Affirmer que l'affirmation selon laquelle les femmes aux cheveux bleus auraient systématiquement un problème avec leur père (absence, maltraitance) n'a aucun fondement scientifique...

Aucune étude en psychiatrie ne soutient une corrélation directe entre la couleur de cheveux, souvent le fruit d'un choix esthétique ou identitaire, et des antécédents familiaux spécifiques.
Je te mets au défi de m'en trouver, si tu te prétends expert-psychiatre, prouve-le.

Le choix de teindre ses cheveux en bleu peut refléter des préférences personnelles, une volonté d'expression artistique ou un désir de se démarquer socialement, sans pour autant être un indicateur psychologique ou clinique. En psychiatrie, les diagnostics se basent sur des évaluations rigoureuses incluant des entretiens, des observations comportementales et des critères bien définis, pas sur des suppositions superficielles ou des stéréotypes.

Attribuer des caractéristiques psychologiques ou des traumatismes familiaux sur la base d'un détail esthétique est une généralisation abusive qui peut stigmatiser inutilement des personnes.

Il est important de se méfier des "faits avérés" non étayés par des recherches solides et de privilégier une approche scientifique rigoureuse.