Un KHEY Suprémaciste BLANC de 4CHAN se fait RAID sa MAISON par la POLICE AYAAAA
GrosTrouDeku
il y a 7 mois
C'est exactement à ça que ressemble les natios de ce forum qui balancent des propos haineux.
SuicideCaca11
il y a 7 mois
La majorité des mecs qui adhèrent à des idéologies extrêmes de gauche ou droite sont en réalité des énormes paumards 0 tout en misère sociale
Veste0
il y a 7 mois
Regarde moi la tronche du type
macronent_3
il y a 7 mois
C'est exactement à ça que ressemble les natios de ce forum qui balancent des propos haineux.
Tu peux être sûr que ceux qui utilisent les termes "bodycount", "redpill", "shithole", "golem" ressemblent effectivement à ça.
SuicideCaca11
il y a 7 mois
C'est exactement à ça que ressemble les natios de ce forum qui balancent des propos haineux.
Tu as aussi des chads comme Cormier-Denis chez les ultra-natios, mais t'as aussi un surreprésentation de 0 tout dans les idées extrêmes
GelanoChacha
il y a 7 mois
Veste0
il y a 7 mois
Regarde moi la tronche du type
le chouffin par excellence la magie noire se ressent dans la pièce
RinnelidoV170
il y a 7 mois
Évidemment que c'est systématiquement des clichés ambulants, ça vaut pareil ici pour ceux qui sont les plus virulents, toujours des ultra 0 tout qui lecheraient du gravier si y'avait pas la CAF
exa, pensez y la prochaine fois que vous voyez un forum faire le guerrier
HuginetMunin
il y a 7 mois
Dans nos sociétés, tu peux très bien te balader avec un t-shirt Che Guevara.Par contre, sitôt qu'un gus arbore un symbole national socialiste, ça va faire tout un pataquès. Gilbert va débarquer et le torchon régional du coin va pondre un article d'une page sur ça.
Il existe même une marque de cigarette "Che"
PublicisteDeter
il y a 7 mois
Eh oui il faut assumer ses propos sur internet
SuicideCaca11
il y a 7 mois
Quand t'es un 0 tout, il ne te reste plus qu'un métarecit ou ton groupe biologique pour les ultra-droitards ou social pour les ultra-gauchards sont les héros du monde de demain
macronent_3
il y a 7 mois
Ceux que je cite dans ma signature aussi
De manière générale les extrémistes sont des ratés.
Oui, mais ça s'explique par ce cercle vicieux de raté social qui rentre dans une boucle de haine. En fait le vrai problème c'est qu'ils sont incapables de se remettre en question, de tester des changements et garder ceux qui fonctionnent. C'est plus simple d'insulter ceux qui ne sont pas comme eux.
On rigole de ces losers, mais en réalité c'est triste. Néanmoins je n'aurai pas de pitié pour ces types, pour les raisons que j'ai évoquées.
SuicideCaca11
il y a 7 mois
Quand t'es un 0 tout, il ne te reste plus qu'un métarecit ou ton groupe biologique pour les ultra-droitards ou social pour les ultra-gauchards sont les héros du monde de demain
Méfiez vous des grands discours et faites les vraies choses en solitaire
SuicideCaca11
il y a 7 mois
Si ce connard avait focus sur sa carrière pro au lieu de glander sur 4chan, il aurait une vraie maison avec une femme à sauter au lieu d'une piaule avec des photos d'Hitler qui pue le foutre de jeune mâle misérable.
Zav_
il y a 7 mois
SuicideCaca11
il y a 7 mois
Si ce connard avait focus sur sa carrière pro au lieu de glander sur 4chan, il aurait une vraie maison avec une femme à sauter au lieu d'une piaule avec des photos d'Hitler qui pue le foutre de jeune mâle miséreux.
brutal
Marmeladova
il y a 7 mois
Comment ça ne me surprend absolument pas.
UnTrouDeku
il y a 7 mois
macronent_3 a écrit :
Oui, mais ça s'explique par ce cercle vicieux de raté social qui rentre dans une boucle de haine. En fait le vrai problème c'est qu'ils sont incapables de se remettre en question, de tester des changements et garder ceux qui fonctionnent. C'est plus simple d'insulter ceux qui ne sont pas comme eux.
