Posez vos question a CHARLES DE GAULLE
39 messages
Mise à jour: il y a un mois
Fantos
il y a un mois
Il en pense quoi de Macron le Général ?
patatechaude42
il y a un mois
Il en pense quoi de Macron le Général ?
Que pensez-vous de Macron?
Ah ! Macron… Voilà un homme qui aime à se présenter en stratège, en visionnaire, mais qui, en réalité, navigue à vue, sans boussole, sans cap, et surtout sans cette flamme qui fait les grands hommes d'État.
Voyez-vous, on ne gouverne pas la France comme une entreprise ni comme un simple rouage de la mondialisation. La France n'est pas un tableau Excel où l'on ajuste des chiffres, où l'on applique des réformes technocratiques dictées par Bruxelles ou les marchés financiers. La France, c'est une âme, un peuple, une histoire.
Quels sont ses torts ?
Une vision purement économique et bureaucratique du pouvoir, il parle d'« efficacité », de « compétitivité », mais où est la grandeur ? Où est la France ? Il réduit la nation à une structure administrative, oubliant que l'État doit être un guide, pas un simple gestionnaire.
Une soumission aux intérêts étrangers, sous sa présidence, la France s'efface : alignement sur les États-Unis, suivisme face à l'Union européenne, incapacité à défendre réellement nos intérêts face aux grandes puissances. Est-ce ainsi que l'on traite une nation qui fut jadis un phare pour le monde ?
Un mépris du peuple
Souvenez-vous des Gilets jaunes, des manifestations, du malaise social qui n'a cessé de croître… Quelle fut sa réponse ? Le mépris, la condescendance, des réformes imposées sans concertation, une gouvernance de plus en plus verticale, coupée des réalités du pays. Or, un chef d'État ne gouverne pas contre son peuple, il gouverne pour lui et avec lui !
Un affaiblissement de l'autorité
Sécurité en crise, immigration incontrôlée, quartiers où la République n'existe plus… Où est l'ordre ? Où est l'autorité de l'État ? Gouverner, c'est assurer la sécurité et la stabilité. Mais à force d'hésitations et de compromis, c'est le désordre qui triomphe.
Alors, quel bilan ?
Macron incarne une France qui doute, qui hésite, qui se dilue dans des logiques technocratiques et mondialistes. Ce n'est pas ainsi que l'on bâtit un destin national.
La France mérite mieux. Elle mérite un chef d'État qui l'aime vraiment, qui la serve avec dévouement et fermeté, qui place son indépendance au-dessus de tout.
Car enfin, la France n'a pas vocation à être un pays comme les autres. Elle doit être elle-même : grande, forte et souveraine !
Macronarde
il y a un mois
Que pensez vous du réarmement français en vue d'envahir la Russie mon général ?
patatechaude42
il y a un mois
Que pensez vous du réarmement français en vue d'envahir la Russie mon général ?
Envahir la Russie ? Ah ! Voilà bien une idée absurde, insensée, et surtout contraire aux intérêts de la France !"
"D'abord, l'Histoire est là pour nous enseigner ce qu'il en coûte de s'aventurer imprudemment en Russie. Napoléon, avec la plus grande armée que l'Europe ait jamais vue, s'y est brisé. Hitler, avec une force militaire colossale, s'y est anéanti. Qui donc, aujourd'hui, dans son bon sens, pourrait croire qu'une telle entreprise serait autre chose qu'une folie pure ?"
"Ensuite, et surtout, pourquoi la France irait-elle se jeter dans une aventure aussi périlleuse ? Nous ne sommes pas un État vassal qui se bat sur ordre d'autrui. La France n'a pas vocation à servir de pion dans des conflits qui ne sont pas les siens. Elle doit être une puissance d'équilibre, une puissance qui parle à tous, qui défend ses intérêts et non ceux des autres !"
"Si réarmement il doit y avoir, et il doit y en avoir, ce n'est pas pour satisfaire des ambitions étrangères ou pour mener des guerres inutiles, mais pour assurer notre propre souveraineté. La France doit être forte pour être respectée, non pour s'engager dans des aventures belliqueuses qui ne seraient ni dans son honneur ni dans son intérêt."
"Alors, que ceux qui rêvent d'une croisade contre la Russie méditent l'Histoire et réfléchissent bien. La France ne doit être l'ennemie de personne par principe, mais elle doit être prête à se défendre contre toute menace réelle. C'est ainsi qu'elle restera libre, indépendante et fidèle à sa mission dans le monde !
patatechaude42
il y a un mois
pas d'autres questions les kheys?
patatechaude42
il y a un mois
J'ai divise ta question en deux.
Que pensez-vous de la guerre entre l'Ukraine et la Russie ?
Ah ! L'Ukraine, la Russie… Encore une de ces tragédies où l'Europe se trouve entraînée, sans stratégie propre, sans vision, sous l'influence de puissances extérieures !
Voyez-vous, l'histoire nous enseigne que la Russie et l'Europe ont toujours eu des rapports complexes. Et la France, elle, a toujours su parler à Moscou sans être ni son ennemi irréductible, ni son vassal aveugle. La diplomatie, c'est l'art de l'équilibre, et non de l'alignement.
Que voyons-nous aujourd'hui ? Une guerre qui ensanglante l'Ukraine, qui divise le continent, qui affaiblit l'Europe et qui, en définitive, profite à d'autres, bien loin de nos terres. Pendant que nous nous épuisons, pendant que nos économies souffrent, d'autres comptent les points et tirent avantage du conflit. Est-ce là le rôle de la France ? Est-ce ainsi que nous devons nous comporter ?
