Les khey internes des histoires à raconter ?
Perso 4 ans d'internat, j'en ai des tonnes

Je commence :

J'avais un pote au lycée.
Le soir a l'internat il expérimentait une technique pour tirer des pets énormes bien longs et gras.

Il se mettaient à 4 pattes le cul en l'air, contractait et décontractait son trou du cul jusqu'a ce qu'il s'ouvre au maximum.

Un fois ouvert et l'air bien absorbé il le refermait puis poussait de toutes ses forces pour tirer une caisse monstrueuse qui résonnait dans tout le dortoir.

Tous sous THC et morts de rire, j'essaie a mon tour, sauf qu'il avait pas précisé qu'il faut faire caca avant et bien se laver le cul.
Je me suis donc chié dessus devant tous mes potes.

Impossible de sortir de la chambre pour nettoyer le calbar souyé dans les douches, sous peine de se faire cramer.
Ça empestait dans toute la chambre.

Pris de panique on décide de balancer le calbar en boule par la fenêtre, suffisamment fort pour qu'il atterrisse sur le toit du self non loin de la fenêtre.

Ni vu ni connu

Pour se faire un pote ingénieux m'a filer sa bouteille d'eau pour mouiller un peu la calbar afin qu'il soit plus lourd et donc plus facile à lancer.

Je le met en place, me rappel mes lancés de javelots en cour d'eps et j'isole la partie merdeuse de sorte a ce le calbar est un poids bien réparti

Sauf que, le calbar m'a glissé des mains et est parti s'exploser sur la porte principale de la sortie du self, là où tout le monde sort après avoir déposé son plateau

On a tellement ris cette nuit là bordel, voir la baie vitrée du self luisante de ma merde bien fraîche avec le calbar collé en plein milieu

Le lendemain soir après les cours, tout le dortoir convoqué du rez de chaussée au 4ieme étage, mes potes sont restés de marbre bien que mort de rire comme tous les mecs

Pendant la réunion moi j'étais plutot comme ça
Toujours sous THC a deux doigts de la crise de panique

Après la réunion et le repas, les meufs qui en parlaient plein de dégoût et pensaient que c'était sûrement un célestin taré

Personne ne m'a balancé, j'étais vraiment fier de mes potes

Mais toujours avec la même expression faciale
Ma vie sociale dépendait vraiment de leur silence.