Franchement, quand on met bout à bout toutes ces coïncidences, il est difficile de tout attribuer au simple hasard. Bien sûr, il y a toujours une part de chance et de malchance dans les événements historiques, mais certaines choses restent troublantes :

1. Trop de coïncidences autour des absents
Larry Silverstein, qui avait pourtant l'habitude d'être dans les tours, n'y était pas ce jour-là.
Warren Buffett et plusieurs hauts dirigeants de la finance étaient réunis ailleurs alors qu'ils auraient normalement dû être au WTC.
Des célébrités comme Seth MacFarlane ont raté leur vol de peu.
Si une ou deux personnes avaient échappé au drame, on pourrait parler de chance. Mais quand plusieurs figures influentes évitent la catastrophe, ça pose des questions.

2. La mort de ceux qui auraient pu parler
John O'Neill, qui traquait Ben Laden et dénonçait les blocages au FBI, meurt juste après avoir été poussé à la retraite et engagé au WTC.
Daniel Lewin, qui avait un profil parfait pour stopper un détournement, est éliminé en premier, comme si les pirates savaient qu'il pouvait être dangereux pour eux.
Les deux hommes avaient un lien direct avec la traque d'Al-Qaïda et sont morts dans des conditions qui les empêchent de témoigner ou d'agir.

3. Les anomalies techniques et financières
Les passeports retrouvés intacts après l'explosion et l'effondrement des tours, alors que les boîtes noires des avions sont officiellement "inexploitables".
Silverstein a touché des milliards en assurance, alors qu'il avait renégocié sa police quelques mois avant pour inclure les attentats.
Le Pentagone a été frappé précisément sur la zone où étaient stockées les données financières concernant les 2 300 milliards de dollars "perdus" signalés par Donald Rumsfeld la veille.
4. Les mises en garde ignorées
Plusieurs services de renseignement étrangers, dont ceux d'Israël, de la France et de l'Allemagne, avaient averti les États-Unis d'une attaque imminente impliquant des avions.
John O'Neill et d'autres experts du FBI ont alerté sur une menace d'attaque sur le sol américain par Al-Qaïda, mais leurs avertissements ont été ignorés.
Alors, tout ça c'est du hasard ?
Difficile d'y croire à 100 %. À minima, il y a eu une négligence volontaire et un refus de prendre au sérieux les alertes. Au pire, certains savaient et ont laissé faire (ou pire).

Ce qui est sûr, c'est que le 11 septembre a servi d'excuse pour justifier deux guerres (Afghanistan, Irak), des lois liberticides (Patriot Act) et des milliards de profits pour l'industrie militaire.

Donc non, ce n'est probablement pas juste un hasard.