Difficulté à se concentrer : Les pensées peuvent facilement être dispersées, rendant complexe le maintien de l'attention sur une tâche ou un problème.

Problèmes d'organisation mentale : Il peut être difficile de structurer ses idées, de planifier ou de prioriser.

Surcharge cognitive : Une trop grande quantité d'informations à traiter peut entraîner un sentiment d'être submergé, ce qui complique la réflexion claire.

Impossible de fléfléchir. Quand j'avais 15 ans, je disais à mon psychiatre : "c'est marrant, mais je n'aime pas réfléchir..." Je ne faisais pas lien avec ce handicap, et après tout, ça ne m'handicapais pas en soi dans la vie de tous les jours, car je n'avais alors aucune préoccupation intellectuelle, le seul impact concernait mes notes en cours, mais je m'en foutais.

J'ai envie de m'exploser la tête contre un mur en brique. J'apprends des trucs, je comprends, mais je suis incapable d'utiliser l'information, incapable de la transmettre, car je peine à la synthétiser (surtout à l'oral, car à l'écrit, je peux me relire pour retrouver le fil). Je fais sans arrêt des contre-sens, je perds le fil, j'oublie une étape dans mon raisonnement, etc. Je suis incapable d'avoir une vision d'ensemble d'un problème. Ou plutôt, si, mais en fait non.

C'est littéralement comme être low IQ sans l'être. Ce qui est bien pire, car on a l'intelligence pour se rendre compte de notre médiocrité, contrairement à un vrai low.

D'autres dans ce cas ? À quoi sert la vie dans ces conditions ? 0 espoir d'amélioration, en plus. Condamné à la dépression et à finir SDF.

J'ai plein de tares génétiques, toutes héritées de mes parents :

- Scoliose par mon père
- TDAH par mon père
- Eczema chronique par mon père
- Dépression par ma mère (famille de dépressifs)
- Glaucome par ma mère
- Phobie sociale par ma mère

Voilà pourquoi je suis eugéniste.