moi je pense que ça marche d'abord comme ça, ensuite viennent les qualités, le travail etc , mais d'abord de l'idée d'être exceptionnel ou de la prise de conscience de l'être et de la volonté de se permettre de l'être , ensuite la vie fait son œuvre entre opportunités, / succès / échecs/ déceptions et ces evenements viennent confirmer , rectifier ou infirmer ces idées

El famoso hpi
"Votre enfant est tres étourdi et dissipé, mais il a des capacités"

Parce que le dev personnel ne se limite pas à l'émancipation financière c'est vraiment la vision qui devient dominante avec ces pubs insupportable à base de voiture , appartement, costume de luxe de location et de tu veux gagner de l'agrent depuis chez toi " qui pullulent sur yt et autres rs )

mais s intéresse également aux développement dans certains domaines physique, relationnels, psychologique , philosophique, spirituel, organisationnel etc etc ( d'ailleurs quand j'entends dev perso je pense plutôt à ça) qui répondent a des attentes sociétales qui ne sont pas forcément les mêmes pour les hommes et femmes

faut voir ce qui a été mit en place , peut être que devenir riche n'est pas si aisé, mais par exemple améliorer sa confiance en soi, son estime de soi , ses "compétences sociales " ça doit pouvoir se faire

On en revient toujours aux mêmes conclusions.

Le cosmos au sens philosophique antique du terme c'est-à-dire l'ordre des choses prend le dessus. Les gens ont un manque d'ambition par fatalisme de leur condition initiale qui est éminemment génétique. Tout le monde ne peut pas réussir au sens où tu l'entends. Il faudra inévitablement des gens pour retourner ton steak à McDo ou pour monter à 8h du mat sur des échaufaudages avec le Ricard dans le sang au chantier pour exercer les métiers difficiles mais fondamentaux pour la société.
S'ils ne quittent pas, même après des années, leur métier et qu'ils ne font rien pour échapper à leur condition, comment peux-tu leur reprocher ? Ce sont souvent des gens particulièrement peu doués intellectuellement et peu lucide sur leur existence. Ça reviendrait à reprocher à ton chien d'avoir fait ses besoins sur ton tapis. Ils suivent leur nature profonde qui les conditionne à se complaire de leur situation et à limiter au maximum le virage à 180° sur leur existence. Ils s'enlisent alors petit à petit dans une situation qu'ils s'auto-persuadent d'apprécier et d'avoir choisie.
Et puis faut dire que la société ne facilite pas l'élévation sociale.