[STORYTIME] j'ai tapé dans une TEEN de 2005 + redpill
9 messages
Mise à jour: il y a 8 mois
1
AR
ArabellaRose
il y a 8 mois
Bordel ça commençait à devenir interessant
OP
XE
xelya
il y a 8 mois
PARTIE 3:
Je suis un peu touché par son histoire, ses yeux deviennent forts humides. Dans ma tête je me dis que j'ai déjà eu à gérer un drama un peu avant et que je n'ai pas envie d'avoir à soutenir émotionnellement une autre personne. Après il me faut plusieurs jours enfermés seul dans le noir pour récupérer mon énergie mentale. Je lui demande si elle veut un câlin, chose qu'elle accepte directement en venant mettre sa tête sur mon torse. Je lui demande si ça la gêne mais elle me dit que ça lui fait du bien. Après ça on discute encore un peu. Je me fais harcelé par mes potes, appels, messages, etc. Je leur dis que j'arrive sous peu. Les bars vont bientôt fermer mais on connait d'autres endroits qui restent ouverts plus longtemps. Je dis à la teen que je vais devoir y aller. Elle me fait des yeux de chaton battu en me demandant de rester encore un peu car elle ne se sent pas bien, elle se sent abandonnée par tout le monde. Je la fais rire en lui disant "oh non pas ce regard là s'te plait !". Je tente de la raisonner en disant que le bar va bientôt fermer à 2h et qu'il faudra partir mais que je peux la raccompagner chez elle.
Elle me dit qu'elle ne se sent pas "chez elle" dans son appart, elle ne veut pas rester seule et qu'elle n'a personne pour lui tenir compagnie. J'essaye de lui remonter le moral, elle alterne entre rire et sanglot. Depuis tout ce temps on continue de boire évidemment. Des bières pas spécialement légères (on a prit une Paix Dieu, ça tabasse). Je comprend qu'elle ne va vraiment pas bien, elle me dit qu'elle ne peut pas me raconter la raison de son malêtre. J'accepte le fait qu'elle ne veut pas me parler de tout. A 2h du matin le barman fout tout le monde dehors. On marche dans la rue, elle se tient à moi, je glisse ma main à sa taille. Je lui demande si elle veut venir se poser chez moi, j'ai encore de quoi boire et que si elle souhaite, elle peut rester dormir là. Elle accepte, on se dirige donc vers chez moi.
PARTIE 4 :
On arrive chez moi, elle me dit que mon appart est grand et joli (déco style "industriel" avec des meubles en bois et des armatures en fer noir). Je lui fais le tour du proprio, lui propose un verre d'eau (elle accepte). On se pose dans mon canapé et on discute encore une petite heure. Elle a sa tête posée contre mon torse et moi je passe ma main dans ses cheveux. Elle continue de me parler de sa vie, de son ex toxico qui la tapait, qu'elle prenait des drogues durs avec pendant une période, de ses parents qui avaient les moyens de l'aider financièrement mais qui l'avaient foutues dehors, qu'elle a failli finir SDF pendant un moment, qu'elle a trouvée un job dans la restaurantion par chance, du fait qu'elle est déçue que ses amis l'ait laissée tomber, etc. On est fort proche dans ce canapé mais dans ma tête je la considère toujours comme une petite enfant paumée parce qu'on a 11 ans de différence, j'essaye de la réconforter comme je peux.
Je lui demande si ça la gêne quand je lui tiens ainsi dans mes bras en faisant des bisous sur sa tête. Elle me dit que non, qu'elle aime bien et que je suis doux avec elle. Je me dis qu'avec tout ce qu'elle a dû vivre, ça doit effectivement lui faire du bien que quelqu'un s'occupe d'elle. Je commence à bailler, je fatigue. Je lui dis que je vais pas tarder à dormir, qu'il est passé 4h du matin mais qu'elle peut dormir dans le canapé sans soucis pour ne pas devoir rentrer toute seule à cette heure là (j'habite dans un quartier pas fort fréquentable, c'est rempli de dealers, toxico et des sdf). Elle accepte, je prépare le canapé pour qu'elle se sente bien avec un oreiller et un plaid.
Je lui ai donné un t-shirt (forcément trop grand pour elle) comme pyjama afin qu'elle soit à son aise. Moi je vais rejoindre mon lit dans la pièce à côté, je me fous en calbute et je me pose sur ma couette (il faisait trop chaud pour aller dessous).
P1
philodebar17
il y a 8 mois
raconte la baise bordel vite
OP
XE
xelya
il y a 8 mois
PARTIE 5 :
Entre 10 et 30 minutes après, je l'entend se lever et se diriger vers ma chambre. Elle pousse légèrement la porte de ma chambre et passe sa petite tête. Elle me dit qu'elle a dû mal à dormir et me demande si elle peut dormir à côté de moi. Je suis un peu gêné car elle s'est mise en culotte, qu'elle est dans un tshirt taille M qui flotte sur elle et moi je suis en caleçon+tshirt. J'accepte malgré tout. J'ouvre un bras et elle vient se glisser dedans, sa tête face à moi contre mon torse. Je passe ma main autour de sa taille et remonte son dos sous le tshirt, l'autre main sous sa tête. Elle lasse ses petites jambes autour des miennes. On reste ainsi je dirais 15-30 minutes. J'ai pas calculé le temps, je passais mes doigts délicatement dans son dos. Après ça, j'ai commencé à avoir vraiment chaud. Mon corps génère beaucoup de chaleur quand je suis collé à une autre personne. Je lui demande si ça la gêne si je suis torse nu. Elle me dit que non, alors je me dérage légèrement afin de retirer mon tshirt et le jeter à travers la chambre sur un meuble. Je me remets comme avant, elle a toujours sa tête contre mon torse, je la sens faire des petits bisous sur ma peau. Je fais de même sur sa tête tout en continuant à passer ma main dans son dos.