On rigole de ces losers, mais en réalité c'est triste. Néanmoins je n'aurai pas de pitié pour ces types, pour les raisons que j'ai évoquées.
C'est justement car ils sont incapable de se mettre en question que je n'ai AUCUNE pitié pour ces misérables.
Ils méritent 1 000 FOIS leur vies de merdes,ils viennent même de me faire ban tellement la vérité leur ait insupportable
SuicideCaca11
il y a 7 mois
Dans l'ombre fangeuse de leurs chambres, ils sont là, les jeunes naufragés de la modernité, les gosses perdus du néant. Ils errent, âmes en peine, doigts crispés sur le clavier, vomissant leur bile sur des forums sans lumière, le noir d'internet comme unique horizon. 4chan, leur radeau de la Méduse, où ils échouent leurs rancœurs, leurs illusions brisées, ces petits soldats du désespoir, englués dans un fascisme de pacotille, une haine sans substance. C'est leur seul viatique, leur unique raison de se lever le matin, entre deux gorgées de soda tiède et des chips bon marché.
La vie les a déjà abandonnés, à peine sortis de l'adolescence. Pas de travail, pas de perspective, pas de filles non plus, sauf celles qui les fuient, horrifiées par leur odeur de renfermé, leur haine rance. Ils n'ont rien fait de leur vie, et ils le savent, mais ça leur brûle l'estomac, ça les ronge de l'intérieur comme un cancer invisible. Alors ils rêvent, à défaut de vivre, de grands incendies purificateurs, de marches au flambeau, de croix gammées flottant au vent, mais tout cela reste du vent, un souffle de folie dans leurs crânes vides.
Ils n'ont rien construit, rien produit, juste des fantômes, des illusions grotesques de grandeur. La misère sociale les a transformés en monstres de salon, anonymes et lâches, jouant aux nazis dans le confort crasseux de leurs quatre murs, planqués derrière des avatars ridicules. Mais la réalité, la vraie, les rattrape toujours. Ils ne sont que des ombres, des noms sans visage, et la police, elle, n'a pas besoin de masque pour venir les chercher. Ils ne s'y attendent pas, ces apôtres du néant, à ce qu'un jour quelqu'un frappe à leur porte pour leur demander des comptes.
Ils s'imaginent des héros de pacotille, mais la fin est toujours la même. Quand les sirènes hurlent dans la nuit, c'est leur dernier chant de cygne, une symphonie grotesque pour un dernier acte pathétique. Les voilà débusqués, tirés de leur antre sordide, comme des rats de laboratoire qu'on expose à la lumière. Les regards fuyants, les mains tremblantes, ils ne sont plus rien, juste des jeunes hommes qui n'ont jamais été, qui ont tout raté avant même de commencer. Ils sont pris dans leur propre piège, piégés par leur misère, emportés par le courant sans jamais avoir appris à nager.
3615voyage
il y a 7 mois
Il est peut être “cliché” mais il est capable de prendre le AR15 lui.
SuicideCaca11
il y a 7 mois
Les voilà embarqués, ces misérables pantins de la haine, dans le grand cirque de la justice. Ils ne sont plus que des carcasses vides, traînées hors de leurs tanières par des policiers en gilet pare-balles, leurs visages blafards éclairés par les flashes des caméras. La presse locale fait son cirque, les micros tendus comme des pieux, avides de capter la moindre larme, le moindre sanglot, mais il n'y a rien à capter, rien à dire. Ils n'ont plus de mots, eux qui éructaient tant derrière l'écran, n'ont plus que le silence pour se défendre. Leur rébellion de pacotille s'effondre dans le ridicule.
Ils étaient des lions dans leur zoo numérique, rois d'un royaume invisible, mais ici, dans le monde réel, ils ne sont plus que des agneaux apeurés. Pas de grandes tirades, pas de slogans enflammés, juste des regards baissés, des bouches qui se tordent, comme si la honte les rongeait de l'intérieur. Pourtant, même cette honte est feinte, une vieille amie qui les accompagne depuis des années, depuis qu'ils ont compris qu'ils ne seraient jamais rien de plus que ce qu'ils sont : des anonymes sans courage, des spectres hantant les marges de la société.
