Tout le monde baise IRL

OP
SP

Spongesboub

il y a 5 mois

C'est la réalité, les gens baisent, forniquent, se font le sexe pendant qu'il n'y a que nous d'assignés à la ✋ droite. Comprenez bien qu'il n'y a aucune explication mathématique. Des gros, des laids, des cons, des nains, des puants, des salauds, des handicapés, tout ceux là qui ont nonobstant mon respect, car je vis en paix, font hurler des femelles quoiqu'on en dise. La réalité est sordide mais la voilà : Nous sommes des monstres. Pas n'importe lesquels, des monstres similaires à ceux de Lovecraft. Des anomalies étranges, inexplicables, des rébus d'autant plus effroyables que les meufs n'arrivent pas à mettre mots là-dessus. Simplement, elles ne peuvent pas, c'est au-dessus d'elles, de leur compréhension, une rumeur glacial leur fait sentir, en toute répugnance viscérale : " pas lui, pas eux " pas nous. Cessez vos verbiages, vos théories, vos explications éculées. Acceptez la zone de l'étrange que nous sommes, dès lors que les meufs croisent nos chemins.

Il n'y a rien à expliquer sur notre insuccès, sur le dégoût que nous inspirons, et c'est ce qui fait sa pureté, son cauchemars

OP
SP

Spongesboub

il y a 5 mois

GJ

GerarJunho10

il y a 5 mois

Tout le monde bouffe aussi, mais si c'est pour enchainer les mcdo...

OP
SP

Spongesboub

il y a 5 mois


Tout le monde bouffe aussi, mais si c'est pour enchainer les mcdo...

Bien dit

La qualité manque en ce diècle

CE

Celestif

il y a 5 mois

Les poils dégueu de partout là, j'ai meme un truc jaune qui part jamais on dirait de la mycose sur la poitrine, je suis allé voir le médecin et apparemment c'est "normal" MAIS COMMENT CA BORDEL COMMENT JE POURRAIS ETRE BG AVEC CETTE MERDE, ET ON ME DIT QU'IL N'Y A PAS DE SOLUTION

Je suis condamné à la mocheté, jamais je pourrais sortir dehors torse nu sans avoir l'air d'un handicapé amorphe qui joue à des jeux de cartes avec ses amis puceaux, sauf que j'ai pas d'amis

PR

Provocoeur

il y a 5 mois

Bonne écriture.

OP
SP

Spongesboub

il y a 5 mois


Les poils dégueu de partout là, j'ai meme un truc jaune qui part jamais on dirait de la mycose sur la poitrine, je suis allé voir le médecin et apparemment c'est "normal" MAIS COMMENT CA BORDEL COMMENT JE POURRAIS ETRE BG AVEC CETTE MERDE, ET ON ME DIT QU'IL N'Y A PAS DE SOLUTION

Je suis condamné à la mocheté, jamais je pourrais sortir dehors torse nu sans avoir l'air d'un handicapé amorphe qui joue à des jeux de cartes avec ses amis puceaux, sauf que j'ai pas d'amis

Courage

OP
SP

Spongesboub

il y a 5 mois


Bonne écriture.

Ça vient des tripes

LP

lprktskl

il y a 5 mois

Du coup il y a pas tout le monde puisque toi non.

OP
SP

Spongesboub

il y a 5 mois


Du coup il y a pas tout le monde puisque toi non.

Merci de me le rappeler

PR

Provocoeur

il y a 5 mois

L'inspiration et la qualité ne viennent pas des tripes, elles surgissent de l'ombre d'un khey pour éclairer les autres de sa lucidité

BT

Bra_Tac

il y a 5 mois

Dans les abysses insondables de la conscience humaine, gît une question qui, depuis les temps immémoriaux, hante les esprits des mortels : existe-t-il une époque plus glorieuse que celle que nous traversons ? Pour certains, cette quête n'est qu'une vaine nostalgie, un écho lointain de leur jeunesse perdue, une époque où les mystères de l'univers semblaient encore accessibles. Pour d'autres, il s'agit d'un fantasme, une chimère d'un passé qu'ils n'ont jamais connu, mais qu'ils imaginent avec une ferveur quasi religieuse. Enfin, il y a ceux qui, avec les yeux désabusés de l'âge adulte, perçoivent leur époque sous un jour nouveau, dépouillé des illusions de l'enfance.

