[Récit/Pavé] Mon aventure extra-conjugale

OP
AD

AnonDominant

il y a 3 mois

Déjà, ce topic est bien évidemment 100% nofake. Si je poste avec un nouveau pseudo, c'est que je l'ai créé spécialement pour partager avec vous ce secret que je ne peux partager avec personne d'autre. Vu le système déplorable des niveaux, je ne pourrais pas être très actif, mais je vous lirai. Je pense que je vais trigger pas mal de khey avec cette histoire, en inspirer certains et en exciter beaucoup. Beaucoup d'informations personnelles seront tronquées, sciemment modifiées ou éludées pour ne pas que vous découvriez ma véritable identité sur le forum.

Pour expliquer rapidement ma situation, et l'objet du topic, un genre de TL:DR, j'ai rencontré une femme il y a quelques mois, une femme qui est devenue ma maitresse, une collègue de travail de ma compagne, une femme que j'aurais pu consommer et jeter, mais dont j'ai fait le choix, sciemment, de garder en maitresse. Je ne la fais pas espérer, elle sait que je ne quitterais jamais ma femme, j'aime sincèrement ces deux femmes, je lui donne tout l'amour dont elle a besoin, mais elle est en second et elle le sait. Et sur ce topic, vous verrez comment tout cela s'est déroulé.

Je vous romance le récit pour votre confort et je vous préviens, ça va être long, très long.

Partie 1/ Premier contact.

Mon aventure commence il y a un peu plus d'un an, ma compagne, et mère de ma fille, venait de changer de boulot. Après des années à faire le même emploi, elle en a simplement eu plein le cul et s'est trouvé un job différent qui la rapproche de ses besoins de materner, elle est devenue puéricultrice en crèche. Nouveau milieu social, nouvelles rencontres, elle s'est rapidement épanouie dans ce nouveau cadre. Elle a rapidement commencé à me parler de ses collègues, d'une en particulier, de 10 ans sa cadette, et avec qui ça collait particulièrement bien. J'envoie souvent des SMS à ma compagne, et je suis plutôt doué avec les mots. Je suis de manière générale un gars plutôt marrant, pince sans-rire, vous voyez le genre, et plusieurs fois elle a fait lire mes conneries à sa collègue, qui visiblement la faisait elle aussi beaucoup rire.

Un soir, en rentrant du taf et en me racontant sa journée, elle a innocemment placé que sa collègue avait fait une remarque sur moi. "il est super drôle" et c'est ce qui a déclenché ma spirale vers l'adultère, et un peu plus... Je n'arrivais plus à ne pas repenser à ces quelques petits mots, ce signe évident d'intérêt, cette brèche dans laquelle j'allais bientôt m'engouffrer corps et âme ; c'était désormais ma mission.
Au début, je ne pensais pas à l'ampleur que ça allait prendre, j'avais juste envie de la dégonder, un truc rapide, quoi, simple et sans prise de tête, mais au fil des semaines, ma compagne me rapportait de plus en plus d'éléments sur cette fille et quelque chose de plus s'est insinué en moi.
De plus en plus, je ressentais le besoin de la posséder, pas juste de l'utiliser une fois, mais de la posséder entièrement.

Cette fille, on va l'appeller Émilie, est une ancienne enfant battue. Pour l'originalité, ce n'est pas son père, mais sa mère qui lui foutait sur la tronche. Désormais âgée de 22 ans, Émilie est une fille particulière, qui a immédiatement attiré mon attention par sa manière d'être. Elle a tout d'une kheyette, assez blasée par la vie (on le serait à moins) aime bien l'humour noir, regarder des vidéos de cartel, bref, une fille assez intéressante, plus que le commun des femmes en tout cas.

Physiquement, elle a beaucoup d'atouts qui m'ont immédiatement séduit, déjà sa taille, 1m53, c'est un truc que j'adore chez une femme, j'aime vraiment ça, je me sens beaucoup plus protecteur, elles sont plus maniables, ça m'a plu. Elle a un bonnet B sympathique et bien ferme, et un cul bien bombé, merci Basic Feet ! Tout ça, ce n'est pas ma compagne qui me l'a rapporté, ce sont des observations ultérieures, mais ça me semblait important de le dire. Ce que ma compagne m'a rapporté, par contre, c'est son goût pour le shopping, les vêtements, le maquillage, bref, une féminité exacerbée, et ça, ça me plait, surtout chez les prolos qui sont généralement des femmes, sachant que la quasi-intégralité de leur valeur aux yeux des hommes provient de leur physique. Elle m'a montré quelques photos d'elle sur Whatsapp, minijupe, cuissarde, collant, faux ongles, un beau maquillage, tout ce qu'une jolie jeune femme sans enfants peut se permettre à 22 ans.