Les tribunaux les attendent, comme des bêtes à juger. On les scrute, on les analyse, on les dissèque, mais il n'y a rien à trouver. Ce sont des pages blanches, des existences sans histoires, des jeunes hommes qui n'ont jamais vraiment vécu. Les psychologues s'en mêlent, cherchent des causes, des traumatismes enfouis, mais ce n'est que du vide, du néant à fouiller. Ils ne sont pas fous, juste perdus, des enfants que la vie a avalés tout cru avant même qu'ils aient pu s'y opposer.
La sentence, quelle qu'elle soit, n'aura pas d'importance. Ils retourneront à leur vide, dans une cellule cette fois, mais la prison, ils la connaissaient déjà, ces quatre murs qu'ils n'ont jamais vraiment quittés. L'isolement, le silence, c'est leur milieu naturel. Là, ils continueront à rêver de révolutions qu'ils ne mèneront jamais, de grands incendies qui ne brûleront que dans leurs cauchemars. Mais personne ne les écoutera plus, leurs cris se perdront dans les corridors de béton, comme des échos de leurs vies manquées.
Et dehors, le monde continuera de tourner, indifférent à ces ombres qui se sont éteintes sans bruit. Les sirènes cesseront, les caméras s'éteindront, et bientôt, ils seront oubliés, balayés par le vent de l'actualité. D'autres viendront, d'autres jeunes hommes dévorés par la même misère sociale, la même haine stérile. Le cycle reprendra, inexorable, comme une vieille machine qui n'en finit pas de cracher ses débris humains, sans qu'aucun d'eux ne parvienne jamais à échapper à la roue du destin.
Xymphanar3
il y a 7 mois
Le physique de ses idées
masculum6
il y a 7 mois
Il a dit quoi ?
Aya il a cru préciser "dans Minecraft" après son post haineux allait le sauver du ban du site résultats il se fait perquis 😂
Keym13
il y a 7 mois
Dans nos sociétés, tu peux très bien te balader avec un t-shirt Che Guevara.Par contre, sitôt qu'un gus arbore un symbole national socialiste, ça va faire tout un pataquès. Gilbert va débarquer et le torchon régional du coin va pondre un article d'une page sur ça.
SuicideCaca11
il y a 7 mois
Et ainsi, la grande farce tragique de ces vies avortées se poursuit, dans l'indifférence glaciale du monde qui tourne toujours, imperturbable. Dehors, les rues grouillent de ceux qui avancent, qui construisent, qui aiment et qui souffrent, mais qui vivent, eux. Les lumières de la ville clignotent, les néons s'allument et s'éteignent, et quelque part, une horloge continue de battre le tempo du temps qui passe, insensible à ces existences qui se sont arrêtées avant même d'avoir commencé.
Ces jeunes hommes, perdus dans leurs rêves tordus de grandeur, n'ont jamais été que des ombres, des silhouettes floues que personne ne remarque vraiment. À peine sortis de l'enfance, ils se sont englués dans une haine apprise, héritée d'Internet, ce gouffre noir où toutes les amertumes se déversent, où tous les espoirs viennent mourir. Ils se sont laissés séduire par les illusions de puissance, par la promesse de faire partie d'un tout, d'un mouvement, même si ce n'était qu'un mensonge, un mirage.
Mais le mirage s'est dissipé, les avatars sont tombés, révélant des visages sans éclat, sans expression, des masques fatigués de tant de veilles inutiles, d'autant de nuits passées à ruminer le vide. Ils se croyaient en guerre, mais ils n'ont jamais quitté leur tranchée imaginaire, cette tranchée qu'ils ont creusée eux-mêmes dans leur esprit, remplie de peurs et de rancœurs, de tout ce qu'ils n'ont pas su comprendre ni maîtriser.
