[08:32:56] <GlandMauve>

Voilà pour présenter brièvement, mon père est partit quand j'avais 9 ans. On est resté ma grande soeur et moi avec ma mère. Tout ça s'est fait dans les larmes et j'ai vraiment mal vécu le départ de mon père, plus que ma sœur et ma mère. Déjà à l'époque pour me consoler j'ai dormis plusieurs fois avec ma sœur bref. Toujours est-il qu'on a continué à vivre sans présence paternelle et comme j'étais qu'un gamin c'est les filles, ma mère et ma sœur, qui dominaient dans la vie à la maison.

Je dis ça en préambule car ça va expliquer ce qui se passe ensuite. Ma sœur a grandit et a eu de gros seins, sauf que sans mâle à la maison (j'étais considéré comme un enfant) ma mère et ma sœur étaient au calme en pyjama avec des bas très court au niveau des fesses ou sans soutiens gorge par exemple...je m'en fichait totalement jusqu'à ce que j'atteigne la puberté, et là ça a viré au drame.

A 13 ans j'ai commencé à me M+Z et à avoir des pulsions sexuelles m'voyez. Et ma sœur de 18 ans étais tous les matins au petit déjeuner ou à la salle de bain avec ses hauts et ses tee-shirt pour dormir parfois très fins, sans rien dessous, et j'avais ses gros seins qui pointaient et bougeaient dés qu'elle faisait quelque chose, ça a commencé à me rendre dingue. Le pire c'était quand on se retrouvait dans la salle de bain à se brosser les dents au même moment, le mouvement de va et vient du bras pour brosser ses dents mettaient en mouvement sa poitrine qui bondissait de gauche à droite juste à côté de moi dans le reflet du miroir...j'étais tétanisé.

Je pense que c'est de là que j'ai commencé à développer un fétichisme pour les gros seins. Ma mère en bonne boomeuse qui se respecte a acheté vers cette période un spas gonflable pour le mettre sur la terrasse... elles ont commencer à évoluer en bikini l'été ou même tard le soir et à aller taper la conversation dans leur bain de bulles. Du velux de l'étage je les voyais en maillot et les seins, de ma génitrice mais surtout de ma sœur dont la rotondité était exacerbée par la poussée d'Archimède et les bulles...
Un soir qu'elles n'allaient pas en faire, je comptais en profiter tranquillement. Il faisait nuit y'avait juste un jeu de led rouge tamisées qui éclairait les alentours de la terrasse. Et alors que j'étais posé au calme à regarder les étoiles...ma sœur se pointe en plus avec un de ses bikinis deux pièce bien sexy...

... elle s'installe dans le spas et je me retrouve confiné avec elle dans ce bain avec sa grosse poitrine qui surnage à même pas 1 mètre de moi. Le claire obscure des néons rouges de la terrasse engendre des ombres du démon autour et entre ses mamelles... à un moment faute de place on se griffe avec nos ongles de pied sous l'eau et on commence à faire des jeux de jambe pour se battre, ce qui amorce des bondissements infâmes de sa poitrine qui plonge et remonte tandis que plusieurs de ses coups de pieds touche mon entrejambe. L'eau chaude du bain, les bulles qui chatouille mes cuisses, ses rires et sa voix baisse presque chuchotée dans l'intimité de la nuit...je n'ai pu réprimer une érection.
Craignant d'être démasqué si je sors de l'eau, caché dans l'eau trouble, dure comme du bois, le frottement contre mon caleçon a fait monter un orgasme qui se conclu par une éjaculation. Tentant d'être impassible, je ne pu empêcher mes deux orbites contrôlés par ma queue de se figer sur son buste et mon corps de se tordre comme un arc bandé à bloque...(au passage j'ai tellement flippé de la mettre enceinte j'avais fait un topic sur le 15-18 à l'époque ) a ce jour encore c'est un de mes meilleurs orgasmes de ma vie bien que j'en ai très honte. Cela m'a tellement marqué que j'ai plusieurs fois depuis eu des éjaculations nocturnes en revivant cette scène...

Autant dire qu'à peine à 13 ans mon cerveau a été poussé à bout et chaque jour le diable me tentait. Je crois que ces situations répétées ont eu raison de ma lucidité et que le fétichisme des fortes poitrines a commencé à s'insinuer en moi... d'autant que j'en avait au quotidien une belle paire sous les yeux et que la complicité et le cadre familiale m'offrait chaque jour l'opportunité de mater sans vergogne... aux yeux de ma mère et de ma sœur j'étais encore qu'un enfant et j'ai l'impression qu'elles n'avaient aucune idée du bouillonnement hormonal qui étreignait mes couilles jusqu'à en faire des raisins sec.

Malheureusement pour moi, aucune autorité paternelle, aucune perche adulte ne m'était tendue pour sauter au dessus de cette abîme sexuelle. Ma sœur jouant cruellement avec moi à ce sujet. En effet, impossible pour elle de n'avoir pu remarque mes coups d'œils répétés malgré ma plus grande pudeur et discrétion. Pourtant elle faisait comme si de rien n'était, et ne changeait rien à ses habitudes, comme si cela semblait l'amuser : Un jour, j'aurai ma vengeance.

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