Maintenant, l'ombre au tableau, son mec. Enfin, quand je dis "ombre au tableau" c'est un bien grand mot, Son mec, c'est (c'était) un beauf kéké du Nord, trentenaire calvitié, en surpoids (pour rester aimable), petit (1m70), accro de sa BMW et qui passait ses soirées chez son pote pour jouer à la PS5 plutôt que de passer du temps avec elle. Il la traitait mal (sans violence autre que de l'indifférence), elle restait, et c'est ce qui m'a confirmé qu'elle serait une proie très facile. En effet, il est clair que c'est son passé d'enfant battu qui la faisait rester avec ce qu'on peut aisément considérer comme un gros c*n, elle a besoin de cette violence et de cette indifférence pour se sentir considérée, mais sa fragilité, inhérente à sa condition, indiquait aussi qu'elle avait besoin de sécurité, un doux mélange entre les bras d'un homme protecteur qui lui donnerait l'attention dont elle avait désespérément besoin, mais qui la ferait aussi souffrir. C'est c*n, son gars était pas loin de réussir à se la garder à vie. J'allais m'occuper d'assurer cette emprise.

Notre première rencontre, le premier contact, comme on dit à la NASA, s'établit en juillet dernier, j'étais en congé et ma femme avait négligemment oublié son tupperware à la maison. Ayant du temps, je lui ai envoyé un texto pour lui faire remarquer et lui indiquer que je pourrais lui amener pour sa pause déjeuner (elle travaille dans la ville où nous résidons) ce qu'elle accepta avec gratitude. 11h45 arrive, je me mets tranquillement en route, à pied, je profite des rayons du soleil léchant agréablement ma peau. Il faisait chaud, j'étais vêtu d'un débardeur noir près du corps, comme le kékos go muscu que je suis. J'ai un excellent physique pour mon âge (la trentaine), des muscles imposants et saillants, je suis grand (1m88) surtout que nous étions en plein été, j'étais physiquement à mon max.
Je tourne au coin de la rue et j'aperçois l'entrée de la crèche un peu plus loin, une personne est devant, en train de fumer sa clope. Rapidement, je constate que c'est Émilie. Elle était vêtue d'une jolie robe à fleurs avec des tennis blanches. À la crèche, elle ne pouvait pas exprimer son plein potentiel vestimentaire, mais elle avait tout de même trouvé le moyen d'être terriblement sexy avec un style simple et basique.

J'arrive à sa hauteur, je me place devant elle, la dominant de ma hauteur, et avant qu'elle ait pu dire quoi que ce soit:
- Salut Émilie. Tu sais que j'ai beaucoup entendu parler de toi ? Elle a plissé les yeux, je voyais qu'elle essayait fort de savoir si elle m'avait déjà vu avant de lâcher
- Euuuh, on se connait ? J'adorais sa voix, une voix trainante, lascive, pas trop aigüe ni trop profonde.
- Je suis le mec de Ségo (prénom modifié), Marco (idem), enchanté ! Je me suis immédiatement penchée, plutôt plié en deux, pour lui faire la bise sans lui laisser le temps de réfléchir, effleurant le creux de ses reins sans vraiment y toucher.
Ça la fit rire, je la vis se détendre immédiatement en constatant que je n'étais pas un drageur de rue lourdingue.
- Tu m'as fait peur, je me demandais qui t'étais. Tu veux que j'aille la chercher, elle est à l'intérieur ?
- Non, t'inquiète, fini ta clope tranquille, je lui ai envoyé un SMS, elle arrive là.
- Ok. Elle expira sa fumée et je la surpris en train de discrètement me reluquer.

Elle était debout avec ses jambes croisées dans sa petite robe, ses cheveux blonds voletant dans la douce brise, elle était terriblement mignonne. J'allais cependant rapidement me charger de la faire arrêter de fumer, ce serait simple avec un peu de coercition. Je me décidai à utiliser ce temps mort à bon escient. Ça faisait un bon 20 secondes qu'on n'avait pas décoché un mot, le timing était impeccable pour lancer les hostilités.
- T'as pas trop froid là en bas ? Tu sais que j'ai failli me faire un tour de rein tout à l'heure ? J'arborais l'air le plus goguenard possible.
Elle prit son air outré, mais elle sourit
- Hé, vu comment il fait chaud aujourd'hui, je suis mieux en bas qu'en haut, hein.
- Pas faux, c'est vrai que je crève de chaud. J'attrapai négligemment le col de mon débardeur pour le décoller de ma peau un instant, elle n'en loupait pas une miette.
- Je t'imaginais pas aussi grand, ni aussi baraqué. Tu vas au Basic feet de "..." je t'y ai jamais vu ?
- Nan, j'ai tout ce qu'il faut à la maison, des machines, des poids. Perso, j'étais peinard pendant le confinement ! Après, j'ai des années d'expérience aussi...
- Ah putain la chance, je t'avoue que des fois j'aimerais bien avoir les machines pour moi seule et pas bouger de chez moi ! Mais tu fais ça depuis combien de temps ?
- Presque 10 ans maintenant, avec des périodes off bien sûr, mais j'ai commencé vers 2014, ouais.
- Ah ouaiiiis, ça fait grave longtemps, moi j'ai commencé en 2023 seulement.
- Nan mais tinquiètes, ça se voit que tu t'entretiens.
- Je sais pas trop ce que je fais aussi, je fais un peu des exercices au hasard.
- Bah écoute, si tu veux, tu peux passer un de ces quatre et on se fera une séance ensemble, ce serait sympa, Ségo n'aime pas ça, mais ça me ferait grave plaisir de coacher quelqu'un ! Je te ferai un plan pour tes repas et tes exos, comme ça tu sauras quoi faire.

