Ex gros baiseur ici.

Je plais toujours autant mais j'ai cessé de fréquenter les femmes juste pour les baiser, j'ai réalisé que je ne valais pas plus qu'un vulgaire animal.

Repérer une femme, la draguer, prendre son contact, la revoir, faire semblant de s'intéresser à sa vie, la choper, l'inviter chez soi, et finalement la baiser.

Tous ses efforts qui nous épuisent pour un projet vain, une boucle qui s'auto-alimente pour ne pas déboucher sur sa finalité reproductive, une autocontradiction en somme.

C'est purement instinctif si l'on souhaite se vider les couilles, un cri de la vie même qui lui permet de s'engendrer elle-même.

On est là, affamés, mus par notre bite comme un sourcier guidé par sa baguette, attirés par ces êtres complémentaires receveurs de foutre mais donneurs de satisfaction chimico-organique...

Toute cette énergie sacrifiée au profit du vagin, de la séduction comme jeu théâtral à la pénétration comme punition de la femme pour avoir résisté à nos avances.

Des tonnes d'heures passées à y penser, se préparer, s'entraîner, peaufiner les détails pour que tout se passe sans accroc, c'est-à-dire que la convoitée voit sauter un à un les verrous mis en place pour sélectionner les hommes capables de les pourfendre.

Rechercher à satisfaire son désir de relations sans lendemain, c'est être ce petit rat de laboratoire des expériences sur la dopamine qui ne court qu'après la récompense immédiate après avoir goûté à la cocaïne, ou ce hamster en mouvement perpétuel dans sa roue.

Vous devez en prendre conscience pour sortir de cet engrenage dans lequel vous êtes piégés : baiser des femmes est vain. C'est une pulsion qui a été détournée de son but initial.

Résumé ?

Du coup tu vas te poser et te marier pour faire des enfants ?

le mec ken des teens 8/10 en claquant des doigts mais il est toujours pas content