Leur colère, nourrie d'ignorance et d'un sentiment de trahison qu'ils ne savent même pas expliquer, s'est retournée contre eux, les a enfermés dans une spirale dont ils n'ont jamais voulu ou pu sortir. Ils se sont trouvés, dans ces forums glauques, des compagnons de misère, des frères d'arme aussi déchus qu'eux, mais ça ne les a pas sauvés. Au contraire, ça les a précipités plus vite encore dans l'abîme, chacun contribuant à creuser un peu plus la tombe collective où ils s'enterrent, lentement mais sûrement.
Les murs de leurs cellules, qu'ils soient de béton ou numériques, n'ont fait que refléter leur propre désespoir. Ils ont joué avec le feu, sans comprendre que ce feu ne les brûlerait pas seulement, mais les consumerait tout entiers. Et maintenant, ils sont là, ces jeunes hommes sans avenir, devant des juges qui les regardent sans vraiment les voir, parce qu'ils sont déjà ailleurs, ces juges, avec d'autres affaires, d'autres vies à juger.
Pour ces jeunes, il n'y aura pas de rédemption, juste une longue suite de jours gris, de nuits sans fin, où les souvenirs de ce qu'ils auraient pu être viendront les hanter. Ils n'ont jamais été que des fantômes, des présences éphémères qui n'ont laissé aucune trace, sinon dans les annales d'une justice qui se veut exemplaire, mais qui ne peut rien contre cette misère-là, cette misère morale et intellectuelle qui a fait d'eux des loques humaines avant l'heure.
Et ainsi, le cycle continue. Dehors, d'autres jeunes sont déjà en train de suivre le même chemin, attirés par les mêmes sirènes mensongères, par cette promesse vide de sens d'appartenir à quelque chose de plus grand qu'eux. Ils finiront de la même manière, broyés par une machine sociale qui ne leur laisse aucune chance, qui ne leur offre aucune porte de sortie.
Et nous, les autres, nous regardons tout cela avec une sorte de résignation, comme si c'était inévitable, comme si c'était le cours normal des choses. Nous passons à autre chose, à la prochaine alerte info, au prochain scandale, et nous oublions. Parce que c'est plus simple, parce que c'est plus confortable que de se demander pourquoi, pourquoi ces jeunes hommes se sont perdus en route, pourquoi personne n'a tendu la main pour les tirer de leur naufrage avant qu'il ne soit trop tard.
Mais il est trop tard maintenant, pour eux du moins. Ils disparaîtront dans l'oubli, tout comme ils ont vécu, dans l'anonymat le plus complet. Et le monde continuera de tourner, indifférent à ces drames silencieux qui se jouent dans l'ombre, chaque jour, chaque nuit, à chaque instant.
macronent_3
il y a 7 mois
C'est justement car ils sont incapable de se mettre en question que je n'ai AUCUNE pitié pour ces misérables.
Ils méritent 1 000 FOIS leur vies de merdes,ils viennent même de me faire ban tellement la vérité leur ait insupportable
ModoDecul
il y a 7 mois
masculum6 a écrit :
Aya il a cru préciser "dans Minecraft" après son post haineux allait le sauver du ban du site résultats il se fait perquis 😂
On a les memes ici
Pointe_2fleche
il y a 7 mois
La piaule qui ressemble à celle du khey facho moyen :
https://youtu.be/lFR6Ec_k4mo&t=1570Par contre le mec de l'extrait et de la photo du topic vit pas chez sa grand mère, c'est un autre cas
Il a l'air complètement paumé le 1er de la vidéo, le profil a commettre des faits divers très graves
LoserFORUM
il y a 7 mois
Quand t'es un 0 tout, il ne te reste plus qu'un métarecit ou ton groupe biologique pour les ultra-droitards ou social pour les ultra-gauchards sont les héros du monde de demain
C'est réel bordel les deux faces d'une même pièce
Pointe_2fleche
il y a 7 mois
Et ainsi, la grande farce tragique de ces vies avortées se poursuit, dans l'indifférence glaciale du monde qui tourne toujours, imperturbable. Dehors, les rues grouillent de ceux qui avancent, qui construisent, qui aiment et qui souffrent, mais qui vivent, eux. Les lumières de la ville clignotent, les néons s'allument et s'éteignent, et quelque part, une horloge continue de battre le tempo du temps qui passe, insensible à ces existences qui se sont arrêtées avant même d'avoir commencé.Ces jeunes hommes, perdus dans leurs rêves tordus de grandeur, n'ont jamais été que des ombres, des silhouettes floues que personne ne remarque vraiment. À peine sortis de l'enfance, ils se sont englués dans une haine apprise, héritée d'Internet, ce gouffre noir où toutes les amertumes se déversent, où tous les espoirs viennent mourir. Ils se sont laissés séduire par les illusions de puissance, par la promesse de faire partie d'un tout, d'un mouvement, même si ce n'était qu'un mensonge, un mirage.