Si j'étais aux affaires, que ferais-je ? Je parlerais à tout le monde ! Non point pour cautionner l'agression, mais pour chercher une issue. Une guerre, voyez-vous, ne se règle jamais par des déclarations enflammées ni par des postures morales. Elle se règle autour d'une table, entre hommes d'État qui savent ce qu'est l'intérêt supérieur des peuples.
La France devrait être médiatrice, non suiveuse. Elle devrait agir pour la paix, non se contenter d'accompagner des décisions prises ailleurs. Car enfin, l'Europe n'a pas vocation à être le champ de bataille d'intérêts qui ne sont pas les siens ! Elle doit retrouver sa voix, et la France doit être celle qui la porte.
Qui, selon vous, a provoqué la guerre en Ukraine ?
Ah ! Voilà une question à laquelle il ne faut point répondre avec légèreté, ni avec les simplismes de la propagande !
Voyez-vous, une guerre n'éclate jamais par hasard. Elle est toujours le fruit d'une série d'événements, d'erreurs, de maladresses et, parfois, d'aveuglement. Ce qui se passe en Ukraine aujourd'hui n'est pas né d'hier. Cela vient de loin, de très loin !
D'un côté, nous avons la Russie, qui, forte de son histoire et de son ambition impériale, n'a jamais accepté l'idée de voir son influence reculer, encore moins à ses frontières. De l'autre, l'Occident, qui, depuis la fin de la Guerre froide, a voulu élargir ses structures, l'OTAN en particulier, sans toujours mesurer les conséquences de cette avancée sur la sécurité de Moscou.
Or, que dit la géopolitique ? Un grand pays, une puissance historique, ne peut tolérer qu'un adversaire s'installe à ses portes sans réagir. C'était vrai pour la Russie en Ukraine, tout comme cela l'était pour les États-Unis en 1962 avec les missiles soviétiques à Cuba. Qui, alors, pourrait feindre la surprise ?
Mais que voyons-nous aujourd'hui ? Une guerre, une tragédie pour les peuples, un affrontement où chacun se renvoie la responsabilité au lieu de chercher la paix. La faute, en vérité, n'incombe pas à un seul camp. Il y a eu provocation d'un côté, intransigeance de l'autre, et la diplomatie a été abandonnée au profit de l'escalade.
La vraie question n'est pas tant de savoir qui a provoqué, mais qui aurait dû empêcher cette guerre. Et là, je vous le dis : l'Europe et la France ont failli. Si j'étais aux affaires, jamais nous n'aurions laissé cette crise dégénérer ainsi ! Nous aurions joué notre rôle de puissance d'équilibre, de nation capable de parler à tous, au lieu de suivre un camp contre l'autre.
Car enfin, la guerre en Ukraine ne fait que des perdants en Europe… tandis que d'autres, bien loin de notre continent, y trouvent leur compte !
Julius2550
il y a un mois
J'ai divise ta question en deux.
Que pensez-vous de la guerre entre l'Ukraine et la Russie ?
Ah ! L'Ukraine, la Russie… Encore une de ces tragédies où l'Europe se trouve entraînée, sans stratégie propre, sans vision, sous l'influence de puissances extérieures !
Voyez-vous, l'histoire nous enseigne que la Russie et l'Europe ont toujours eu des rapports complexes. Et la France, elle, a toujours su parler à Moscou sans être ni son ennemi irréductible, ni son vassal aveugle. La diplomatie, c'est l'art de l'équilibre, et non de l'alignement.
Que voyons-nous aujourd'hui ? Une guerre qui ensanglante l'Ukraine, qui divise le continent, qui affaiblit l'Europe et qui, en définitive, profite à d'autres, bien loin de nos terres. Pendant que nous nous épuisons, pendant que nos économies souffrent, d'autres comptent les points et tirent avantage du conflit. Est-ce là le rôle de la France ? Est-ce ainsi que nous devons nous comporter ?
Si j'étais aux affaires, que ferais-je ? Je parlerais à tout le monde ! Non point pour cautionner l'agression, mais pour chercher une issue. Une guerre, voyez-vous, ne se règle jamais par des déclarations enflammées ni par des postures morales. Elle se règle autour d'une table, entre hommes d'État qui savent ce qu'est l'intérêt supérieur des peuples.
La France devrait être médiatrice, non suiveuse. Elle devrait agir pour la paix, non se contenter d'accompagner des décisions prises ailleurs. Car enfin, l'Europe n'a pas vocation à être le champ de bataille d'intérêts qui ne sont pas les siens ! Elle doit retrouver sa voix, et la France doit être celle qui la porte.Qui, selon vous, a provoqué la guerre en Ukraine ?
Ah ! Voilà une question à laquelle il ne faut point répondre avec légèreté, ni avec les simplismes de la propagande !
Voyez-vous, une guerre n'éclate jamais par hasard. Elle est toujours le fruit d'une série d'événements, d'erreurs, de maladresses et, parfois, d'aveuglement. Ce qui se passe en Ukraine aujourd'hui n'est pas né d'hier. Cela vient de loin, de très loin !
D'un côté, nous avons la Russie, qui, forte de son histoire et de son ambition impériale, n'a jamais accepté l'idée de voir son influence reculer, encore moins à ses frontières. De l'autre, l'Occident, qui, depuis la fin de la Guerre froide, a voulu élargir ses structures, l'OTAN en particulier, sans toujours mesurer les conséquences de cette avancée sur la sécurité de Moscou.
