Les cyclistes sont supérieurs aux bagnolins tout simplement.

Déjà pour commencer, pas besoin d'une boite en métal pour se sentir pousser des couilles, zero casque zero doses et acceptation de notre mortalité tandis que les bagnolards fantasment d'écraser des cyclistes alors qu'ils attendent comme des cucks que le feu soit vert.

Pendant que le bagnolard prend du bide et vide ses poches à la pompe le cycliste travail son cardio et se fait pomper par la femme du bagnolard.

Elle en a plus qu'assez d'attendre qu'il sorte des bouchons.

Non content de prendre 90% de l'espace public pour se garer et rouler, le bagnolard hurle quand il doit rouler au pas sur 400 mètres car précédé d'un digne cycliste.
Ces 400 mètres pour lui ce n'est pas rien et il se les fait voler par le cycliste !
Sur ces 400 mètres il aurait pu appuyer sur le champignon et se sentir libre pendant 15 secondes. 15 secondes ou il pourrait oublier les taxes, les bouchons, la révision à venir, l'immatriculation, que dis je, le code barre qui permettra au système de le retrouver si par hasard il sortait du conditionnement pavlovien imposé à juste titre. Car beaucoup de bagnolins, ne savent pas conduire.

La sensation qu'ils recherchent sur ces 400 mètres, c'est celle du cycliste qui chauffe son muscle, brûle des calories, qui de ses tripes propulse tout son corps de la manière la plus optimisée en rapport vitesse énergie auquel même la divine évolution des espèce n'avait pu concevoir.

Il cherche la sensation de griller un feu rouge pour se laisser porter par la descente, prendre les routes vers où bon lui semble, dans le bon sens, à contre sens, sur les trottoirs, sur la route, dans les champs. Rien ne peu l'arrêter. Il peu réparer sa monture avec trois coups d'huile de coude tandis que le bagnolard doit se faire extorquer par des garagistes cupides qui vivent de l'obsolescence programmée en chaque véhicule.

Finalement le cycliste attend juste l'extinction de cette espèce vieillissante, tel les mamouths il ne restera bientôt plus que des cimetières de carcasses qui seront analysés dans le futur comme des fossiles d'une aire révolue ou il fallait des grandes avenues pour faire circuler à peine une cinquantaine de personnes, imbues d'elles même au point de croire qu'elles méritaient cet espace plus que la race supérieure des cyclistes.