Il est crucial de comprendre que ce débat, qui semble si futile, est en réalité l'une des plus terribles spirales de l'humanité. Des textes antiques, gravés dans la pierre et le parchemin, témoignent de cette même réflexion : "C'était mieux avant." Cette phrase, répétée à travers les âges, résonne comme un écho sinistre, un murmure des profondeurs qui nous rappelle que, malgré nos progrès et nos découvertes, nous sommes toujours hantés par le spectre du passé.

Cette boucle infernale, ce cercle vicieux de la mémoire et du désir, nous enchaîne à un cycle éternel de regret et de nostalgie. Elle nous pousse à chercher dans les ombres du passé des réponses que le présent ne peut nous offrir. Et pourtant, nous continuons à avancer, portés par une force inexorable, tout en sachant que, peut-être, le véritable mystère réside non pas dans le passé, mais dans l'inconnu terrifiant de l'avenir.

OP
SP

Spongesboub

il y a 5 mois


L'inspiration et la qualité ne viennent pas des tripes, elles surgissent de l'ombre d'un khey pour éclairer les autres de sa lucidité

C'est beau et glaçant

ML

MarionLFI2027

il y a 5 mois

ET MOI ???? https://image.noelshack.com/fichiers/2016/51/1482439995-filloncolererisitassticker.png

RE

reveiltardif

il y a 5 mois

"se font le sexe "

https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png

OP
SP

Spongesboub

il y a 5 mois


Dans les abysses insondables de la conscience humaine, gît une question qui, depuis les temps immémoriaux, hante les esprits des mortels : existe-t-il une époque plus glorieuse que celle que nous traversons ? Pour certains, cette quête n'est qu'une vaine nostalgie, un écho lointain de leur jeunesse perdue, une époque où les mystères de l'univers semblaient encore accessibles. Pour d'autres, il s'agit d'un fantasme, une chimère d'un passé qu'ils n'ont jamais connu, mais qu'ils imaginent avec une ferveur quasi religieuse. Enfin, il y a ceux qui, avec les yeux désabusés de l'âge adulte, perçoivent leur époque sous un jour nouveau, dépouillé des illusions de l'enfance.

Il est crucial de comprendre que ce débat, qui semble si futile, est en réalité l'une des plus terribles spirales de l'humanité. Des textes antiques, gravés dans la pierre et le parchemin, témoignent de cette même réflexion : "C'était mieux avant." Cette phrase, répétée à travers les âges, résonne comme un écho sinistre, un murmure des profondeurs qui nous rappelle que, malgré nos progrès et nos découvertes, nous sommes toujours hantés par le spectre du passé.

Cette boucle infernale, ce cercle vicieux de la mémoire et du désir, nous enchaîne à un cycle éternel de regret et de nostalgie. Elle nous pousse à chercher dans les ombres du passé des réponses que le présent ne peut nous offrir. Et pourtant, nous continuons à avancer, portés par une force inexorable, tout en sachant que, peut-être, le véritable mystère réside non pas dans le passé, mais dans l'inconnu terrifiant de l'avenir.

Réel, l'avenir est la seule et véritable destinée de l'homme, il faut juste attendre et voir là où notre nature nous mènera...

BT

Bra_Tac

il y a 5 mois

Le Culte des Oubliés

Dans les ruelles sombres et tortueuses de la ville d'Arkham, une vérité indicible se tapit, une vérité que les esprits fragiles ne peuvent appréhender sans sombrer dans la folie. Les gens forniquent, se livrent à des actes charnels, tandis que nous, les parias, sommes condamnés à l'isolement. Il n'y a point de logique mathématique à cette injustice, seulement une cruelle ironie cosmique.

