https://archive.org/details/bim_eighteenth-century_histoire-de-charles-xii-_voltaire_1756/mode/2up

c'est là qu'on se rend compte qu'il y a vraiment des mec alpha

Résumé

Charles XII, ce type était tellement fana de guerre qu'il avait probablement des boulets de canon pour cerveau. Dans les années 1700, l'Europe était comme un champ de bataille permanent, et la Suède voulait sa part du gâteau. Et devine qui était en première ligne avec un cri de guerre ? Bingo, Charles XII.

Il a commencé par dézinguer le Danemark et la Norvège, comme s'il jouait à écraser des fourmis. Il a ensuite décidé de faire un tour en Pologne, parce qu'apparemment, il n'avait pas assez de bleus sur les bras. Il a foutu un joyeux bordel là-bas et a placé un pote en tant que roi, histoire d'avoir un allié sympa à portée de main.

Puis il s'est dit : "Bon, pourquoi pas la Russie, tant qu'on y est ?". Il a traversé des forêts, des marécages, des montagnes, comme s'il se baladait au parc. Sauf que les Russes, c'étaient pas des lapins de garenne, ils étaient coriaces. Ils ont décidé de jouer à la tactique du harcèlement, et ça a fait fondre l'armée suédoise comme un glaçon en plein soleil.

C'est là que ça devient croustillant : Charles XII a pris une balle dans le pied. Oui, le roi des combats, le maître de la castagne, s'est fait descendre par une simple balle. Il a survécu, mais ça l'a mis à mal. Il s'est retrouvé en Russie, dans une situation bien galère. Les Russes jouaient à la tactique de l'épuisement, ils ont botté les fesses des Suédois à Poltava.

Et là, Charles XII a commencé à avoir des sueurs froides. Il a dû se barrer, en laissant derrière lui une bonne partie de son armée en miettes. Il a erré comme une âme en peine en Turquie et en Moldavie, cherchant du soutien mais se faisant surtout des ennemis.

Finalement, le gars est retourné en Suède, mais il n'a pas abandonné son rêve de revanche contre les Russes. Il a repris les hostilités, mais en 1718, dans un pétaradant assaut, il s'est mangé une balle de plus, cette fois-ci en plein ciboulot. Fin de l'histoire, ca reste quand même un grand guerrier du passé