Mais le mirage s'est dissipé, les avatars sont tombés, révélant des visages sans éclat, sans expression, des masques fatigués de tant de veilles inutiles, d'autant de nuits passées à ruminer le vide. Ils se croyaient en guerre, mais ils n'ont jamais quitté leur tranchée imaginaire, cette tranchée qu'ils ont creusée eux-mêmes dans leur esprit, remplie de peurs et de rancœurs, de tout ce qu'ils n'ont pas su comprendre ni maîtriser.
Leur colère, nourrie d'ignorance et d'un sentiment de trahison qu'ils ne savent même pas expliquer, s'est retournée contre eux, les a enfermés dans une spirale dont ils n'ont jamais voulu ou pu sortir. Ils se sont trouvés, dans ces forums glauques, des compagnons de misère, des frères d'arme aussi déchus qu'eux, mais ça ne les a pas sauvés. Au contraire, ça les a précipités plus vite encore dans l'abîme, chacun contribuant à creuser un peu plus la tombe collective où ils s'enterrent, lentement mais sûrement.
Les murs de leurs cellules, qu'ils soient de béton ou numériques, n'ont fait que refléter leur propre désespoir. Ils ont joué avec le feu, sans comprendre que ce feu ne les brûlerait pas seulement, mais les consumerait tout entiers. Et maintenant, ils sont là, ces jeunes hommes sans avenir, devant des juges qui les regardent sans vraiment les voir, parce qu'ils sont déjà ailleurs, ces juges, avec d'autres affaires, d'autres vies à juger.
Pour ces jeunes, il n'y aura pas de rédemption, juste une longue suite de jours gris, de nuits sans fin, où les souvenirs de ce qu'ils auraient pu être viendront les hanter. Ils n'ont jamais été que des fantômes, des présences éphémères qui n'ont laissé aucune trace, sinon dans les annales d'une justice qui se veut exemplaire, mais qui ne peut rien contre cette misère-là, cette misère morale et intellectuelle qui a fait d'eux des loques humaines avant l'heure.
Et ainsi, le cycle continue. Dehors, d'autres jeunes sont déjà en train de suivre le même chemin, attirés par les mêmes sirènes mensongères, par cette promesse vide de sens d'appartenir à quelque chose de plus grand qu'eux. Ils finiront de la même manière, broyés par une machine sociale qui ne leur laisse aucune chance, qui ne leur offre aucune porte de sortie.
Et nous, les autres, nous regardons tout cela avec une sorte de résignation, comme si c'était inévitable, comme si c'était le cours normal des choses. Nous passons à autre chose, à la prochaine alerte info, au prochain scandale, et nous oublions. Parce que c'est plus simple, parce que c'est plus confortable que de se demander pourquoi, pourquoi ces jeunes hommes se sont perdus en route, pourquoi personne n'a tendu la main pour les tirer de leur naufrage avant qu'il ne soit trop tard.
Mais il est trop tard maintenant, pour eux du moins. Ils disparaîtront dans l'oubli, tout comme ils ont vécu, dans l'anonymat le plus complet. Et le monde continuera de tourner, indifférent à ces drames silencieux qui se jouent dans l'ombre, chaque jour, chaque nuit, à chaque instant.
