Un monologue ridiculement poétique sur des seins ?
5 messages
Mise à jour: il y a 7 mois
Shohip17
il y a 7 mois
Le monologue face au directeur dans Prison School
colline_fou
il y a 7 mois
Ah, les seins ! Ces monts célestes, ces doux vallons, où l'univers tout entier semble se reposer. Deux astres jumeaux, tels des lunes d'ivoire, sculptés avec une tendresse infinie par les mains patientes du destin. Ils sont le souffle d'une poésie silencieuse, un sonnet sans rime, un murmure du vent dans le crépuscule de l'intime.
Les seins, ces fruits du jardin de la féminité, mûrs de promesses et de mystères, cachent en leur rondeur la mélodie secrète de la vie. Sous le voile de la pudeur, ils dansent avec chaque respiration, un ballet discret que seuls les cœurs sensibles peuvent deviner. À chaque regard posé sur eux, le temps semble suspendu, comme si l'éternité elle-même voulait capturer ce moment fugace de perfection.
Ô seins ! Vous êtes la courbe où se réfugient les rêves, la colline douce où reposent les âmes fatiguées. Vous êtes le compas des émois, les gardiens de la tendresse, les échos du désir qui résonnent dans les profondeurs de l'être. En vous, se mêlent la force et la délicatesse, la promesse et le mystère, le tangible et l'éphémère.
Seins, vos secrets sont des poèmes écrits en langage céleste, et chaque caresse de votre peau est une strophe, chaque soupir une rime. Vous êtes la raison d'une douce folie, l'origine d'une contemplation qui n'a pas de fin. Les poètes se perdent en vos courbes, les artistes se noient dans votre lumière, car vous êtes, ô seins, l'essence même du divin.
Marstatane
il y a 7 mois
Le monologue face au directeur dans Prison School
Merci
Marstatane
il y a 7 mois
Ah, les seins ! Ces monts célestes, ces doux vallons, où l'univers tout entier semble se reposer. Deux astres jumeaux, tels des lunes d'ivoire, sculptés avec une tendresse infinie par les mains patientes du destin. Ils sont le souffle d'une poésie silencieuse, un sonnet sans rime, un murmure du vent dans le crépuscule de l'intime.Les seins, ces fruits du jardin de la féminité, mûrs de promesses et de mystères, cachent en leur rondeur la mélodie secrète de la vie. Sous le voile de la pudeur, ils dansent avec chaque respiration, un ballet discret que seuls les cœurs sensibles peuvent deviner. À chaque regard posé sur eux, le temps semble suspendu, comme si l'éternité elle-même voulait capturer ce moment fugace de perfection.
Ô seins ! Vous êtes la courbe où se réfugient les rêves, la colline douce où reposent les âmes fatiguées. Vous êtes le compas des émois, les gardiens de la tendresse, les échos du désir qui résonnent dans les profondeurs de l'être. En vous, se mêlent la force et la délicatesse, la promesse et le mystère, le tangible et l'éphémère.
Seins, vos secrets sont des poèmes écrits en langage céleste, et chaque caresse de votre peau est une strophe, chaque soupir une rime. Vous êtes la raison d'une douce folie, l'origine d'une contemplation qui n'a pas de fin. Les poètes se perdent en vos courbes, les artistes se noient dans votre lumière, car vous êtes, ô seins, l'essence même du divin.
Ahi, c'est super
Marstatane
il y a 7 mois