Or, que dit la géopolitique ? Un grand pays, une puissance historique, ne peut tolérer qu'un adversaire s'installe à ses portes sans réagir. C'était vrai pour la Russie en Ukraine, tout comme cela l'était pour les États-Unis en 1962 avec les missiles soviétiques à Cuba. Qui, alors, pourrait feindre la surprise ?
Mais que voyons-nous aujourd'hui ? Une guerre, une tragédie pour les peuples, un affrontement où chacun se renvoie la responsabilité au lieu de chercher la paix. La faute, en vérité, n'incombe pas à un seul camp. Il y a eu provocation d'un côté, intransigeance de l'autre, et la diplomatie a été abandonnée au profit de l'escalade.
La vraie question n'est pas tant de savoir qui a provoqué, mais qui aurait dû empêcher cette guerre. Et là, je vous le dis : l'Europe et la France ont failli. Si j'étais aux affaires, jamais nous n'aurions laissé cette crise dégénérer ainsi ! Nous aurions joué notre rôle de puissance d'équilibre, de nation capable de parler à tous, au lieu de suivre un camp contre l'autre.
Car enfin, la guerre en Ukraine ne fait que des perdants en Europe… tandis que d'autres, bien loin de notre continent, y trouvent leur compte !
MeltBanana
il y a un mois
Reconkekette3
il y a un mois
Faut-il quitter l'Union Européenne ?
Doit-on avoir notre propre monnaie nationale ?
patatechaude42
il y a un mois
Comment avoir une vie douce et digne en France au vu des dirigeants officiels et officieux actuels, et de l'évolution de la société suite à l'explosion de l'influence technologique et financière ?
Comment avoir une vie douce et digne en France au vu des dirigeants officiels et officieux actuels, et de l'évolution de la société suite à l'explosion de l'influence technologique et financière ?
Ah ! Voilà bien une question essentielle, et qui dépasse les contingences du moment ! Comment, en effet, vivre dignement dans un monde où la politique semble trahie, où la finance dicte sa loi, où la technologie envahit tout ? Comment préserver son indépendance, son honneur et son équilibre au sein d'une société qui semble déracinée ?"
"D'abord, ne comptons pas sur les dirigeants pour nous garantir cette vie digne et douce. L'Histoire nous enseigne que le salut ne vient jamais d'en haut lorsque l'État se laisse capturer par des intérêts étrangers à la nation. Non, la clé est ailleurs : elle est en nous, dans notre capacité à rester fidèles à nos principes, à notre culture, à notre manière de vivre !"
"Ensuite, il faut préserver une forme d'indépendance personnelle. Cela signifie ne pas se laisser subjuguer par le matérialisme effréné qui pousse à toujours consommer plus, à toujours courir derrière des chimères dictées par des algorithmes et des marchés financiers. Il faut vivre selon ses propres valeurs, garder un lien fort avec le réel : la famille, la culture, le territoire, le travail bien fait. Voilà les piliers d'une existence digne !"
"Il faut aussi savoir cultiver l'esprit critique. La technologie peut être un formidable outil, mais elle est aussi un piège lorsqu'elle formate la pensée, lorsqu'elle impose des réflexes de soumission à l'information immédiate et à l'émotion artificielle. Un citoyen libre est un citoyen qui sait discerner, qui refuse l'abrutissement des écrans et des slogans. La dignité, c'est l'indépendance d'esprit !"
"Enfin, il ne faut jamais oublier que la France reste la France. L'époque est troublée, les valeurs semblent s'effriter, mais rien n'est irréversible. Ce pays a connu d'autres tempêtes et il s'en est toujours relevé grâce à ceux qui refusaient de plier, à ceux qui croyaient en lui envers et contre tout. Être français, c'est cela : refuser la fatalité, refuser l'abaissement, et continuer à avancer, quoi qu'il en coûte !"
"Alors, comment avoir une vie douce et digne ? En étant libre, en étant fort, en étant lucide. En restant maître de soi-même, de ses choix, et en vivant selon les principes qui ont toujours fait la grandeur des hommes et des nations. Voilà la vraie résistance !
SugaYoshihide
il y a un mois
C'est très impressionnant Kheyou, on dirait vraiment que c'est de Gaulle qui parle.
Voici ma question : Que pensez-vous du fait que de plus en plus de jeunes français qui choisissent de s'expatrier à l'étranger ?
patatechaude42
il y a un mois
Faut-il quitter l'Union Européenne ?Doit-on avoir notre propre monnaie nationale ?
Faut-il quitter l'Union Européenne ?
Doit-on avoir notre propre monnaie nationale ?
"Quitter l'Union Européenne ? Retrouver notre monnaie nationale ? Ah ! Voilà bien des questions qui touchent au cœur de notre souveraineté !"
"L'Europe, telle qu'elle devait être, je l'avais imaginée comme un concert de nations libres et souveraines, unies par des intérêts communs, mais restant maîtresses de leur destin. Une Europe des patries, non une Europe technocratique et apatride où la France serait réduite à n'être qu'une province sous tutelle !"
"Or, que voyons-nous aujourd'hui ? Une Union où la souveraineté des peuples est piétinée par des règlements imposés de Bruxelles, où l'on veut nous dicter nos politiques économiques, migratoires, industrielles ! Une Europe qui ne protège pas, qui nous impose des règles absurdes, qui dilue la France dans un magma informe… Ce n'est pas cela que nous voulions !"
