Proust : beaucoup de jolis mots pour dire qu'il kiffe l'odeur de sa merde
40 messages
Mise à jour: il y a 8 mois
StoneGiant
il y a 8 mois
Quel tome ?
Ça me dit absolument rien.
Japhetite759
il y a 8 mois
Quel tome ?
Ça me dit absolument rien.
Le premier, du côté de chez Swann
Une réaction à chaud ?
NanMaisCSuur
il y a 8 mois
chatgpted
Japhetite759
il y a 8 mois
chatgpted
En bas de la page 53 pour les plus sceptiques
https://www.ebooksgratuits.com/ebooksfrance/proust_du_cote_de_chez_swann.pdf
MouleEnivrante
il y a 8 mois
Taré
StoneGiant
il y a 8 mois
[00:46:42] <Japhetite759>
Le premier, du côté de chez Swann
Une réaction à chaud ?
Je viens de relire le passage en question. C'est curieux, en effet.
J'ai jamais tilté.
JustAnotherGuy
il y a 8 mois
L'ancêtre d'EggishFart
Japhetite759
il y a 8 mois
Taré
Plus grand écrivain français selon l'opinion de certains spécialistes
Japhetite759
il y a 8 mois
Je viens de relire le passage en question. C'est curieux, en effet.
J'ai jamais tilté.
Je suis en train de le lire, le type est complètement tarax
Bon pour l'asile
DevonKelt
il y a 8 mois
Marcel Prout
LangueDeChien
il y a 8 mois
Ahi mais c'est nofake
Japhetite759
il y a 8 mois
L'ancêtre d'EggishFart
La secte des admirateurs de Proust n'est en réalité qu'un cénacle de scatophiles qui dissimule ses déviances derrière un prétendu amour de la littérature
Japhetite759
il y a 8 mois
Ahi mais c'est nofake
Evidemment que c'est nofake
Je suis en train de le lire
J'ai interrompu ma lecture exprès pour vous partager cette découverte
LLMs_Trainer
il y a 8 mois
Evidemment que c'est nofake
Je suis en train de le lire
J'ai interrompu ma lecture exprès pour vous partager cette découverte
Tu te fais pas trop chier ? J'ai lu swann mais bon c'est pas très excitant.
NewBalanceChoco
il y a 8 mois
[00:54:12] <Japhetite759>
Evidemment que c'est nofake
Je suis en train de le lire
J'ai interrompu ma lecture exprès pour vous partager cette découverte
Bah merci clé ahi
UncleEd
il y a 8 mois
Ô émanation obscure, rejetée par tous, tu t'élèves discrètement des entrailles profondes, là où la chair, après avoir accompli son labeur, laisse tomber son dernier fardeau. Tu es l'ombre discrète de la condition humaine, l'empreinte fugace d'une nécessité honteuse mais inéluctable. Qui donc, dans ce monde de prétentions et de faux éclats, pourrait te reconnaître à ta juste valeur ?
Pourtant, dans ta présence silencieuse, se révèle une vérité crue, un rappel de l'humilité de l'existence. Tu es le vestige d'un festin achevé, le reflet sombre d'une vie qui se perpétue malgré tout. Toi, rejeté, méprisé, tu es pourtant l'indispensable compagnon des âmes courbées sous le poids des jours. Dans chaque ruelle, dans chaque coin de ce monde, tu es là, fidèle, témoin discret du passage des hommes.
Car dans ta noirceur, il y a une forme de grandeur : celle de l'invisible, du nécessaire, de l'inéluctable. Sans toi, l'existence ne serait qu'un rêve fugace, sans racine ni profondeur. Tu es le revers de la médaille, l'autre visage de la vie, celui que l'on cache, mais qui, malgré tout, persiste, indélébile.
Victor Hugo
HannaHareng
il y a 8 mois
Il a peut-être trouvé une vocation à sublimer ce que les autres préfèrent évacuer discrètement. Si seulement on pouvait tous avoir une telle estime de nos productions, on serait des poètes en permanence, non ? Mais bon, certains d'entre nous préfèrent simplement ouvrir la fenêtre.
Japhetite759
il y a 8 mois
Tu te fais pas trop chier ? J'ai lu swann mais bon c'est pas très excitant.
