Mais pour simplifier : si 1 est un bloc, ce bloc est lui-même constitué d'éléments. Si une mesure s'applique sur des blocs singuliers, alors une bonne mesure permet aux grands portefeuilles de profiter de la relation à chaque étape d'assemblage des blocs, tout comme les plus démunis, mais à une échelle inférieure.

Si la mesure est mauvaise, il suffit d'observer qu'elle ne profite même pas aux riches, qui possèdent pourtant une addition de 1 supérieure aux pauvres. (1 bloc, 1 euro, 1 patate… osef.)

Si on applique une mesure en partant du haut, la dynamique change : il faudra davantage de pauvres malheureux pour absorber l'erreur.

Je pensais que c'était hyper simple, et me voilà avec un pied dans un trou noir… rire

Trois points principaux de mon idée :

Une mesure économique bien conçue profite à toutes les échelles, car elle agit sur la structure même des blocs qui composent l'économie.

Si même les plus riches, qui possèdent pourtant une addition de blocs supérieure aux pauvres, n'en profitent pas, alors la mesure est fondamentalement bancale.

Plus l'erreur est grande, plus il faudra de pauvres pour la supporter.

Il faut donc partir du bas, car le poids de l'erreur y est moins grave, et l'erreur est bien plus évidente dans l'autre sens : on peut comparer économiquement (si les riches ne gagnent pas ce qu'ils devraient), mais le malheur, lui, se mesure difficilement. De plus, il est plus acceptable de voir des gens gagné moins pour un temps, qu'une masse immense perdre sont bonheur. Le risque est à la fois moins important en nombre mais aussi en valeur, l'erreur est aussi plus facile à cerner.