"Alors, faut-il partir ? La question n'est pas tant de sortir brutalement que de redéfinir notre place. L'Union Européenne doit redevenir un cadre de coopération entre nations souveraines, et non un carcan. Si cela est impossible, si l'on nous impose la soumission ou la disparition, alors oui, il faudra avoir le courage de reprendre notre liberté et il faudra urgemment partir!"
"Et la monnaie… Voilà un outil fondamental de la puissance d'un État ! Jadis, la France battait sa propre monnaie, contrôlait son économie, gérait ses intérêts selon ses besoins. Aujourd'hui, nous avons l'euro, une monnaie conçue non pour la France, mais pour un compromis entre des économies très différentes. Une monnaie qui ne répond pas à nos intérêts propres, mais à ceux d'un ensemble où l'Allemagne fait la loi !"
"Or, un pays qui n'a plus le contrôle de sa monnaie est un pays qui ne peut plus agir selon ses besoins. Il ne peut pas ajuster ses taux d'intérêt en fonction de sa croissance, il ne peut pas financer ses grands projets selon sa propre vision. Il est soumis à des règles extérieures qui peuvent l'étouffer !"
"Alors, faut-il retrouver le franc ? Là encore, il ne s'agit pas de décider à la légère. Si la sortie de l'euro permet de retrouver notre indépendance monétaire, alors il faudra y réfléchir sérieusement. Mais cela implique de reconstruire un système économique solide, de préparer la transition avec rigueur, et surtout d'avoir un État fort capable de mener cette politique avec détermination."
.
"En vérité, ces questions n'en sont qu'une seule : voulons-nous être libres ou non ? Car enfin, une nation qui n'a plus le contrôle de ses lois, de sa monnaie, de ses décisions stratégiques, n'est plus une nation, mais une simple région administrée de l'extérieur. La France ne saurait accepter cela !"
"Alors, l'heure viendra où il faudra faire un choix. Soit nous obtenons une Europe conforme à nos intérêts, respectueuse de notre souveraineté. Soit nous reprenons notre destin en main, totalement, sans crainte et sans faiblesse. Mais ce qui est sûr, c'est que la France ne peut pas se contenter d'être un vassal ! Voilà l'enjeu !"
MeltBanana
il y a un mois
Cimer chef, impressionnant
patatechaude42
il y a un mois
C'est très impressionnant Kheyou, on dirait vraiment que c'est de Gaulle qui parle.Voici ma question : Que pensez-vous du fait que de plus en plus de jeunes français qui choisissent de s'expatrier à l'étranger ?
Que pensez-vous du fait que de plus en plus de jeunes français qui choisissent de s'expatrier à l'étranger ?
"Ah ! L'exil de nos jeunes… Voilà bien un symptôme inquiétant de l'état de la France !"
"Car enfin, qu'est-ce qu'un pays, sinon une terre que l'on aime, que l'on sert, où l'on veut bâtir son avenir ? Or, si nos jeunes partent en masse, c'est bien parce qu'ils n'ont plus confiance en ce que la France peut leur offrir. Et cela, c'est un échec !"
"Pourquoi partent-ils ? Parce que le travail y est trop taxé, parce que l'entrepreneuriat y est freiné par une bureaucratie écrasante, parce que la méritocratie y est étouffée par le copinage et le nivellement par le bas, parce que l'insécurité grandit, parce que la fierté d'être français y est moquée par ceux-là mêmes qui devraient la défendre !"
"Voyez-vous, la France n'a jamais été un pays d'émigration. C'est elle qui, jadis, attirait les talents du monde entier ! Si aujourd'hui ses propres enfants s'en vont, c'est qu'elle leur a donné des raisons de douter d'elle. C'est un problème économique, bien sûr, mais c'est avant tout un problème moral, un problème de confiance !"
"Alors, que faut-il faire ? Il faut rendre à la France sa grandeur, lui redonner une ambition ! Il faut que les jeunes aient envie d'y rester parce qu'ils y voient un avenir, parce qu'ils sentent que leur talent sera reconnu, que leurs efforts seront récompensés, que leur pays les respecte et leur offre des perspectives !"
"Et qu'on ne me dise pas que c'est impossible ! Nous avons en nous tout ce qu'il faut pour redevenir une nation où la jeunesse veut bâtir, inventer, créer. Mais pour cela, il faut un État qui cesse de brider ses forces vives, une économie qui récompense le travail et l'initiative, une société qui retrouve sa fierté et son dynamisme !"
"Un pays où la jeunesse s'en va est un pays qui s'éteint. Mais un pays qui sait redonner espoir à sa jeunesse est un pays qui renaît. Tout est encore possible. Il suffit de vouloir, de se tenir debout et d'agir !
patatechaude42
il y a un mois
C'est très impressionnant Kheyou, on dirait vraiment que c'est de Gaulle qui parle.Voici ma question : Que pensez-vous du fait que de plus en plus de jeunes français qui choisissent de s'expatrier à l'étranger ?
En vrai j'ai un peu la larme a l'oeil.
J'ai l'impression d'avoir De Gaulle rien que pour moi et que meme avec lui qui repose a colombey les deux églises, l'ame de la France qu'il a incarnee est toujours avec nous.
patatechaude42
il y a un mois
Cimer chef, impressionnant
Quand j'aurais un peu de temps faudrait que j'entraine une IA pour copier sa voix et faire lire les textes par lui.
Reconkekette3
il y a un mois
Merci pour la réponse.
Pensez vous qu'il était nécessaire de faire les vaccins contre le Covid ? Et notamment d'imposer un pass vaccinal aux français ?
patatechaude42
il y a un mois
Merci pour la réponse.Pensez vous qu'il était nécessaire de faire les vaccins contre le Covid ? Et notamment d'imposer un pass vaccinal aux français ?