Elle sembla considérer mon offre un instant, et, sachant que ça n'engageait à rien, elle sourit et me dit "Ouais, pourquoi pas, ce serait cool". Je lui souris à mon tour.

- Bah tiens, prends mon numéro, comme ça on peut se caler ça sur un jour où on est dispo tous les deux !

Elle nota mon numéro dans son téléphone sans plus de difficulté, première victoire.

- Par contre, j'espère que t'es déter, ça va être sportif, hein, tu vas suer !
- Oulaaaa, je sais pas si je vais accepter finalement - elle jeta machinalement un regard à mes bras - tu vas me casser, j'ai pas ta taille, hein !
- T'inquiètes, je saurais m'adapter à ton gabarit je n'irais pas trop fort. Je la regardai intensément dans les yeux en lui lâchant ça, le sous-entendu était clair, il était posé, appuyé.
Elle rougit et sourit de nouveau, un sourire un peu gêné, et m'indiqua qu'elle allait rentrer et prévenir ma compagne qui mettait un temps fou à sortir, ce qui était tout à fait normal, je n'avais en réalité pas envoyé de SMS. On se fit une deuxième bise, je fis semblant de me faire mal au dos en me baissant pour l'amuser, lui dis que j'étais enchanté de faire sa connaissance, elle réciproqua, et lui indiqua que mon offre était sérieuse.
Elle s'engouffra dans la porte de laquelle sortit ma compagne quelques instants plus tard. On s'embrassa, je lui tendis sa boite, puis nous avons ensuite discuté quelques instants. Je lui dis que j'avais fait la rencontre de sa collègue, qu'elle était super sympa et que je comprenais pourquoi elle lui plaisait tant. Quelques instants plus tard, elle regagna son lieu de travail pour se nourrir tandis que je regagnais mes pénates.

Le soir même, ma copine me fit le premier retour d'Émilie, que j'étais marrant et sympa, et que j'avais, je cite, "un physique impressionnant" clairement elle ne m'imaginait pas comme ça. J'attendais qu'il soit fait mention de ma petite proposition "amicale", j'avais même préparé une défense en béton au cas où, mais il n'en fut pas question, c'était bon signe. Elle avait compris d'instinct de quoi il retournait.

Cette rencontre m'ayant mis en appétit, c'est sur ma compagne que j'allais me passer les nerfs. À mi-chemin du film que nous regardions, je la besognai sur le canapé du salon, une levrette claquée, un pouce dans l'anus, tirage de cheveux, la totale ; et pour conclure, un truc que je ne faisais plus depuis un moment, une faciale des familles. Mon excitation était à son comble, j'avais totalement fait un transfert sur elle, mais ma compagne ne s'en plaint pas, comme toutes les femmes, elle n'était pas bonne en maths. La seule variable modifiée indiquant pourquoi elle avait eu droit à une baise aussi primale était la rencontre avec une nouvelle femme le jour même.

Je dormis comme un bébé ce soir-là.

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La suite arrivera prochainement. Je comptais initialement tout raconter d'un bloc, mais ce serait beaucoup trop long, déjà que c'est assez long, donc je vous ferai la suite plus tard. Ça deviendra beaucoup plus croustillant avec la demoiselle, et je réitère au cas où, ce n'est pas une fic, même si ça y ressemble.

MD

MangeurDeCrack

il y a 3 mois

DRIIIIIIIIIIIIIIIIIIING, mais je vais lire pour la fic dark romance que tu va nous pondre l'op, sweet
OP
AD

AnonDominant

il y a 3 mois


DRIIIIIIIIIIIIIIIIIIING, mais je vais lire pour la fic dark romance que tu va nous pondre l'op, sweet

C'est simplement ma vie clé, mais la suite arrive fort, dans la journée j'espère.