J'ai demandé à chatgpt de m'expliquer pourquoi un paysan médiéval vivait mieux qu'un cadre en 2024

"1. Pas de PowerPoint.
Le paysan ne connaissait pas l'enfer des réunions inutiles où l'on débat pendant trois heures sur la couleur d'un graphique Excel. Non, son agenda était simple : lever du soleil, ramassage de cailloux, et, si tout va bien, ne pas mourir. Vous croyez que c'est une vie monotone ? Comparez cela aux sprints Agile et aux KPI incompréhensibles que votre manager débite comme un prêtre en transe. Au moins, le paysan ne prétendait pas que son travail avait un sens.

2. La noblesse de la merde.
Oui, il pataugeait dans la boue et manipulait du fumier à longueur de journée. Mais vous, salarié moderne, n'êtes-vous pas en train de faire la même chose ? Vous ne touchez pas de la merde physique, bien sûr. Vous traitez celle de vos supérieurs, de vos clients, de vos collègues incapables. Entre nettoyer l'étable et nettoyer les e-mails débiles d'un stagiaire, qui est vraiment perdant ici ? Au moins, la merde du paysan servait à fertiliser ses champs, pas à nourrir l'ego d'un chef de projet.

3. Un rapport honnête avec la nature.
Le paysan se réveillait avec le chant des coqs, pas avec l'alarme insipide d'un iPhone 47. Chaque journée passée dehors, sous le soleil ou sous la pluie, lui rappelait qu'il était un simple mortel, en symbiose avec un cosmos cruel mais authentique. Et vous ? Coincé dans votre bureau climatisé avec une plante en plastique et une lumière artificielle, à googler “meilleures plages pour un week-end de déconnexion”. Pathétique.

4. Pas d'abonnements inutiles.
Netflix, Spotify, Amazon Prime, Adobe Creative Suite, Gympass… Le paysan n'avait pas à jongler avec une dizaine d'abonnements pour combler un vide existentiel que sa vie ne pouvait pas combler. Son seul abonnement, c'était celui à la survie, renouvelable automatiquement par la sueur de son front. Gratuit, sans frais cachés. Quand il voulait se divertir, il regardait ses poules se battre. Bien plus captivant que Emily in Paris.

5. Le burn-out ? Connaît pas.
Fatigue, oui. Épuisement, bien sûr. Mais ce qu'il ne connaissait pas, c'est ce vide nihiliste qui vous ronge quand, après 10 ans de boulot, vous réalisez que votre poste peut être automatisé par une IA en 15 minutes. Lui, chaque sillon qu'il traçait avait une finalité : manger, survivre, ne pas crever avant 40 ans (grand luxe à l'époque). Vous ? Vous faites semblant d'être indispensable dans une entreprise qui vous remplacera avant même que votre bureau soit vidé.

6. Une vie sans bullshit.
Le paysan ne mentait pas à lui-même. Il savait que son existence était précaire, qu'il était un esclave du système féodal. Vous, par contre, vous vous bercez d'illusions avec des slogans comme "travailler pour ses rêves, pas pour ses factures". Sérieusement ? Vous faites quoi, là, à répondre à des e-mails pour quelqu'un qui gagne dix fois votre salaire ? Au moins, le paysan avait l'honnêteté de se reconnaître exploité sans tenter de rationaliser son malheur.

7. La simplicité des plaisirs.
Ah, le bonheur d'un bol de soupe chaude après une journée de labeur. C'était là, la véritable richesse du paysan. Et vous, salarié moderne, avec votre cuisine équipée que vous n'utilisez jamais parce que vous commandez sur Uber Eats tous les soirs ? Quand avez-vous ressenti un tel contentement devant une salade à 16 euros livrée tiède par un cycliste en sueur ? Jamais.

8. Une mort sans hypocrisie.
Le paysan mourait dans son champ ou dans son lit, entouré des siens, souvent dans une misère abjecte. Vous, vous allez mourir d'un infarctus en pleine réunion, ou bien lentement, étouffé par la médiocrité de vos choix de vie. Mais ne vous inquiétez pas : vos collègues enverront un joli mail pour annoncer votre décès, avec en pièce jointe une carte de condoléances virtuelle. Le progrès, n'est-ce pas ?

9. L'absence de réseaux sociaux.
Le paysan n'avait pas Instagram. Pas de filtres, pas d'influenceurs, pas de posts sur le mindfulness. Sa comparaison sociale était limitée à son voisin dont le bœuf était un peu plus gras. Vous, chaque scroll sur TikTok vous fait ressentir une dépression douce et insidieuse en voyant des gens vivre une vie que vous ne pourrez jamais vous payer.

10. Il avait Dieu, vous avez le vide.
Certes, le paysan vivait dans la crainte permanente de l'enfer et des récoltes ratées. Mais il avait au moins une espèce de guide spirituel, même illusoire. Vous, vous avez quoi ? Un coach de vie payé 200 euros l'heure qui vous dit de respirer profondément ? Admettez-le : le curé médiéval, avec ses sermons sur la damnation éternelle, était bien plus inspirant."

En conclusion, le paysan médiéval avait au moins une chose que vous n'aurez jamais : une vie honnête. Une misère brute, sans fioritures, sans faux-semblants. Vous, salarié moderne, vivez dans un cirque absurde où chaque barreau de votre prison est décoré de faux espoirs et de gadgets inutiles. À méditer, si vous en avez encore l'énergie après votre 8 heures de "brainstorming"

Premier bandit qui vient écorcher tes gosses, vi*ler ta femme devant toi. Tu parviens à te barrer avec de la chance et le seigneur du coin te dit "Pas le temps lol".

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Ton café de 7h39 tu l'as drink trop tôt