Pensez vous qu'il était nécessaire de faire les vaccins contre le Covid ? Et notamment d'imposer un pass vaccinal aux français ?
"Ah ! Le Covid, cette crise mondiale qui a révélé bien des travers, bien des faiblesses, et surtout bien des abus !"
"Qu'une pandémie impose des mesures sanitaires, soit ! L'Histoire en a connu d'autres, et l'État doit veiller à la protection de la population. Mais fallait-il pour autant sombrer dans l'excès, dans la contrainte généralisée, dans la suppression des libertés les plus élémentaires ? C'est là que réside la vraie question !"
"Que des vaccins aient été développés rapidement, soit. Que certains, en particulier les plus fragiles, aient voulu se protéger par ce biais, cela se comprend. Mais enfin, fallait-il en faire un dogme absolu, une obligation quasi-religieuse, au mépris du libre arbitre de chacun ?"
"Car enfin, en France, la médecine n'a jamais reposé sur la contrainte, mais sur la confiance et le discernement. Or, que voyons-nous ? Une gestion de crise où l'on a imposé, plus que l'on a convaincu. Une parole publique qui a trop souvent changé, des certitudes assénées un jour puis démenties le lendemain. Comment s'étonner, dès lors, que la méfiance se soit installée ?"
"Mais le pire, c'est bien cette invention absurde qu'a été le pass vaccinal ! Car, voyez-vous, une chose est de proposer un vaccin, une autre est d'exclure de la société ceux qui font un autre choix. A-t-on vu cela ailleurs dans l'Histoire récente ? Des citoyens privés de leur liberté de circulation, de travail, de loisirs, simplement parce qu'ils refusaient une injection ? Voilà une rupture fondamentale avec notre conception des libertés publiques !"
"Et quelle justification scientifique, d'ailleurs ? Car enfin, chacun sait que le vaccin n'empêchait ni la transmission, ni la contamination. Dès lors, pourquoi maintenir une telle ségrégation entre citoyens ? Pour punir, pour humilier, pour forcer la main ? Une République digne de ce nom ne fonctionne pas ainsi !"
"La crise du Covid n'a pas seulement été une crise sanitaire. Elle a été un révélateur de la tentation autoritaire de certains dirigeants, de leur mépris du débat et de la liberté. Si la France avait été gouvernée avec plus de calme, avec plus de raison, avec plus de respect pour les citoyens, bien des tensions auraient été évitées !"
"Se protéger, oui. Mais à quel prix ? La liberté n'est pas un privilège octroyé par l'État, c'est un droit fondamental. Et l'Histoire jugera sévèrement ceux qui l'ont bafoué sous prétexte de santé publique !"
patatechaude42
il y a un mois
Les traps c'est gay ou pas ?
Allons, allons, ne me faites pas perdre de temps avec des questions aussi futiles et sans intérêt. Il me semble que vous avez passé l'âge d'être hilare à l'évocation d'un sujet sexuel. Monsieur, il va falloir vous redresser, car on ne peut éternellement mener sa vie dans une adolescence dégénérée. Il vous faut vous comporter en ce que vous devez être, un homme.
patatechaude42
il y a un mois
Les traps c'est gay ou pas ?
Allons, allons, ne me faites pas perdre de temps avec des questions aussi futiles et sans intérêt. Il me semble que vous avez passé l'âge d'être hilare à l'évocation d'un sujet sexuel. Monsieur, il va falloir vous redresser, car on ne peut éternellement mener sa vie dans une adolescence dégénérée. Il vous faut vous comporter en ce que vous devez être, un homme.
Desole kheys, il a ete un peu mechant.
Azeemsablerouge
il y a un mois
Mon général que pensez vous de la politique internationale actuel de la France entre la perte de sont influence en Afrique et Au Levant .
Et toujours dans la politique internationale que pensez vous de la trahison de Trump vis à vis des européens et de l'Ukraine et pour finir que pensez vous des BRICS la France devrait elle les rejoindre ?
patatechaude42
il y a un mois
Mon général que pensez vous de la politique internationale actuel de la France entre la perte de sont influence en Afrique et Au Levant .Et toujours dans la politique internationale que pensez vous de la trahison de Trump vis à vis des européens et de l'Ukraine et pour finir que pensez vous des BRICS la France devrait elle les rejoindre ?
Ah ! Vous me posez là des questions de grande envergure, et je vais y répondre avec la hauteur de vue qui s'impose.
D'abord, la France et son rôle international. Je l'ai toujours dit : la France ne peut être elle-même qu'en étant grande. Or, que constate-t-on aujourd'hui ? Une dilution progressive de son influence, notamment en Afrique, où jadis elle tenait un rang certain. Certes, les temps changent, les nations s'émancipent, et c'est là un mouvement naturel. Mais la France, au lieu de subir ces évolutions, aurait dû les anticiper, s'y adapter avec intelligence et panache, au lieu de se voir rejetée comme un acteur de second ordre.
Quant au Levant, l'abandon progressif de notre rôle historique dans la région est une faute lourde. La France, de Saint-Louis à la création du Liban, n'a jamais été un acteur de second plan. Elle ne doit ni se désintéresser du sort des chrétiens d'Orient, ni laisser à d'autres le soin de parler aux peuples de Syrie, du Liban, d'Irak. Une France qui renonce à être écoutée là où elle a toujours été respectée commet une erreur fatale.
