Debunk ChatGPT :

Pascal Tournaire compare deux situations (gravir l'Everest avec de l'oxygène et faire le Tour de France avec un vélo électrique) qui semblent similaires à première vue, mais qui diffèrent considérablement dans leur contexte et dans la nature des efforts impliqués.

Voici les raisons pour lesquelles cette analogie est trompeuse :

Différence dans les objectifs et les exigences physiques : Gravir l'Everest, même avec de l'oxygène, reste une entreprise extrêmement exigeante et risquée sur le plan physique et psychologique. Cela n'équivaut pas à l'utilisation d'un vélo électrique dans une compétition cycliste, où le vélo électrique annulerait pratiquement l'effort physique, ce qui n'est pas le cas de l'oxygène dans une ascension en haute altitude.

Nature de l'aide : L'utilisation d'oxygène dans l'ascension de l'Everest est une aide pour survivre dans des conditions extrêmes, alors qu'un vélo électrique remplace en grande partie l'effort physique requis pour pédaler. La gravité et la difficulté de gravir une montagne en haute altitude persistent malgré l'apport d'oxygène.

Simplification excessive : L'analogie simplifie de façon injustifiée la complexité d'une ascension comme celle de l'Everest. Utiliser de l'oxygène ne rend pas l'ascension triviale ni comparable à utiliser un vélo électrique dans une compétition sportive. L'oxygène est une nécessité vitale en haute altitude, et n'enlève pas la majorité des dangers ou des défis de l'ascension.