Il est vrai que je parle peu de ma défunte épouse Chun. Elle qui m'honora d'un formidable enfant en la présence de Sun Chuan. Elle connu à mon grand regret un funeste destin

Elle était de ces femmes avec le courage de milles hommes, la détermination de trois buffles et la beauté d'au moins 8 oies. Un jour pourtant tout bascula

Nous étions dans le petit jardin du temple de la région Wu. Elle me dit. Sun Tzu cher compagnon, mon coeur n'a de raison que le coeur qui aime trouve la raison d'aimer. Et cette raison c'est la raison de votre coeur qui trouve raison dans le fait d'aimer

Je fus stupéfait de la rhétorique de la femme qui m'avait alors toujours accompagné. Une telle pureté de raisonnement pouvait-il être acquis par une femme de peu de noblesse ? Il y eut pourtant une faille et je lui fis remarquer

Mais dites moi Chun la grande. Si mon coeur n'avait la raison d'aimer que la raison de votre coeur qui bat dans le but d'aimer la raison. Dites-moi, quelle en serait la raison ?

Ma chère Chun fut troublée. Elle qui croyait pouvoir barber un plus grand finaud que le finaud pour qui la finesse fut liesse ? Elle était malheureusement bloquée. Je dus l'étouffer de mes mains pour lui rendre la liberté

Je pense encore à elle et à ses derniers mots souvent. Ils furent : Hmppfff arghhh ohhhh uhhhh. Mais le poids des sentiments ne peuvent se sustenter des sentiments du poids comme je dis souvent