Mon ex m'a plaqué à la veille de nos 2 ans, elle avait avorté alors que je voulais le garder, et elle m'a quitté 9 mois après cet événement.

Je suis toujours entrain de boucler, à me demander si c'est ma faute

Là où je m'en veux atroce c'est que j'avais tendance à lui prendre la tête et à demander des explications. Ça mettait un froid terrible

Quand j'ai demandé de parler de l'avortement avec elle après coup, elle refusait sous prétexte que je lui causais des "blocages" , alors que j'ai été présent durant tout, bien que ça ne soit pas ma volonté.

J'étais tellement frustré que des fois je me mettais en colère pour rien, je lui en voulais au fond.

Pour vous dire à partir du moment où on a commencé à coucher ensemble (j'étais son premier), elle n'a pas arrêté de me parler d'enfants.
Au point de me demander de l'aider à faire le poirier après l'acte, alors qu'elle avait un stérilet.

Quand elle a appris qu'elle était enceinte j'étais entrain de préparer une khôlle (on avait 19 ans tous les deux et je suis en prepa), j'ai tout arrête pour lui dire que je l'aimais et que j'allais jamais l'abandonner.

Elle était même là à me dire " maintenant j'ai deux estomacs et deux cerveaux ;)) "

Tout ça pour ça, pour me dire "je le garde pas parce qu'il est pas désiré, je pourrais pas l'aimer

J'avais que 19 ans mais je me sentais prêt, j'étais fou amoureux d'elle et prêt à m'engager en sous-off, comme l'a fait mon arrière grand père quand sa femme est tombée enceinte de mon grand-père

Ça me paraissait juste normal, quand on est bien et amoureux de la personne avec qui on est

Mec t'es juste un novice qui pleure sur sa première rupture

Franchement avance et dans 5 ans tu te rendras compte que c'était une perte de temps et osef

Et ta meuf a l'air giga toxique/instable Putain next moi ça de ta tête et avance

Non mais l'avortement est déjà une épreuve, ça fait passer par plein d'émotion. Alors si en plus tu es avec quelqu'un qui au lieu de te soutenir comme un vrai couple est dans la recherche d'explication, l'affrontement et la colère, c'est invivable

Ce mettre en colère quand on a ce que l'on veut, ce n'est pas avoir une conversation d'adulte