature qui chante et enfle dans un crescendo divin. Les oiseaux et grillons mêlaient leurs voix au déluge tropical, comme si la terre elle-même babillait d'innocence. Jamais ailleurs je n'avais assisté à un tel spectacle, cette amplification des formes et des sons, cette nature démiurgique qui semble à chaque instant créer l'art.

sérieux t'as utilisé quoi ?

GF

GusFringale

il y a 23 jours

Je comprends pas pourquoi vous cherchez à écrire si visiblement vous en avez rien à foutre de la littérature voire la haïssez au point où vous aimez tomber dans tous les clichés éculés sans prise de recul
TH

Theravaada

il y a 23 jours

c'est ironique ?

Arrêtez de pourrir la Thaïlande. J'ai DDB

TI

TacoIkea

il y a 23 jours

Tu parles pas des spécialités locales ... ? https://image.noelshack.com/fichiers/2016/51/1482247443-conbandit.png https://image.noelshack.com/fichiers/2017/15/1491960183-1482779732-lang.png https://image.noelshack.com/fichiers/2020/04/2/1579617640-matzneff-rire.jpg
OP
E_

Enculator_2

il y a 23 jours


Parfaitement illisible, t'en fais des tonnes on dirait que tu utilises un dico de synonymes

mais non, aucun dico de synonyme k'est-ce qui te fait dire ça... y'a des images, une recherche sur la musicalité, ou disons des analogies (prurit-consPUER-effluves-etc...)

GY

Gyropetard

il y a 23 jours


Je comprends pas pourquoi vous cherchez à écrire si visiblement vous en avez rien à foutre de la littérature voire la haïssez au point où vous aimez tomber dans tous les clichés éculés sans prise de recul

Merci

GF

GusFringale

il y a 23 jours

Puis putain le seul style identifiable c'est la maladie des temps modernes " phrase non verbale sans sujet pour donner une impression de lassitude et de candeur " vu 1000 fois depuis Céline, on en PEUT PLUS

" Peu d'arguments vraiment sérieux à lui opposer. "
" Un cliché en négatif. "
" Aucune continuité, aucun lien, un pure décalque en négatif. "

Putain mais quelle horreur, et TOUT le paragraphe suivant est écrit comme ça, AUCUNE ENERGIE. Et il y a même pas le point-virgule de Houellebecq pour faire semblant d'en avoir quelque chose à foutre de ce qu'on écrit. Lisez vos textes à voix haute par pitié, ça vous empêchera de nous sortir ces espèces de notices Ikea

OP
E_

Enculator_2

il y a 23 jours


Je comprends pas pourquoi vous cherchez à écrire si visiblement vous en avez rien à foutre de la littérature voire la haïssez au point où vous aimez tomber dans tous les clichés éculés sans prise de recul

clichés ? j'ai parlé des ladyboys, des plats épicés ou de la box thaï ? soyons sérieux svp...