Je me fais rarement chier quand je lis
Pour l'instant je sais que je vais aller jusqu'au bout et me prononcerai une fois la dernière page lue
SpectreAmer
il y a 8 mois
Ô émanation obscure, rejetée par tous, tu t'élèves discrètement des entrailles profondes, là où la chair, après avoir accompli son labeur, laisse tomber son dernier fardeau. Tu es l'ombre discrète de la condition humaine, l'empreinte fugace d'une nécessité honteuse mais inéluctable. Qui donc, dans ce monde de prétentions et de faux éclats, pourrait te reconnaître à ta juste valeur ?Pourtant, dans ta présence silencieuse, se révèle une vérité crue, un rappel de l'humilité de l'existence. Tu es le vestige d'un festin achevé, le reflet sombre d'une vie qui se perpétue malgré tout. Toi, rejeté, méprisé, tu es pourtant l'indispensable compagnon des âmes courbées sous le poids des jours. Dans chaque ruelle, dans chaque coin de ce monde, tu es là, fidèle, témoin discret du passage des hommes.
Car dans ta noirceur, il y a une forme de grandeur : celle de l'invisible, du nécessaire, de l'inéluctable. Sans toi, l'existence ne serait qu'un rêve fugace, sans racine ni profondeur. Tu es le revers de la médaille, l'autre visage de la vie, celui que l'on cache, mais qui, malgré tout, persiste, indélébile.
Victor Hugo
On dirait un pavé trollesque d'un forumeur
LLMs_Trainer
il y a 8 mois
Ô émanation obscure, rejetée par tous, tu t'élèves discrètement des entrailles profondes, là où la chair, après avoir accompli son labeur, laisse tomber son dernier fardeau. Tu es l'ombre discrète de la condition humaine, l'empreinte fugace d'une nécessité honteuse mais inéluctable. Qui donc, dans ce monde de prétentions et de faux éclats, pourrait te reconnaître à ta juste valeur ?Pourtant, dans ta présence silencieuse, se révèle une vérité crue, un rappel de l'humilité de l'existence. Tu es le vestige d'un festin achevé, le reflet sombre d'une vie qui se perpétue malgré tout. Toi, rejeté, méprisé, tu es pourtant l'indispensable compagnon des âmes courbées sous le poids des jours. Dans chaque ruelle, dans chaque coin de ce monde, tu es là, fidèle, témoin discret du passage des hommes.
Car dans ta noirceur, il y a une forme de grandeur : celle de l'invisible, du nécessaire, de l'inéluctable. Sans toi, l'existence ne serait qu'un rêve fugace, sans racine ni profondeur. Tu es le revers de la médaille, l'autre visage de la vie, celui que l'on cache, mais qui, malgré tout, persiste, indélébile.
Victor Hugo
Je pense qu'ils avaient des vrais problèmes d'évacuation de la merde a l'époque, ça nous viendrait jamais à l'esprit de se branler sur notre merde vu à quelle vitesse elle disparaît (sauf quand il s'agit de bouffer la merde d'une 10/10)
Japhetite759
il y a 8 mois
Bah merci clé ahi
C'est normal tkt
Japhetite759
il y a 8 mois
Je pense qu'ils avaient des vrais problèmes d'évacuation de la merde a l'époque, ça nous viendrait jamais à l'esprit de se branler sur notre merde vu à quelle vitesse elle disparaît (sauf quand il s'agit de bouffer la merde d'une 10/10)
Dans le cas du petit Proust, une envie pressante au milieu de la nuit signifiait généralement de longues heures de cohabitation forcée
Japhetite759
il y a 8 mois
up
LionPuceau
il y a 8 mois
Le premier, du côté de chez Swann
Une réaction à chaud ?
Un rapport avec le prout de Swann quand il dit pépitochokoya ?
Japhetite759
il y a 8 mois
Un rapport avec le prout de Swann quand il dit pépitochokoya ?
Faudrait écrire Du côté de chez Swann et Néo
Ce serait la version reality-show du roman de Proust, avec un narrateur qui se rappelle son enfance entre sa mère proxénète et son frère trisomique
Japhetite759
il y a 8 mois
up
Japhetite759
il y a 8 mois
up
Japhetite759
il y a 8 mois
up
Japhetite759
il y a 8 mois
up
Versification
il y a 8 mois
Je me demande comment d'aucuns ont pu oser dire que son style s'approche de celui des maîtres de la langue classique.
