Pareil... je déteste les gens, leur obsession pour le banal, leur confort dans la médiocrité. Ils s'accrochent à leurs certitudes comme des enfants à leur doudou, pendant que moi, je dérive au dessus, loin de leur vacarme inutile

Je les regarde s'agiter, essayer d'exister, chercher l'approbation comme des mouches autour d'une lumière

Et ils ne comprendront jamais, parce qu'ils préfèrent la foule à la solitude, le bruit à la vérité.

Alors oui, je déteste les gens, parce qu'ils me rappellent tout ce que je refuse d'être