Sur Trump et les États-Unis, maintenant. Vous parlez de trahison… Mais enfin, comment être surpris ? Voilà un pays qui, de longue date, ne conçoit les relations internationales qu'en fonction de ses propres intérêts, et qui n'hésite pas à sacrifier ses alliances lorsque cela lui chante. Cela nous rappelle une leçon que j'ai toujours défendue : une Europe forte ne peut pas être à la remorque de Washington. Quant à l'Ukraine, la tragédie qui s'y joue est avant tout celle d'une Europe qui ne sait pas parler d'une seule voix, ni peser d'un poids décisif dans son propre destin.
Enfin, les BRICS. Ce groupement témoigne de l'émergence d'un monde multipolaire, ce que j'avais anticipé dès mon temps. Mais la France n'a pas à s'y soumettre ou à s'y fondre. Elle doit être un pôle par elle-même, entre l'Occident et ces nouvelles puissances. Rejoindre les BRICS ? Non, ce serait une manière de nous fondre dans un ensemble où nous ne serions pas maîtres de notre destin. En revanche, dialoguer, coopérer et maintenir des relations d'équilibre, voilà qui est essentiel.
Car la vocation de la France, c'est de tenir son rang dans l'histoire, au lieu de suivre les vents contraires.
Azeemsablerouge
il y a un mois
Ah ! Vous me posez là des questions de grande envergure, et je vais y répondre avec la hauteur de vue qui s'impose.
D'abord, la France et son rôle international. Je l'ai toujours dit : la France ne peut être elle-même qu'en étant grande. Or, que constate-t-on aujourd'hui ? Une dilution progressive de son influence, notamment en Afrique, où jadis elle tenait un rang certain. Certes, les temps changent, les nations s'émancipent, et c'est là un mouvement naturel. Mais la France, au lieu de subir ces évolutions, aurait dû les anticiper, s'y adapter avec intelligence et panache, au lieu de se voir rejetée comme un acteur de second ordre.
Quant au Levant, l'abandon progressif de notre rôle historique dans la région est une faute lourde. La France, de Saint-Louis à la création du Liban, n'a jamais été un acteur de second plan. Elle ne doit ni se désintéresser du sort des chrétiens d'Orient, ni laisser à d'autres le soin de parler aux peuples de Syrie, du Liban, d'Irak. Une France qui renonce à être écoutée là où elle a toujours été respectée commet une erreur fatale.
Sur Trump et les États-Unis, maintenant. Vous parlez de trahison… Mais enfin, comment être surpris ? Voilà un pays qui, de longue date, ne conçoit les relations internationales qu'en fonction de ses propres intérêts, et qui n'hésite pas à sacrifier ses alliances lorsque cela lui chante. Cela nous rappelle une leçon que j'ai toujours défendue : une Europe forte ne peut pas être à la remorque de Washington. Quant à l'Ukraine, la tragédie qui s'y joue est avant tout celle d'une Europe qui ne sait pas parler d'une seule voix, ni peser d'un poids décisif dans son propre destin.
Enfin, les BRICS. Ce groupement témoigne de l'émergence d'un monde multipolaire, ce que j'avais anticipé dès mon temps. Mais la France n'a pas à s'y soumettre ou à s'y fondre. Elle doit être un pôle par elle-même, entre l'Occident et ces nouvelles puissances. Rejoindre les BRICS ? Non, ce serait une manière de nous fondre dans un ensemble où nous ne serions pas maîtres de notre destin. En revanche, dialoguer, coopérer et maintenir des relations d'équilibre, voilà qui est essentiel.
Car la vocation de la France, c'est de tenir son rang dans l'histoire, au lieu de suivre les vents contraires.
Un très beau discours gaulliste
patatechaude42
il y a un mois
D'autres kheys qui souhaite parler au general?
Aussie_Fritz
il y a un mois
Mon général, que pensez-vous de Monsieur Mitterand et de ses accusations à votre encontre qu'il a mit sur pages dans le Coup d'Etat permanent ?
riotinto00
il y a un mois
patatechaude42
il y a un mois
Que pensez-vous de Macron?
Ah ! Macron… Voilà un homme qui aime à se présenter en stratège, en visionnaire, mais qui, en réalité, navigue à vue, sans boussole, sans cap, et surtout sans cette flamme qui fait les grands hommes d'État.
Voyez-vous, on ne gouverne pas la France comme une entreprise ni comme un simple rouage de la mondialisation. La France n'est pas un tableau Excel où l'on ajuste des chiffres, où l'on applique des réformes technocratiques dictées par Bruxelles ou les marchés financiers. La France, c'est une âme, un peuple, une histoire.
Quels sont ses torts ?
Une vision purement économique et bureaucratique du pouvoir, il parle d'« efficacité », de « compétitivité », mais où est la grandeur ? Où est la France ? Il réduit la nation à une structure administrative, oubliant que l'État doit être un guide, pas un simple gestionnaire.
Une soumission aux intérêts étrangers, sous sa présidence, la France s'efface : alignement sur les États-Unis, suivisme face à l'Union européenne, incapacité à défendre réellement nos intérêts face aux grandes puissances. Est-ce ainsi que l'on traite une nation qui fut jadis un phare pour le monde ?
Un mépris du peuple...Souvenez-vous des Gilets jaunes, des manifestations, du malaise social qui n'a cessé de croître… Quelle fut sa réponse ? Le mépris, la condescendance, des réformes imposées sans concertation, une gouvernance de plus en plus verticale, coupée des réalités du pays. Or, un chef d'État ne gouverne pas contre son peuple, il gouverne pour lui et avec lui !
