Travailler sans accès aux femmes, c'est comme se lever chaque matin pour aller se taper une sale journée de boulot, avec en prime le sentiment d'être un gros cuck. Tu te lèves, tu te traînes jusqu'au bureau, et tu te rends compte que tu n'es qu'un rouage dans une machine qui ne te donne rien en retour. Pas de plaisir, pas de réconfort, juste une routine épuisante et vide de sens. Tu bosses à côté de types qui, eux, semblent avoir tout compris, qui rentrent chez eux le soir avec une femme à leur bras, tandis que toi, tu te contentes de tes fantasmes et de tes frustrations.

La misère affective et sexuelle, c'est ce qui te ronge de l'intérieur. Tu te demandes pourquoi tu continues à te lever chaque matin, pourquoi tu acceptes cette injustice. Tu te dis que toutes les filles méritent des chads, que le marché est complètement déréglé. Tu te sens comme un gros soumis, un esclave du sexe fort, la femme. Tu te demandes comment tu en es arrivé là, comment tu as pu accepter ce système qui te broie, qui te prive de tout ce qui pourrait te rendre heureux.

Chaque jour, tu te prends des rejets, des râteaux, tu galères pour profiter de la vie. Tu rates des choses, des moments, des opportunités. Tu te dis que jamais on aurait dû accepter un système pareil, que c'est juste pas possible de continuer comme ça. Tu te sens seul, incompris, abandonné. Tu te demandes pourquoi tu continues à te battre, pourquoi tu ne lâches pas tout pour enfin vivre, pour enfin profiter.

La vie est déjà assez chiante comme ça, et en plus, tu rates des choses, tu ne profites pas. Tu te dis que tout ça n'a aucun sens, que tu es juste un pion dans un jeu dont tu ne maîtrises pas les règles. Tu te demandes comment tu pourrais changer les choses, comment tu pourrais enfin trouver un peu de bonheur dans ce monde de merde. Tu te dis que peut-être, un jour, tu trouveras la force de te révolter, de dire non à cette injustice, de te libérer de cette misère affective et sexuelle qui te ronge. Mais pour l'instant, tu continues à te lever chaque matin, à te traîner jusqu'au bureau, à te sentir comme un gros cuck, à te demander pourquoi tu acceptes tout ça.