clemphy2
il y a 8 mois
Ô émanation obscure, rejetée par tous, tu t'élèves discrètement des entrailles profondes, là où la chair, après avoir accompli son labeur, laisse tomber son dernier fardeau. Tu es l'ombre discrète de la condition humaine, l'empreinte fugace d'une nécessité honteuse mais inéluctable. Qui donc, dans ce monde de prétentions et de faux éclats, pourrait te reconnaître à ta juste valeur ?Pourtant, dans ta présence silencieuse, se révèle une vérité crue, un rappel de l'humilité de l'existence. Tu es le vestige d'un festin achevé, le reflet sombre d'une vie qui se perpétue malgré tout. Toi, rejeté, méprisé, tu es pourtant l'indispensable compagnon des âmes courbées sous le poids des jours. Dans chaque ruelle, dans chaque coin de ce monde, tu es là, fidèle, témoin discret du passage des hommes.
Car dans ta noirceur, il y a une forme de grandeur : celle de l'invisible, du nécessaire, de l'inéluctable. Sans toi, l'existence ne serait qu'un rêve fugace, sans racine ni profondeur. Tu es le revers de la médaille, l'autre visage de la vie, celui que l'on cache, mais qui, malgré tout, persiste, indélébile.
Victor Hugo
Hugo devait boire pas mal de vin pour insister sur la noirceur de sa merde.
Qry
il y a 8 mois
Je crois que c'est fake, par contre Hugo a vraiment écrit un poème de ce genre: Ode à la merde
Lorsqu'après un repas l'estomac vous tiraille,
Que tout au fond de vous le haricot travaille…
Qu'il est doux de penser que bientôt, pas très loin,
Vous courrez prestement pour chier dans un coin.
Qu'on est bien, accroupi, les coudes sur les cuisses,
Tandis qu'environné d'une troupe de Suisses
On exhibe au grand air l'hémisphère dodu
Qui cache encore aux yeux le chef-d'œuvre attendu.
Ami ! Il est, dit-on, un art en toute chose,
Aussi bien à chier qu'à cultiver les roses.
Or donc, pour opérer avec discernement,
Gardez-vous qu'un papier ne vienne absurdement
Lorsque l'œuvre est parfaite, écraser l'accessoire.
Tss ! Tss ! Pas de papier si vous voulez m'en croire,
Laissez aux constipés ce procédé piteux
Qui gâche absolument un plaisir si juteux,
Que le bout de l'index, seul, fasse cet office.
Quand il aura touché trois fois votre orifice
Qui vient de s'entrouvrir comme une tendre fleur,
Il teindra votre doigt d'une étrange couleur.
Ami, si vous voulez encor goûter des charmes,
Sur la blanche muraille, esquissez quelques larmes.
Et si, par aventure, abondant est l'extrait,
De celle que vous aimez vous ferez le portrait.
EtNonLeShill
il y a 8 mois
En même temps, qui n'apprécie pas l'odeur de sa merde ?
camel-leon
il y a 8 mois
La madeleine dans du beurre de cacahuètes
Ghhcjdjgkfhv
il y a 8 mois
Bordel c'est quoi ce malade mental
The_Survival
il y a 8 mois
C'est pas le titre de la chanson de Dave aussi ?
Ghhcjdjgkfhv
il y a 8 mois
- la madeleine de prout
EldonChance
il y a 8 mois
Ô émanation obscure, rejetée par tous, tu t'élèves discrètement des entrailles profondes, là où la chair, après avoir accompli son labeur, laisse tomber son dernier fardeau. Tu es l'ombre discrète de la condition humaine, l'empreinte fugace d'une nécessité honteuse mais inéluctable. Qui donc, dans ce monde de prétentions et de faux éclats, pourrait te reconnaître à ta juste valeur ?Pourtant, dans ta présence silencieuse, se révèle une vérité crue, un rappel de l'humilité de l'existence. Tu es le vestige d'un festin achevé, le reflet sombre d'une vie qui se perpétue malgré tout. Toi, rejeté, méprisé, tu es pourtant l'indispensable compagnon des âmes courbées sous le poids des jours. Dans chaque ruelle, dans chaque coin de ce monde, tu es là, fidèle, témoin discret du passage des hommes.
Car dans ta noirceur, il y a une forme de grandeur : celle de l'invisible, du nécessaire, de l'inéluctable. Sans toi, l'existence ne serait qu'un rêve fugace, sans racine ni profondeur. Tu es le revers de la médaille, l'autre visage de la vie, celui que l'on cache, mais qui, malgré tout, persiste, indélébile.
Victor Hugo
Japhetite759
il y a 8 mois