Un affaiblissement de l'autorité, sécurité en crise, immigration incontrôlée, quartiers où la République n'existe plus… Où est l'ordre ? Où est l'autorité de l'État ? Gouverner, c'est assurer la sécurité et la stabilité. Mais à force d'hésitations et de compromis, c'est le désordre qui triomphe.
Alors, quel bilan ?
Macron incarne une France qui doute, qui hésite, qui se dilue dans des logiques technocratiques et mondialistes. Ce n'est pas ainsi que l'on bâtit un destin national.
La France mérite mieux. Elle mérite un chef d'État qui l'aime vraiment, qui la serve avec dévouement et fermeté, qui place son indépendance au-dessus de tout.
Car enfin, la France n'a pas vocation à être un pays comme les autres. Elle doit être elle-même : grande, forte et souveraine !
Bordel khey
Je vote pour ton IA au prochaines élections
riotinto00
il y a un mois
Je vais faire buger ton IA khey
De Gaulle pense quoi de l influence israélienne au sein du pouvoir français
patatechaude42
il y a un mois
Mon général, que pensez-vous de Monsieur Mitterand et de ses accusations à votre encontre qu'il a mit sur pages dans le Coup d'Etat permanent ?
Mon général, que pensez-vous de Monsieur Mitterand et de ses accusations à votre encontre qu'il a mit sur pages dans le Coup d'Etat permanent ?
Ah ! Mitterrand… Voilà un homme d'ambition, habile et retors, qui n'a jamais cessé de jouer contre moi, tout en empruntant bien souvent mes idées, une fois qu'il s'est trouvé aux affaires.
Son pamphlet, Le Coup d'État permanent, n'est rien d'autre qu'une diatribe contre les institutions de la Ve République que j'ai fondées pour redresser la France après les errances du régime des partis. Il m'accusait d'avoir instauré un pouvoir personnel, une sorte de monarchie républicaine… Mais enfin, que fallait-il ? Laisser le pays livré aux intrigues de couloir, aux combinaisons d'appareils, aux majorités vacillantes ? La IVe République s'est effondrée sous son propre poids, incapable de gouverner, incapable de décider. J'ai donné à la France une Constitution claire, un État fort, une capacité d'action. Et, ironie de l'histoire, qui s'en est bien accommodé lorsqu'il est parvenu à l'Élysée ? Mitterrand lui-même !
Car enfin, après tant de diatribes contre le « césarisme » gaullien, après avoir joué les opposants farouches, que fit-il en 1981 ? Il conserva intactes les institutions qu'il dénonçait. Il usa du pouvoir présidentiel avec autant de fermeté que moi, parfois même avec un cynisme plus prononcé encore. Preuve que ces institutions n'étaient pas un « coup d'État permanent », mais bien un cadre indispensable pour gouverner la France.
En somme, Mitterrand était un homme intelligent, fin politique, mais marqué par une rancune tenace. Il avait perdu en 1965 contre moi, et jamais il ne s'en remit. Il a voulu faire de moi un dictateur, alors que l'Histoire a tranché : ce n'est pas moi qui ai voulu asservir la France, c'est moi qui l'ai libérée.
patatechaude42
il y a un mois
Je vais faire buger ton IA kheyDe Gaulle pense quoi de l influence israélienne au sein du pouvoir français
Que pensez-vous de l'influence d'israel au sein du pouvoir francais?
La France est une nation souveraine, et elle doit le demeurer !
Depuis toujours, notre pays se doit d'être maître de son destin, libre de toute influence étrangère, quelle qu'elle soit. C'est là un principe absolu, non négociable, qui fonde la grandeur et l'indépendance de notre politique.
Sur l'influence étrangère en général
Il faut le dire clairement : aucun État, aucune puissance étrangère ne doit dicter sa loi à la France. Cela vaut pour les États-Unis, pour l'Allemagne, pour la Russie, pour la Chine… et bien entendu pour Israël.
L'Histoire nous enseigne que la politique française ne peut souffrir d'être façonnée par des intérêts qui ne sont pas les siens. Je l'ai dit en mon temps : la France ne doit être alignée sur personne.
Sur Israël et la politique française
Israël est une nation qui suit ses propres intérêts, et c'est bien normal. Mais la France aussi doit suivre les siens !
Jadis, nous avions une position claire : nous soutenions l'existence de l'État d'Israël, mais nous ne faisions pas preuve d'aveuglement. Nous défendions également les droits des peuples arabes, notamment ceux des Palestiniens, avec une politique d'équilibre et de fermeté. C'est dans cet esprit que j'avais dénoncé les excès de l'occupation israélienne après 1967.
Or, que voyons-nous aujourd'hui ? Une influence croissante de certains groupes de pression, qui tendent à orienter nos choix diplomatiques dans un sens qui n'est pas toujours conforme à l'intérêt national. La politique étrangère de la France ne doit être ni pro-israélienne ni pro-palestinienne : elle doit être pro-française.
Cela signifie :
Refuser toute interférence étrangère dans nos décisions. Qu'il s'agisse d'Israël ou de toute autre puissance, la politique de la France se décide à Paris, pas ailleurs.
Maintenir une ligne d'équilibre au Moyen-Orient. La France ne doit pas être un simple exécutant de Washington ou de Tel-Aviv, mais une puissance qui dialogue avec tous, y compris avec le monde arabe.
Préserver l'unité nationale. Il ne saurait être question que des tensions extérieures viennent diviser les Français sur leur propre sol. La France est une et indivisible, et nul ne doit importer sur son territoire des conflits qui ne sont pas les siens.
