Brigitte Macron et Emmanuel Macron ont une différence d'âge qui a été sujette à controverse. Officiellement, Emmanuel Macron avait 17 ans et Brigitte 36 ans au moment de leur rencontre. En réalité, il aurait eu 14 ans et elle 39 ans, ce qui constituerait un abus d'autorité sur mineur.

Brigitte Macron aurait subi une intervention chirurgicale chez Patrick Bui, spécialiste européen de la féminisation du visage masculin pour les transitions de genre. Cette information a été rapportée par Closer, via une source proche de Mimi Marchand, qui menait la campagne de communication de Macron en 2017. Cette dernière aurait eu des comptes à régler avec les Macron. Cependant, Brigitte Macron a poursuivi en justice pour atteinte à la vie privée, et non pour diffamation.

L'Algérie pourrait détenir un kompromat sur Emmanuel Macron. Le père de Jean-Michel Trogneux aurait déclaré son fils domicilié à Alger en 1963. Lors d'une visite officielle en Algérie, un communiqué officiel mentionne que Brigitte Macron aurait des souvenirs là-bas. Elle aurait prétendu y avoir fait ses études en 1963, alors qu'elle n'avait que 10 ans. En revanche, Jean-Michel Trogneux y aurait bien été à ses 18 ans. Ce détail ne correspondrait pas à la biographie officielle de Brigitte Macron.

Il n'existe aucune photo de Brigitte Macron enceinte, ni de témoignage de personnes affirmant l'avoir vue enceinte.

Les meilleures intelligences artificielles de reconnaissance faciale identifient Brigitte Macron comme étant le même individu que Jean-Michel Trogneux dans sa jeunesse. Brigitte Trogneux serait la sœur de Jean-Michel Trogneux, mais en réalité, Brigitte et Jean-Michel seraient une seule et même personne.

Jean-Michel Trogneux, dit le « petit gros », aurait été effacé de la biographie de Brigitte Macron. Des éléments de son passé auraient été déplacés dans le temps pour brouiller les pistes. Xavier Poussard connaît un ancien ami de Jean-Jacques Trogneux (fils de Jean-Michel), qui s'étonne que celui-ci n'ait jamais mentionné son père. Il réalise que c'était un tabou. Plus tard, il rappelle Poussard en déclarant que Jean-Michel Trogneux est un « petit gros » et qu'il habite à un endroit précis, comme s'il récitait un script.

Aucun document officiel ne prouve que Jean-Michel Trogneux existe bien. Il existe des extraits d'acte de naissance à son nom, mais sans photo. L'état civil d'Amiens a refusé de fournir son acte de naissance à Natacha Rey, affirmant qu'il n'était pas né dans la commune, alors que d'autres documents prouvent le contraire.

Jean-Michel Trogneux semblait complètement perdu et n'avait pas les codes habituels du protocole. Il aurait été aperçu plusieurs fois dans un PMU de village, ce qui ne correspond pas au profil d'un frère de la Première dame. Il se ferait appeler Henri par certains amis et aurait fêté son anniversaire le 15 juin, alors qu'il est censé être né en janvier.

Sur certains documents de la banque Rothschild, Macron est déclaré né à Paris, et non à Amiens. Sur son dossier d'inscription à Sciences Po, son deuxième prénom est mentionné Emmanuel « Jean-Michel » Macron. Son patrimoine déclaré semble trop faible pour un ancien associé-gérant chez Rothschild. Lors de son oral à l'ENA, il n'aurait pas répondu aux questions, et la promotion dont il faisait partie est la seule dont le classement a été annulé parmi toutes les promotions historiques de l'ENA. Il a supprimé l'ENA et l'Inspection générale des finances après son élection. Il a rejoint la banque Rothschild sans passer par la procédure habituelle de mise en disponibilité de la fonction publique. Il est devenu le plus jeune associé-gérant de l'histoire de la banque, alors qu'il ne maîtrisait pas les bases de la finance (comme l'EBITDA). Son nom apparaissait dans les e-mails d'Hillary Clinton alors qu'il était encore inconnu du grand public. En 2010, David de Rothschild lui aurait conseillé de ne pas soutenir DSK, contrairement à la majorité du PS, et lui aurait suggéré de miser sur François Hollande. En 2012, Bernard Attali aurait organisé une réunion secrète entre des financiers, des chefs du CAC 40 et François Rebsamen, proche de Hollande, pour imposer Macron comme secrétaire général adjoint de l'Élysée chargé de l'économie.

La commentatrice Candace Owens le considère comme un candidat mandchou (manipulé par des services comme la CIA via du conditionnement psychologique type MK Ultra). L'économiste Gaël Giraud avait exprimé une analyse similaire, suggérant que Macron était un instrument de revanche des Rothschild après la nationalisation d'une de leurs banques par Mitterrand. Ses déclarations lui auraient coûté cher. L'idée du candidat mandchou implique que son passé ait pu être modifié artificiellement (par chirurgie, conditionnement, etc.). Roselyne Bachelot dit dans un entretien que lorsqu'elle était ministre, c'était très difficile de savoir qui avait véritablement le pouvoir.

Une biographe de Brigitte Macron a déclaré qu'elle n'avait trouvé aucune information sur son passé. Un journaliste macroniste écrivant sur lui a tenté de lui poser une question sur sa sœur Estelle, et Macron se serait tourné vers Brigitte pour demander quoi répondre.

Les États-Unis semblent posséder des informations compromettantes sur Macron. Lors d'une perquisition chez Trump, un document confidentiel nommé « The president of France » a été retrouvé. Lors d'une rencontre avec le couple Macron, Trump aurait ironisé en saluant Brigitte par un « your beautiful wife! ». The Wall Street Journal évoquait en 2017 une ascension « programmée » de Macron. Les États-Unis auraient donc des informations compromettantes ce qui pourrait expliquer la vente de fleurons industriels français comme Alstom. D'ailleurs Bernard Attali, impliqué dans des opérations de prédation du capitalisme américain sur l'économie française, est systématiquement présent dans ces affaires.

Plusieurs autres pays auraient des dossiers compromettants sur Macron. L'Algérie avec des liens supposés entre Jean-Michel Trogneux et le pays. Le Maroc, où le média Maroc 360 très proche du palais a fait allusion à une possible transidentité de Brigitte. La Russie et Israël auraient également fait des allusions similaires. Ces éléments expliqueraient pourquoi la France subirait une forte ingérence internationale.

Il serait programmé pour devenir le président de l'Europe fédérale. Pour cela, il détruirait les fondements de la République en supprimant l'ENA et le corps diplomatique, en déconstruisant le lien entre élu et représentation (ministres nommés sans être élus), et en affaiblissant les partis politiques et la fonction de député. Il a déclaré : « C'est compliqué de construire quand on n'a pas tout détruit. » Klaus Schwab a affirmé : « Emmanuel Macron, c'est celui qui nous mène vers le monde d'après. » Trump et Poutine s'y opposeraient, ce qui expliquerait leur intérêt pour son cas, malgré son impossibilité de refaire un nouveau mandat en France, prouvant qu'il y a bien quelque chose d'autre.