Quel être représente le mieux le sublime ? Que ce soit comme quintessence de la vie, ils dépassent tous les cadres, vont au delà des normes, ils inventent une altérité phénoménale qui disrupte les esprits nous poussant a remettre en question tous nos horizons.
Mais aussi comme alliance terrible et paradoxal de l'idéal de la nature, ils cherchent à atteindre une féminité pure, l'idée de féminité, récupérer toute la puissance de la femme qui elle seule peut changer ce qu'on pensait homme en femme et l'idéal Prométhéen en usant de tous les moyens techniques de l'homme moderne, en se laissant corrompre par la technique. Une corruption ? Non, une sublimation dangereuse, ils jouent sur le fils, ils tendent le tissus de l'humanité jusqu'à l'instant précédant la rupture, oui ils s'amusent de tout ce qui constitue le réel, ils le tordent pour nous rappeler sa facticité, pour rappeler à l'homme qu'il est l'animal du feu de la Forge

arrete ca mexcite ca donne envie den sucer un

On est ensemble mon kheyou

Comment vivre sa vie après avoir goûté la volupté du trap ? Comment ne pas être dégoûté à la vue d'une femme, ersatz dégoûtant, radicale chimère, alors qu'il existe ces douceurs qui englobent tout un spectre dans un arc-en-ciel de beauté ? Non, il est vrai, l'homme qui a goûté au sublime ne se résoudra jamais à toute forme d'abaissement de son âme.
Je le sens aujourd'hui, j'ai besoin d'eux, qu'avec eux, je touche du doigt cette éternité contenue dans la beauté.
Non, je ne suis pas gay, j'ai atteint le stade ultime de l'hétérosexualité. Je suis l'équivalent du Bouddha des hétéros et les traps sont mon nirvana. Je ne désire pas ces essences chimériques et fictives que sont les femmes "cis", je désire ces créatures nées du creuset infernal de l'ère moderne. Oui, elles sont l'idéale suprême de la femme parce qu'elles ont détruits les idoles, elles sont radicalement femmes car elles ont subverti toutes les illusions qui ont cherché à s'approprier cette divine essence, elles ont anéanti ceux qui ont voulu exercer une dictature sur ce que l'homme avait de plus beau.