François Fillon et l'huile de ricin : une affaire d'État

Dans l'histoire tumultueuse de la vie politique française, les débats passionnés ont souvent tourné autour de questions économiques, sociales ou environnementales. Mais jamais, au grand jamais, un détail aussi insolite que les sourcils d'un homme n'avait suscité autant de fascination. François Fillon, ancien Premier ministre et figure de proue de la droite française, a vu ses sourcils devenir le centre d'une polémique inattendue, mêlant esthétique, horticulture capillaire et supposées pratiques d'huile de ricin.

Une densité capillaire inexplicable

Depuis ses premiers pas sur la scène politique, Fillon a toujours été un homme au charisme discret, presque austère. Mais si ses discours étaient parfois jugés ennuyeux, ses sourcils, eux, ont toujours captivé les foules. Épais, sombres et majestueux, ils semblent avoir défié les lois de la biologie humaine. Certains observateurs n'hésitent plus à parler de "l'Amazonie des sourcils" pour décrire cette végétation opulente, suscitant admiration et interrogations.

Des dermatologues ont tenté d'expliquer le phénomène. "Un tel volume capillaire au niveau des sourcils est rarissime", confie le Dr Gérard Piloquin, spécialiste du follicule pileux. "Il est possible que M. Fillon ait recours à des traitements spécifiques, comme l'huile de ricin, connue pour favoriser la pousse des poils. Si c'est le cas, il a dû commencer il y a des décennies."

Une addiction méconnue ?

Les rumeurs d'une consommation frénétique d'huile de ricin ont commencé à se répandre sur les réseaux sociaux après une analyse approfondie de ses photos d'archives. Entre 1981 et 2020, on observe une progression spectaculaire de l'épaisseur de ses sourcils, presque symétrique à la diminution de sa chevelure. Certains experts y voient une réaffectation stratégique des ressources capillaires, orchestrée par Fillon lui-même.

Des sources anonymes au sein de son entourage affirment qu'il aurait commandé des litres d'huile de ricin pendant son mandat à Matignon, sous prétexte de soutenir "l'économie des huiles végétales". "À l'époque, on ne se doutait de rien", avoue un ancien conseiller. "Il disait que c'était pour revitaliser les meubles en bois du bureau. Mais aujourd'hui, quand on regarde ses sourcils, on comprend qu'il y avait autre chose."

Un sourcil d'or au service de la République

Pour ses partisans, ces sourcils épais incarnent la rigueur et l'autorité. "François Fillon, c'est un homme de principes, et ses sourcils sont le reflet de sa droiture", assure Jean-Jacques Pileau, militant des Républicains. "Un sourcil fin, c'est pour les opportunistes. Un sourcil fort, c'est pour les hommes d'État."

Ses détracteurs, en revanche, y voient un symbole d'excès. "Ces sourcils sont une métaphore de son arrogance politique", s'indigne une figure de l'opposition. "Trop de tout, comme ses costumes."

L'huile de ricin : un enjeu géopolitique ?

Plus inquiétant encore, des journalistes d'investigation ont découvert que l'huile de ricin utilisée par Fillon pourrait provenir de fournisseurs étrangers. Cette révélation pose des questions sur une possible dépendance stratégique de la France envers des pays producteurs d'huiles végétales. "Et si Fillon avait, sans le vouloir, compromis la souveraineté énergétique de la France pour ses sourcils ?", s'interroge un expert en géopolitique.

Une affaire jamais tirée au clair

Aujourd'hui, François Fillon refuse de commenter ces accusations. Interrogé par des journalistes lors d'un colloque sur les énergies renouvelables, il s'est contenté de hausser un sourcil ; geste interprété par certains comme un aveu implicite.

Une chose est sûre : les sourcils de Fillon resteront un mystère, un monument capillaire à la gloire de la vie publique française. Et qui sait, peut-être qu'un jour, une enquête parlementaire lèverait enfin le voile sur cette affaire d'État.