C'est pareil pour beaucoup d'œuvres ; il faut souvent faire confiance à notre intuition. D'excellents bouquins, écrits par des personnes intelligentes et douées, nous passent à travers. La faute n'est pas toujours celle de l'œuvre, mais accepter d'arrêter, c'est aussi se comprendre soi-même parfois.
C'est sûr qu'il est possible de passer à côté du déclic, mais l'admettre n'est pas un mal.

Pour les jeux vidéo, les investissements financiers sont tels que les pressions empêchent de plus en plus les créatifs de s'exprimer ; on se retrouve donc à regarder du côté du rétrogaming (bonne chose) ou des indés (bonne chose aussi) et le choix existe, mais là aussi, un goulet apparaît, pas forcément dans les expériences, mais plutôt dans nos capacités à les trouver.

Sans autres joueurs, ce sont les algorithmes qui nous présentent les jeux, ou les journalistes (-_-), mais ils sont de moins en moins pertinents.