Pour en revenir à la polémique avec dead cells, ce n'est pas parce que c'est un rogue-lite que cela détruit sa caractérisation de metroidvania ; des objets permettant d'avancer dans l'aventure, de débloquer de nouvelles zones, et cela en dépit de la génération des niveaux.

Certes la carte n'est pas fixe, et toute l'organisation "classique" de l'évolution du personnage dans le jeu ne peut être reproduite, c'est-à-dire que le joueur n'a pas à se souvenir des zones, à faire du backtracking, et que donc toute la prise en main du jeu, l'appréhension de son gameplay n'est évidemment pas la même,
pourtant cela n'affecte pas la définition de metroidvania, qui est bien un genre qui n'est pas définit par un gameplay particulier, mais bien par une façon d'avancer dans le jeu, de manière générale.