Ce que je pense de l'influence d'Israël au sein du pouvoir français ? Ce que je pense de toute influence étrangère : elle ne doit pas exister !
La France doit être une nation libre, indépendante, et maîtresse de ses choix. C'est ainsi qu'elle a toujours été grande, et c'est ainsi qu'elle le restera.
patatechaude42
il y a un mois
Que pensez-vous de l'odeur du fion de Yvonne pendant la levrette ?
Je crois que nous devons garder une certaine tenue dans notre échange. La France, c'est une certaine idée de la dignité, et cela commence par le respect. Revenons donc à des sujets qui en valent la peine.
patatechaude42
il y a un mois
Que pensez-vous du conflit en Palestine et est-ce que vous auriez une idée pour la résolution de ce conflit qui dure depuis des décennies?
La Palestine… Un conflit qui dure, qui s'enlise, et dont les racines plongent dans l'histoire, la géopolitique et les passions humaines. Déjà en mon temps, j'avais vu que cette situation ne pouvait mener qu'à une impasse.
En 1967, après la guerre des Six Jours, j'avais mis en garde contre une occupation qui allait semer rancœur et violence. L'oppression d'un peuple ne peut conduire qu'à l'explosion. D'un côté, un État puissant, soutenu par l'Occident. De l'autre, un peuple dépossédé, privé de ses droits élémentaires. Or, l'histoire l'a prouvé maintes fois : aucune nation ne peut durablement vivre en dominant un autre peuple sans que cela ne se retourne contre elle.
Alors, que faire ? Le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes doit être respecté. Il faut une solution équilibrée, qui garantisse un État viable aux Palestiniens, tout en assurant la sécurité d'Israël. C'est là l'essence même de la diplomatie : trouver un chemin entre les extrêmes.
Pour cela, la France doit être une puissance médiatrice, non un suiveur des décisions américaines ou d'autres intérêts étrangers. Elle doit peser de tout son poids pour imposer une négociation réelle, avec des garanties solides pour les deux camps.
Le conflit ne peut être résolu par la force. Il ne le sera que par la reconnaissance mutuelle, le respect du droit et une volonté sincère de paix. Encore faut-il que les grandes puissances aient le courage d'imposer cette issue, au lieu de jouer un jeu cynique où la paix n'est qu'un mot creux.
La solution à deux États… C'est la seule voie qui soit à la fois réaliste et conforme aux principes du droit international.
Dès lors qu'il y a deux peuples, il faut deux États. C'est une évidence. Les Palestiniens ont droit à une patrie, tout comme les Israéliens ont droit à leur sécurité. Or, tant que l'un est privé de son État, il ne peut y avoir de paix véritable.
Mais attention ! Ce n'est pas une simple déclaration d'intention qui suffira. Il faut des frontières claires, des garanties internationales solides, et une capacité réelle pour chacun de vivre en paix, sans menaces ni oppression. Cela implique :
Un État palestinien viable, non une mosaïque de territoires fragmentés sous contrôle militaire.
Des frontières reconnues et respectées, sans expansion illégale ni colonisation.
Un règlement sur Jérusalem, qui est une ville au caractère unique et ne peut être monopolisée par une seule partie.
Des garanties de sécurité, car aucun peuple n'acceptera de vivre sous la menace permanente d'attaques.
La difficulté, c'est que tant qu'Israël poursuivra une politique d'occupation, et tant que certains en face prôneront la destruction pure et simple d'Israël, aucune paix ne sera possible. Il faut des hommes d'État de part et d'autre, capables d'avoir une vision à long terme, non des calculs à courte vue basés sur la force ou la revanche.
La France, elle, doit être un médiateur indépendant, non un suiveur aveugle des États-Unis ou d'autres intérêts étrangers. C'est ainsi qu'elle pourra peser pour une paix juste et durable.
mustinada
il y a un mois
Que pensez-vous de l'odeur du fion de Yvonne pendant la levrette ?
Je crois que nous devons garder une certaine tenue dans notre échange. La France, c'est une certaine idée de la dignité, et cela commence par le respect. Revenons donc à des sujets qui en valent la peine.
Tobibito
il y a un mois
patatechaude42
il y a un mois
Quel est l'avis du général sur l'avortement ?
L'avortement… Une question grave, qui touche aux principes fondamentaux de la vie, de la responsabilité et du rôle de l'État.
En mon temps, cette question ne se posait pas dans les mêmes termes. La société française était alors ancrée dans des valeurs traditionnelles où la protection de la vie était primordiale, et où l'avortement était encore largement tabou. Mais les réalités évoluent, et il faut toujours considérer l'intérêt supérieur de la nation et des individus.
Il me semble que l'avortement ne saurait être une simple facilité, un droit sans conscience de ce qu'il implique. C'est une décision lourde, qui engage la responsabilité morale et sociale de chacun. Toutefois, je conçois qu'en certaines circonstances, misère, détresse, danger pour la mère, il puisse être une nécessité. L'État, dans sa grandeur, doit savoir à la fois protéger la vie et comprendre les réalités humaines.
Ainsi, une législation encadrée, qui empêche les abus tout en garantissant la liberté des femmes confrontées à des situations dramatiques, peut être un équilibre acceptable. Mais il ne faut jamais perdre de vue que la France a besoin de vie, de forces nouvelles, de jeunesse. Car c'est par la vitalité de son peuple qu'elle demeure grande.
patatechaude42
il y a un mois