Publier un roman sans piston = IMPOSSIBLE

OP
GA

Gangxayisien

il y a 9 mois

Qu'on soit bien d'accord.

Déjà, la moitié des maisons refusent les nouveaux manuscrits et se contentent de publier et republier les auteurs décédés et ceux qu'elles publient depuis déjà des décennies.

Parmi la moitié de celles qui acceptent les nouveaux manuscrits, tu as tout au plus un quart qui liront sérieusement ton travail.

En clair, si t'as pas déjà un pied dans le milieu en connaissant des auteurs ou des éditeurs personnellement, alors c'est juste impossible de publier.

MA

Magenmagot

il y a 9 mois

JK Rowling l'a fait mais pas en France https://image.noelshack.com/fichiers/2022/43/6/1667048945-lisa-sourire.png

EL

eliaqim

il y a 9 mois

oui bah ça... à compte d'auteur sinon même si c'est pas idéal

OP
GA

Gangxayisien

il y a 9 mois


JK Rowling l'a fait mais pas en France https://image.noelshack.com/fichiers/2022/43/6/1667048945-lisa-sourire.png

Elle a galérée en dépit
Son succès est un coup de chance

OP
GA

Gangxayisien

il y a 9 mois


oui bah ça... à compte d'auteur sinon même si c'est pas idéal

Certains le font, comme Nabe, mais ils ont déjà suffisamment de notoriété pour se le permettre

OP
GA

Gangxayisien

il y a 9 mois

Up

GE

GerboiseEnRut

il y a 9 mois

Parce que les maisons d'édition exigent de grosses sommes pour publier (si accord): plusieurs miliers d'€.

Après la publicité faut avoir des liens ou avoir une maison d'édition qui te mettent dans ses priorités (issou). Sinon se démerder seul (bonne chance).

Faut que le genre du bouquin soit "vendable". Donc la poésie, théâtre malheureusement ne sont plus d'époque.

Quand tu vois le top Kindle des ventes sur Amazon (que des histoires de cul ou presque), tu comprends qu'une partie du marché est gangrénée par de la merde.

MB

MBPGH

il y a 9 mois

Elle a galérée en dépit
Son succès est un coup de chance

ça dépend du type de livre.
Si tu fais de la fantasy, young adult... de mes couilles, y'a moyen de trouver ta place chez un éditeur.
Exemple, l'auteure de "la passe-miroir" qui a été publiée en gagnant un concours il me semble.
et de bien d'autres auteurE (souvent des femmes) qui tapent dans ce créneau "young adult, romance, fantasy".

OP
GA

Gangxayisien

il y a 9 mois


Parce que les maisons d'édition exigent de grosses sommes pour publier (si accord): plusieurs miliers d'€.

Après la publicité faut avoir des liens ou avoir une maison d'édition qui te mettent dans ses priorités (issou). Sinon se démerder seul (bonne chance).

Faut que le genre du bouquin soit "vendable". Donc la poésie, théâtre malheureusement ne sont plus d'époque.

Quand tu vois le top Kindle des ventes sur Amazon (que des histoires de cul ou presque), tu comprends qu'une partie du marché est gangrénée par de la merde.

Certes, pourtant ça n'empeche pas ces maisons de publier tous les ans les torchons des copains

OP
GA

Gangxayisien

il y a 9 mois

ça dépend du type de livre.
Si tu fais de la fantasy, young adult... de mes couilles, y'a moyen de trouver ta place chez un éditeur.
Exemple, l'auteure de "la passe-miroir" qui a été publiée en gagnant un concours il me semble.
et de bien d'autres auteurE (souvent des femmes) qui tapent dans ce créneau "young adult, romance, fantasy".

Oui, car c'est ce qui génère le plus de profit. Par contre, publier de la poésie c'est un autre level

D2

Dric-C_2069

il y a 9 mois


Qu'on soit bien d'accord.

Déjà, la moitié des maisons refusent les nouveaux manuscrits et se contentent de publier et republier les auteurs décédés et ceux qu'elles publient depuis déjà des décennies.

Parmi la moitié de celles qui acceptent les nouveaux manuscrits, tu as tout au plus un quart qui liront sérieusement ton travail.

En clair, si t'as pas déjà un pied dans le milieu en connaissant des auteurs ou des éditeurs personnellement, alors c'est juste impossible de publier.