Après ça, je la sens bouger légèrement. Elle remonta pour mettre sa tête face à la mienne et elle me fit un smack sur la bouche. J'étais étonné, je l'ai jamais considéré comme une target de toute la soirée mais comme une enfant, une petite soeur, que j'essayais de réconforter. Les choses commençaient à déraper. Ca a commencé par des petits smacks gênés pour finir par des longues galoches. Ses jambes se frottaient aux miennes. Finalement, elle me poussa afin que je sois sur le dos, elle m'enjamba et se mit à cheval sur moi, son bassin contre le mien. On continua à s'embrasser ainsi, elle sur moi. Je laissa mes mains se balader entre ses cuisses, ses fesses et son dos.
OP
XE
xelya
il y a 8 mois
PARTIE 6:
Son bassin se tortillait sur le mien, je commençais à avoir une gaule monstrueuse. Nos deux sexes se frottaient à travers le tissus de mon calbard et de sa culotte. Elle se redressa d'un coup et retira le tshirt avec ses deux mains pour le jeter à côté du lit. J'ai pu voir ses petits seins, ceux qu'on devinait avant ça dans son débardeur blanc. Ils étaient comme je les imaginais, pas très grands, un peu tombants sur les côtés avec des petites rondelles et au centre de chacun d'eux des petits tétons qui commençaient à pointer par l'excitation. Je pu voir son petit corps au dessus de moi, il ne restait qu'un morceau de tissus qui couvrait son sexe. A côté de moi, elle était toute petite. Dans ma tête, avec l'excitation, j'avais juste l'image du .gif du TGV qui essaye de rentrer dans le tunnel trop petit. Je savais qu'on allait pas s'arrêter là et qu'elle devait avoir une ch*tte très serrée vu ses dimensions. Elle se pencha sur moi pour continuer à m'embrasser, je sentais ses petits seins se frotter à mon torse et ses mains sur ma nuque et mon crâne rasé.
Puis à un moment je sentais une main glisser le long de mon ventre et rentrer dans mon caleçon. Une de ses minuscules mains étaient occupée à me branler, j'imagine qu'elle tâtait l'engin (la plupart des meufs font ça à chaque fois). Avec toute cette excitation, celle d'avoir une petite teen aussi chaude qu'un incendie, je passa mes pouces autour de sa culotte pour la faire glisser le long de ses fesses. Je sentais sa respiration monter d'un cran, mon pouls allait exploser avec. Elle fit un mouvemenet pour faire glisser sa culotte le long de ses jambes jusqu'au bout du lit, je fini par faire pareil avec mon propre calbard. Il n'y avait plus aucun morceau de tissus qui nous séparait, elle était toujours occuper à se frotter à moi et mon énorme be-teu.
Elle continua de jouer avec pendant que je passa une main par dessus ses fesses afin de glisser mes doigts dans son v*gin. Elle fit un petit "hannnn" de gémissement quand ceux-ci rentra à l'intérieur d'elle. Elle se tortilla et frotta de plus en plus contre moi pendant qu'on passait mutuellement notre langue dans notre bouche.
OP
XE
xelya
il y a 8 mois
PARTIE 7:
Ma gaule avait atteint sa dernière étape de Super Sayan, sa forme finale de l'excitation. Plus dure que ça, les corps caverneux auraient fini par exploser du sang. Elle s'arrêta de m'embrasser et mit sa tête à quelques centimètres de la mienne, en me regardant avec un petit sourire et des yeux grands ouverts, alors que quelques heures avant elle était occupée à pleurer contre moi. On se fixa ainsi quelques secondes, je continua à passer mes doigts le long de ses petites lèvres et elle avait toujours mon braquemart en main.
Elle prit appuis sur moi et se redressa en arrière, position à genoux sur moi. Je pu de nouveau admirer son corps de toute juste jeune fille. Ma main glissa le long de sa fesse pour venir sur sa cuisse. Je la vis ensuite se lever légèrement sur ses jambes, avec mon popol dans sa main, le bout tout juste devant sa ch*tte et prête à s'empaler sur moi. Je lui dis que j'avais des capotes dans le tiroir à côté du lit mais elle me dit que ce n'était pas nécessaire. Elle glissa le long de mon énorme teub, je la vis faire une légère grimace quand elle arriva au bout, puis elle fit des va et vient doucement. C'était effectivement serré, je resta concentré parce que j'avais amassé tellement d'excitation d'un coup que j'aurais pu lâcher la purée n'importe quand. Je ferma les yeux et profita du moment présent. Je l'entendit gémir tout en sentant mon sexe se frotter au velours de ses muqueuses. Je rouvris les yeux quand je sentis ses cheveux sur mon visage, elle s'était de nouveau rapproché à quelques centimètres, je sentis sa respiration contre mon visage. Puta*n c'était bon. Je profita de la position pour attraper ses seins et faire des ronds sur ses tétons.
Le rapport a duré plusieurs minutes, j'ai lutté pour que ça dure le plus longtemps possible mais elle était beaucoup trop bonne et beaucoup trop serrée. Elle contrôlait tout, le rythme, la profondeur, je me suis limite laissé faire. Elle allait doucement, comme j'avais été doux avec elle.
xelya
il y a 8 mois