Résume moi ça ChatGPT, merci
Keym13
il y a 7 mois
Bordel les ongles longs de feignasse quand ils lui mettent les menottes
SuicideCaca11
il y a 7 mois
Résume moi ça ChatGPT, merci
Et pourtant, ce silence qui les enveloppe, ces jeunes hommes en perdition, n'est pas tout à fait sans écho. Dans les couloirs déserts de leurs pensées, résonnent encore les voix des discours creux qui les ont séduits, ces slogans faciles, ces théories simplistes qui leur promettaient un rôle, une place dans ce monde qui les a si vite rejetés. Ils y ont cru, aveuglément, parce que c'était tout ce qu'ils avaient, ces illusions de grandeur dans un océan de banalité.
Ils n'étaient pas méchants au départ, ces garçons, juste ignorants, désespérés, en quête d'un sens, d'une direction. Mais dans un monde où personne ne leur a tendu la main, où les écoles n'ont été que des enclos à frustrations, où les familles se sont fissurées sous le poids de la routine et de l'indifférence, ils ont trouvé dans la haine un refuge, une forme de rébellion contre un destin qu'ils n'avaient pas choisi. Une rébellion vaine, sans noblesse, sans même de réelle conviction, juste la rage brute d'être nés dans une époque qui ne voulait pas d'eux.
Ils se sont jetés dans l'abîme, poussés par une force qu'ils ne comprenaient pas, et qui n'était rien d'autre que leur propre impuissance, déguisée en bravoure. Ils ont rêvé de brûler le monde, mais c'est eux qui se sont consumés, peu à peu, étouffés par leurs propres flammes. Ils n'ont jamais su qu'ils étaient déjà perdus avant même d'avoir commencé à lutter, que leur guerre n'était qu'un mirage, une excuse pour ne pas affronter la vacuité de leur existence.
Maintenant, ils errent dans les couloirs des commissariats, des tribunaux, comme des ombres erratiques, des spectres que plus personne ne peut sauver, même s'il y avait encore quelque chose à sauver. On leur parlera de réinsertion, de réhabilitation, mais ces mots sonnent creux pour des esprits déjà ravagés, des vies déjà brisées. Ils écouteront, sans vraiment entendre, les sermons des juges, les promesses des avocats, les conseils des psys. Mais tout ça glissera sur eux comme l'eau sur un rocher, sans laisser de trace, parce qu'ils sont déjà ailleurs, ces jeunes hommes, dans un autre monde, un monde où la douleur s'est fait habitude, où l'ennui s'est fait complice.
De retour dans leurs cellules, ou peut-être, pour les plus chanceux, dans les centres de redressement, ils retrouveront la solitude qu'ils connaissent si bien, ce face-à-face avec eux-mêmes qu'ils n'ont jamais su affronter. Ils replongeront dans les mêmes réflexions stériles, les mêmes rêves de revanche, de violence, parce que c'est tout ce qu'il leur reste, ce résidu de rage qui leur rappelle qu'ils existent encore, d'une manière ou d'une autre.
Les murs gris, les lits de fer, les repas insipides, tout cela deviendra leur quotidien, une routine qui finira par les engloutir tout entiers, jusqu'à ce qu'ils ne soient plus que des ombres parmi d'autres, des numéros dans un fichier, des noms sur une liste. Leurs visages perdront peu à peu toute expression, leurs voix s'éteindront dans le murmure collectif des âmes perdues.
Et la société, celle qui les a d'abord ignorés, puis jugés, finira par les oublier, les condamnant à une seconde mort, celle de l'oubli. Ils ne seront plus que des statistiques, des cas d'école pour les sociologues, des chiffres dans les rapports de police. Peut-être qu'un jour, quelqu'un écrira sur eux, tentera de comprendre ce qui les a menés là, mais ce ne sera qu'un exercice intellectuel, dénué de toute réelle compassion, une analyse froide et distante, bien loin de la chaleur humaine dont ils auraient eu besoin.
Ils disparaîtront dans l'histoire comme tant d'autres avant eux, des jeunes hommes qui auraient pu être autre chose, qui auraient pu construire, créer, aimer, mais qui ont été broyés par un système trop grand, trop froid pour s'intéresser à leurs petites vies, à leurs petites misères. Et ceux qui les suivront, ceux qui sont encore libres pour l'instant, continueront de marcher sur le même chemin, à leur tour aspirés par ce vide, par cette promesse de grandeur qui n'est qu'un mensonge.
