Exact, je kifferais la facefuckj usqu'au throatpie.
Nonbstant, je comprends pas pourquoi le recours à ce point à la chirurugie esthétique n'est toujours pas considéré comme une maladie mentale. C'est des personnes qui n'arrêteront jamais les opérations.
Elles font pas ça pour combler un manque ou effacer un complexe. On a l'impression que même le résultat leur importe peu, c'est vraiment une addiction à la chirurgie en elle-même, à la satisfaction de modifier son corps, jusqu'à ce que la dopamine redescende et qu'il faut une nouvelle opération pour à nouveau la ressentir.
Exactement comme une addiction à la drogue.