Henry Whateley, un homme solitaire et tourmenté, errait dans les rues de la ville, hanté par des pensées sombres et des visions cauchemardesques. Il était l'un de ces parias, l'un de ces monstres lovecraftiens, condamné à une existence de solitude et de rejet. Sa silhouette décharnée et ses yeux hagards trahissaient une âme en proie à des tourments incessants.

Un soir, alors qu'il déambulait sans but, Henry découvrit une vieille librairie dissimulée dans une ruelle obscure. L'enseigne, à peine lisible, annonçait "Le Grimoire des Oubliés". Intrigué, il poussa la porte grinçante et pénétra dans un monde de mystères et de secrets.

Le propriétaire, un vieil homme au regard perçant et aux mains noueuses, l'accueillit avec un sourire énigmatique. "Bienvenue, Henry," dit-il d'une voix rauque. "Je t'attendais." Henry, surpris, demanda comment il connaissait son nom. Le vieil homme répondit simplement : "Je connais tous ceux qui sont comme toi, les oubliés, les parias."

Le vieil homme, qui se présenta sous le nom de Thaddeus, lui parla d'un culte ancien, le Culte des Oubliés. Ce culte rassemblait des êtres comme Henry, des monstres lovecraftiens, des anomalies étranges et inexplicables. Ils se réunissaient dans des lieux secrets, loin des regards indiscrets, pour partager leurs souffrances et leurs espoirs.

Henry, intrigué et effrayé à la fois, accepta de se joindre à eux. La première réunion eut lieu dans une crypte abandonnée, sous les ruines d'une ancienne église. Les membres du culte, des êtres difformes et repoussants, se rassemblèrent autour d'un autel de pierre noire. Ils psalmodiaient des incantations anciennes, invoquant des forces obscures et des entités oubliées.

Au fil des semaines, Henry découvrit que le culte n'était pas seulement un refuge pour les parias, mais aussi un moyen de comprendre leur nature et de trouver une forme de rédemption. Les rituels, les incantations, les visions cauchemardesques, tout cela faisait partie d'un voyage initiatique vers la vérité.

Cependant, Henry commença à ressentir une présence maléfique, une entité ancienne et puissante qui semblait le suivre partout. Les visions devinrent de plus en plus intenses, les cauchemars de plus en plus terrifiants. Il comprit que le culte avait réveillé quelque chose de dangereux, une force qui menaçait de le consumer.

Un soir, alors qu'il se rendait à une réunion du culte, Henry fut assailli par une vision particulièrement terrifiante. Une créature monstrueuse, aux tentacules noirs et aux yeux de braise, se dressa devant lui. Elle lui parla d'une voix qui résonnait comme le tonnerre, lui révélant des secrets anciens et des vérités interdites.

Henry comprit alors que le culte n'était qu'un piège, une ruse pour attirer les parias et les sacrifier à cette entité maléfique. Il décida de fuir, de quitter Arkham et de se cacher loin de cette ville maudite. Mais il savait que la créature ne le laisserait jamais en paix, qu'elle le poursuivrait jusqu'aux confins de l'univers.

Dans les abysses insondables de l'existence, une vérité indicible se tapit, une vérité que les esprits fragiles ne peuvent appréhender sans sombrer dans la folie. Les gens forniquent, se livrent à des actes charnels, tandis que nous, les parias, sommes condamnés à l'isolement. Il n'y a point de logique mathématique à cette injustice, seulement une cruelle ironie cosmique. Et dans cette solitude, nous trouvons une forme de rédemption, une acceptation de notre destinée cosmique.

PA

PazuzuAlgarad

il y a 5 mois

Fake https://image.noelshack.com/fichiers/2022/05/2/1643744229-ahi-pince.png