Et le cycle recommencera, encore et encore, jusqu'à ce que quelque chose change, peut-être, un jour, si quelqu'un, quelque part, décide enfin de tendre la main à ces jeunes hommes avant qu'ils ne tombent, avant qu'ils ne s'éteignent dans l'obscurité de leurs propres démons. Mais en attendant, ils continuent de disparaître, silencieusement, un à un, dans l'indifférence générale, comme des feuilles mortes emportées par le vent d'automne.
BehindBirthday
il y a 7 mois
Et dire que quand on discute avec un droitard on a affaire à ce genre de spécimen en réalité
Napoelon
il y a 7 mois
La vidéo elle est ou ? L'auteur t'as 2de QI ?
celestinade
il y a 7 mois
Et pourtant, ce silence qui les enveloppe, ces jeunes hommes en perdition, n'est pas tout à fait sans écho. Dans les couloirs déserts de leurs pensées, résonnent encore les voix des discours creux qui les ont séduits, ces slogans faciles, ces théories simplistes qui leur promettaient un rôle, une place dans ce monde qui les a si vite rejetés. Ils y ont cru, aveuglément, parce que c'était tout ce qu'ils avaient, ces illusions de grandeur dans un océan de banalité.
Ils n'étaient pas méchants au départ, ces garçons, juste ignorants, désespérés, en quête d'un sens, d'une direction. Mais dans un monde où personne ne leur a tendu la main, où les écoles n'ont été que des enclos à frustrations, où les familles se sont fissurées sous le poids de la routine et de l'indifférence, ils ont trouvé dans la haine un refuge, une forme de rébellion contre un destin qu'ils n'avaient pas choisi. Une rébellion vaine, sans noblesse, sans même de réelle conviction, juste la rage brute d'être nés dans une époque qui ne voulait pas d'eux.
Ils se sont jetés dans l'abîme, poussés par une force qu'ils ne comprenaient pas, et qui n'était rien d'autre que leur propre impuissance, déguisée en bravoure. Ils ont rêvé de brûler le monde, mais c'est eux qui se sont consumés, peu à peu, étouffés par leurs propres flammes. Ils n'ont jamais su qu'ils étaient déjà perdus avant même d'avoir commencé à lutter, que leur guerre n'était qu'un mirage, une excuse pour ne pas affronter la vacuité de leur existence.
Maintenant, ils errent dans les couloirs des commissariats, des tribunaux, comme des ombres erratiques, des spectres que plus personne ne peut sauver, même s'il y avait encore quelque chose à sauver. On leur parlera de réinsertion, de réhabilitation, mais ces mots sonnent creux pour des esprits déjà ravagés, des vies déjà brisées. Ils écouteront, sans vraiment entendre, les sermons des juges, les promesses des avocats, les conseils des psys. Mais tout ça glissera sur eux comme l'eau sur un rocher, sans laisser de trace, parce qu'ils sont déjà ailleurs, ces jeunes hommes, dans un autre monde, un monde où la douleur s'est fait habitude, où l'ennui s'est fait complice.
De retour dans leurs cellules, ou peut-être, pour les plus chanceux, dans les centres de redressement, ils retrouveront la solitude qu'ils connaissent si bien, ce face-à-face avec eux-mêmes qu'ils n'ont jamais su affronter. Ils replongeront dans les mêmes réflexions stériles, les mêmes rêves de revanche, de violence, parce que c'est tout ce qu'il leur reste, ce résidu de rage qui leur rappelle qu'ils existent encore, d'une manière ou d'une autre.
Les murs gris, les lits de fer, les repas insipides, tout cela deviendra leur quotidien, une routine qui finira par les engloutir tout entiers, jusqu'à ce qu'ils ne soient plus que des ombres parmi d'autres, des numéros dans un fichier, des noms sur une liste. Leurs visages perdront peu à peu toute expression, leurs voix s'éteindront dans le murmure collectif des âmes perdues.
