Le cul de TAL, véritable hégémonie aux falafels est aujourd'hui célébré partout en France, comme la divine pomme de Roch Hachana. Mais ce cul providentiel dont les courbes auraient pu êtres imaginées par Yahvé lui même est longtemps resté la propriété bien gardée des maitres Artisans falafels et Tel Aviv. Refusant de révéler aux yeux du monde leur "œuvre" diabolique, Tal resta enfermée dans le cachot de Simon Goldenbergstein, situé dans la cave de son atelier de falafels... Durant toute cette période, la jeune femme au cul honteusement bombé fût nourrit exclusivement a base de boulettes de pois chiches les plus riches du moyen-orient. Un jour, Moïse de passage dans la région entendit les gémissements de la jeune prisonnière au sous-sol, et, attiré par la Mezouza et par l'absence de son geôlier décida d'y descendre. Il découvrit alors TAL, enfermée dans sa prison dorée, et dont le cul surnaturel dépassait des barreaux. Le prophète lui même eu une érection salvatrice, et, s'aidant d'un Menorah, ouvra la porte de la cellule de notre pauvrette, comme il avait jadis ouvert la mer pour sauver les siens. La jeune femme maintenant libre fût honorée par la grâce de son sauveur, qui aspergea de son nectar d'amour, les fesses rebondit de la futur chanteuse, lui donnant ainsi l'aspect d'une belle pomme de Roch Hachana qui aurait été trempée dans le miel.

Une vieille épitaphe séfarade qui se murmure encore dans les assemblées des anciens de chaque Hanoukka, raconte que le cul de TAL, fouetté 700 fois a l'aide d'un chapelet de David, serait la clé de l'ouverture d'un portail dimensionnel vers les terres de ChaddaÏ, véritable terre promise du peuple sémite, ou les fruits et légumes qui poussent par milliers et de façon perpétuel sont bio et 100% KOSHER. Tal est donc, dans la mythologie rabbinique, peut être le Messie qu'attendait le peuple hébraïque tout entier, pour fuir une vie de misère, de persécution et de souffrance en direction du jardin d'Éden.