L'alcool traverse rapidement la barrière hémato-encéphalique : Même après une bière, l'éthanol entre dans la circulation sanguine, atteignant rapidement le cerveau. Il interagit avec les récepteurs GABA et glutamate, perturbant la communication entre les neurones.

Dégénérescence des cellules : Une consommation excessive et régulière d'alcool peut provoquer une perte de neurones, mais même en petites quantités, l'alcool altère le fonctionnement des cellules nerveuses, provoquant une neuroinflammation. Bien que boire une seule bière ne te fasse pas « perdre » de neurones de manière immédiate, les effets toxiques peuvent s'accumuler à long terme.

Réduction de la plasticité cérébrale : L'alcool peut affecter la capacité du cerveau à s'adapter et à créer de nouvelles connexions, un processus crucial pour l'apprentissage et la mémoire. Même avec une faible dose, cette capacité est temporairement réduite.

Hypoxie neuronale : L'alcool dilate les vaisseaux sanguins, ce qui peut limiter temporairement l'apport d'oxygène au cerveau et créer un stress sur les neurones. Encore une fois, cela n'est pas immédiatement fatal pour les cellules, mais ces micro-effets peuvent s'accumuler.