Et la société, celle qui les a d'abord ignorés, puis jugés, finira par les oublier, les condamnant à une seconde mort, celle de l'oubli. Ils ne seront plus que des statistiques, des cas d'école pour les sociologues, des chiffres dans les rapports de police. Peut-être qu'un jour, quelqu'un écrira sur eux, tentera de comprendre ce qui les a menés là, mais ce ne sera qu'un exercice intellectuel, dénué de toute réelle compassion, une analyse froide et distante, bien loin de la chaleur humaine dont ils auraient eu besoin.
Ils disparaîtront dans l'histoire comme tant d'autres avant eux, des jeunes hommes qui auraient pu être autre chose, qui auraient pu construire, créer, aimer, mais qui ont été broyés par un système trop grand, trop froid pour s'intéresser à leurs petites vies, à leurs petites misères. Et ceux qui les suivront, ceux qui sont encore libres pour l'instant, continueront de marcher sur le même chemin, à leur tour aspirés par ce vide, par cette promesse de grandeur qui n'est qu'un mensonge.
Et le cycle recommencera, encore et encore, jusqu'à ce que quelque chose change, peut-être, un jour, si quelqu'un, quelque part, décide enfin de tendre la main à ces jeunes hommes avant qu'ils ne tombent, avant qu'ils ne s'éteignent dans l'obscurité de leurs propres démons. Mais en attendant, ils continuent de disparaître, silencieusement, un à un, dans l'indifférence générale, comme des feuilles mortes emportées par le vent d'automne.
zinzin, tu viens d'écrire tout ça ou je méconnais un pavé notoire ?
SuicideCaca11
il y a 7 mois
Et dire que quand on discute avec un droitard on a affaire à ce genre de spécimen en réalité
Évitez de croire que ça ne s'applique qu'aux droitards. Les cas-soc communistes avec des photos de Staline et des drapeaux de l'URSS dans des piaules qui puent le foutre et le ressentiment contre le monde sont aussi légions sur Twitter.
SuicideCaca11
il y a 7 mois
zinzin, tu viens d'écrire tout ça ou je méconnais un pavé notoire ?
C'est la sainte IA. Je suis bluffé par ses capacités et je m'amuse à l'utiliser depuis peu sur le forum pour faire comprendre aux kheys les plus réfractaires qu'on va rentrer dans une nouvelle révolution industrielle.
L'IA encule déjà certains écrivains.
celestinade
il y a 7 mois
Évitez de croire que ça ne s'applique qu'aux droitards. Les cas-soc communistes avec des photos de Staline et des drapeaux de l'URSS dans des piaules qui puent le foutre et le ressentiment contre le monde sont aussi légions sur Twitter.
ça s'applique quasi exclusivement aux communistes en France, où la restriction de l'expression empêche des cas tels que ceux de 4chan
celestinade
il y a 7 mois
C'est la sainte IA. Je suis bluffé par ses capacités et je m'amuse à l'utiliser depuis peu sur le forum pour faire comprendre aux kheys les plus réfractaires qu'on va rentrer dans une nouvelle révolution industrielle.
L'IA encule déjà certains écrivains.
Envoie ton prompt. T'as demandé du Céline ?
Legionarruss55
il y a 7 mois
envoies la vidéo
Naind1m78
il y a 7 mois
moi j'écoute des marches militaire allemand et j'ai pas du tout ce physique la mais plutot sportif et musclé
SuicideCaca11
il y a 7 mois
Envoie ton prompt. T'as demandé du Céline ?
Prompt bien précis, et en effet j'ai demandé la plume du King
celestinade
il y a 7 mois
Prompt bien précis, et en effet j'ai demandé la plume du King
mp
Naravan-232
il y a 7 mois
C'est exactement comme ca que j'imagine les raclos de ce forum.
Zav_
il y a 7 mois
SuicideCaca11
il y a 7 mois
Prompt bien précis, et en effet j'ai demandé la plume du King
t'utilises quelle ia ?
Pointe_2fleche
il y a 7 mois
La vidéo que YT me propose après celle de l'OP, encore une cam de Police Américaine
https://www.youtube.com/watch?v=TeTK7vELb7Y
La voix du Policier, quelle patience et gentillesse au début avec la blonde conductrice du véhicule.
On croirait plus une vidéo scénarisée -18 pour un site Po-no ...qu'une vidéo "Law & Crime"
GelanoChacha
il y a 7 mois