Oui, une cohérence logique, une conclusion.
À moins, au contraire, de conclure tout ceci par un changement de prisme, comme si ces luttes que tu décris n'avaient été que des sillons de points de vue permettant d'œuvrer à un sens plus global, c'est une piste que j'offre, qui n'est pas forcément la meilleur, je t'avais répondus pendant une pause, la reflexion était donc courte.

Mais, dans le cas d'une vision purement guerrière du grand tout, cela pose la question de savoir qui représente, pour ce grand tout, la menace contre laquelle ses subordonnés nous, nos organes, la matière, des cellules aux galaxies coopèrent momentanément, comme les rouages d'une horlogerie dans cet univers géant. Cela ne fait cependant que repousser le problème, sauf si tu tranches de manière un peu audacieuse, avec une conclusion à la Machiavel qui sortirait selon moi du cadre d'une logique de causalité pure et irais plus sur de l'interpretation dans un premier temps au moins.

Par exemple, sans changer de prisme en cours de route, sans nouvel apport dans ta démarche, on peut prédire que, si ta vision est holistique et ta démarche sincère, tu risques de te heurter à des problèmes logiques prévisibles, à moins d'être ingenieux.

Tu pourrais jouer d'une bascule volontaire, pour des faits similaires, entre une vision cherchant à être holistique, et une autre réductionnaire.

Après, c'est plus une question de sincerité dans la démarche, chercher à résoudre les défis de la vision holisitique de cette idée, ou plutot describilisé celle-ci? Ou bien remettre en question la vision réductionnaire? Chercher un entre deux?
Mais cela sortirais du simple excercice de l'humours, et une démarce de synthése poussé viendrais ajouter de nombreuses autres visions, déglinguant largement la vision réductionnaire et holistique