Je connais une auteure qui a cartonné dès le 1er livre. Après oui elle a commencé a la radio en redigeant des textes pour des chroniques au second plan, le temps de faire le reseau...

OP
GA

Gangxayisien

il y a 9 mois

Je connais une auteure qui a cartonné dès le 1er livre. Après oui elle a commencé a la radio en redigeant des textes pour des chroniques au second plan, le temps de faire le reseau...

Bah voilà, elle était deja dans le milieu

OO

OutOnTheRoad

il y a 9 mois

Oui, car c'est ce qui génère le plus de profit. Par contre, publier de la poésie c'est un autre level

Faut se faire à l'idée que poète n'est plus un métier. Des gens qui arrivent à vivre en ne publiant que des poèmes, ça doit se compter sur les doigts d'une main en France. T'es obligé d'avoir un autre métier ou de publier d'autres types des bouquins qui se vendent pour pouvoir te permettre de sortir des poèmes à côté.

MB

MBPGH

il y a 9 mois

Faut se faire à l'idée que poète n'est plus un métier. Des gens qui arrivent à vivre en ne publiant que des poèmes, ça doit se compter sur les doigts d'une main en France. T'es obligé d'avoir un autre métier ou de publier d'autres types des bouquins qui se vendent pour pouvoir te permettre de sortir des poèmes à côté.

oui écrire des poèmes n'a jamais été un métier à part entière.
Mais effectivement oui être publié en maison d'édition quand tu n'as pas de réseau est hyper compliqué.
Houellebecq pour "extension du domaine de la lutte" avait été refusé partout. Il s'agit d'un coup de chance et d'un mec qui a eu le flair de l'éditer.
Aujourd'hui grâce aux réseaux sociaux, tu peux te faire de la pub à peu de frais et parvenir a capter l'attention d'un éditeur, mais ça ne marche pas trop sur le long terme (et ça marche si t'es une fille mignonne qui cumule un grand nombre de "followers").

YH

Yhomgui

il y a 9 mois

De toute manière aujourd'hui la pill c'est ça : faut se faire connaître via les réseaux et une fois que t'as des abonnés tu peux créer autant de tunnels de vente que tu veux. C'est ce que font tous les mongols sans talent youtubeur, tiktoker et instagramer. Faut utiliser leur recette si tu veux publier

YH

Yhomgui

il y a 9 mois

oui écrire des poèmes n'a jamais été un métier à part entière.
Mais effectivement oui être publié en maison d'édition quand tu n'as pas de réseau est hyper compliqué.
Houellebecq pour "extension du domaine de la lutte" avait été refusé partout. Il s'agit d'un coup de chance et d'un mec qui a eu le flair de l'éditer.
Aujourd'hui grâce aux réseaux sociaux, tu peux te faire de la pub à peu de frais et parvenir a capter l'attention d'un éditeur, mais ça ne marche pas trop sur le long terme (et ça marche si t'es une fille mignonne qui cumule un grand nombre de "followers").

Camille Yolaine valide la dernière partie entre parenthèse

OP
GA

Gangxayisien

il y a 9 mois

Faut se faire à l'idée que poète n'est plus un métier. Des gens qui arrivent à vivre en ne publiant que des poèmes, ça doit se compter sur les doigts d'une main en France. T'es obligé d'avoir un autre métier ou de publier d'autres types des bouquins qui se vendent pour pouvoir te permettre de sortir des poèmes à côté.

Ah mais je dis pas le contraire khey
Publier=/= vivre de tes publications
Tu publies par amour de la poésie, pas par appât du gain
T'as des maisons spécialisées dans la poésie comme La Rougerie mais elles refusent les nouveaux manuscrits

OP
GA

Gangxayisien

il y a 9 mois

Up

MB

MBPGH

il y a 9 mois

Ah mais je dis pas le contraire khey
Publier=/= vivre de tes publications
Tu publies par amour de la poésie, pas par appât du gain
T'as des maisons spécialisées dans la poésie comme La Rougerie mais elles refusent les nouveaux manuscrits

Il faut bien que la maison d'édition survive financièrement. Il faut qu'elle puisse vendre sinon elle disparaît.

DR

DokutoruReiss

il y a 9 mois

À cœur vaillant, rien d'impossible. https://image.noelshack.com/fichiers/2017/48/4/1512053756-jesus-smoking-pipe.png