Rien n'est vrai. Tout est permis.

En attendant tu vote pour des gens qui vendent ton pays et les femmes a des oqtf qui s'amuse bien 😌👍

Si chaque homme vivait pour lui-même, il n'y aurait personne pour mourir dans des guerres futiles.

L'organisation sociale serait optimisée pour satisfaire l'intérêt de tout le monde le plus efficacement possible sans que personne ne soit perdant au change.

Pas une citation de Pythagore mais d'Hassan ibn Sabbâh, fondateur de la secte Nizârite.

L'objectif des nizârites était de promouvoir « la paix entre les Hommes par l'exaltation du libre-arbitre ».

Oups j'ai péter

Ça existe pas ton utopie. Le truc qui s'approche le plus de la nature c'est le chaos et à partir du chaos t'a toujours un ordre qui apparaît.

Demain tu met une société sans foi ni loi anarchiste où chacun est maître de soi et rien d'autre, dans 100 ans t'auras une hiérarchie des règles et un camp dominant qui construit sa société.

Cette question soulève des réflexions philosophiques profondes sur la nature des idéologies, la vérité et le rôle de l'individu dans la société. Voici une analyse qui explore les arguments pour et contre cette perspective.

L'idée que toutes les idéologies sont des superstitions repose sur le fait qu'elles sont des créations humaines, souvent influencées par des contextes historiques et des rapports de pouvoir. Les idéologies, comme le capitalisme, le communisme ou le patriotisme, cherchent à structurer la société autour de principes prétendument universels. Cependant, ces principes ne sont pas intrinsèquement vrais ou justifiés ; ils reflètent des intérêts particuliers ou des nécessités historiques. Par exemple, le capitalisme s'est imposé dans le monde moderne non pas parce qu'il serait une vérité absolue, mais parce qu'il a répondu à des besoins économiques précis à un moment donné. Cela peut effectivement conduire à penser qu'adhérer aveuglément à une idéologie revient à accepter une forme de superstition moderne.

Dire que la vérité n'existe pas et que croire en son existence est une superstition est une position radicale qui trouve des échos dans le relativisme philosophique. Si la vérité absolue existait, elle devrait être accessible à tous, indépendamment de leur culture ou de leur époque. Pourtant, ce n'est pas le cas. Les humains interprètent le monde à travers des filtres culturels, linguistiques et émotionnels, ce qui rend la vérité subjective. On peut donc affirmer que ce que nous appelons "vérité" est souvent un consensus temporaire ou une construction sociale, et non une réalité immuable.

L'idée que le Moi est la seule chose qui existe s'inspire du solipsisme, une position philosophique selon laquelle l'expérience individuelle est la seule certitude. Dans ce cadre, les idéologies sont perçues comme des systèmes qui asservissent l'individu en le forçant à se conformer à des valeurs collectives. Elles encouragent souvent le sacrifice personnel pour des causes prétendument supérieures, qu'il s'agisse de la patrie, de l'économie ou de la société dans son ensemble. Pour un esprit critique, cela peut être vu comme une forme de manipulation, où l'individu est réduit à un moyen pour atteindre des fins qui ne lui appartiennent pas.

Cependant, rejeter toutes les idéologies comme des superstitions et prôner l'individualisme absolu comporte aussi des limites. Si l'on considère que toutes les croyances collectives sont arbitraires, on risque de tomber dans un nihilisme paralysant, où aucune action ou coopération ne serait justifiée. Les idéologies, bien qu'imparfaites, jouent un rôle structurant essentiel. Elles permettent de créer un cadre commun qui favorise la coexistence, la justice et le progrès. Par exemple, les droits humains, bien qu'ils soient aussi une construction idéologique, ont permis des avancées concrètes dans la protection des individus. Sans ces cadres collectifs, l'individu pourrait se retrouver isolé face à des forces sociales ou naturelles qu'il ne pourrait affronter seul.

Enfin, le rejet absolu des idéologies et la glorification du Moi posent la question de l'éthique. Si l'on refuse toute vérité collective, comment décider ce qui est bien ou mal ? Un monde où chacun agit uniquement selon ses intérêts personnels pourrait devenir chaotique, voire dangereux. L'équilibre réside peut-être dans une reconnaissance des limites des idéologies sans pour autant les rejeter entièrement. Elles peuvent être critiquées et reformées, mais leur rôle dans la cohésion sociale et le sens donné à l'existence humaine ne peut être totalement nié.

L'essentiel est que la vérité (v minuscule) est une question de définition relative à la grille de compréhension utilisée, et que la Vérité (V majuscule), la réalité métaphysique, est totalement indépendante des grilles.

Choisissez une grille et, à travers celle-ci, une partie du chaos apparaît ordonné et le reste désordonné. Choisissez une autre grille et, le même chaos paraîtra ordonné et désordonné selon une distribution différente.

La Réalité est le Rorschach original

Fin de la discussion. On évolue sur la vérité minuscule et personne n'a accès à la Vérité absolue.

Donc seule la vérité minuscule compte pour l'humain.

Rajouter d'avantage derrière c'est pompeux pour rien, tu parle de quelque chose que tu ne connais pas par définition et tu pourras jamais y apporter aucune conclusion.