https://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/gironde/bordeaux/une-extreme-brutalite-apres-plus-de-80-agressions-sur-des-etudiants-sept-mineurs-interpelles-pour-des-faits-de-violences-en-reunion-extorsions-et-vols-avec-arme-3126724.html
"Depuis début 2024, de très nombreuses agressions d'étudiants ont été constatées sur le secteur avoisinant la cité des Aubiers

Au total, depuis le début de l'année 2024, 82 victimes ont été identifiées, "dans la grande majorité des étudiants des établissements scolaires et d'école d'enseignement supérieur situées à proximité". Le parquet de Bordeaux précise que les agresseurs agissaient selon un modus operandi bien rodé. "Les victimes étaient ciblées au niveau des arrêts de tramway proches de la cité (arrêt Cracovie ou arrêt les Aubiers), puis isolées par des auteurs systématiquement masqués et porteurs de capuches, avant d'être agressées avec une extrême brutalité, parfois sous la menace d'armes blanches, pour voler cartes bancaires, téléphones portables, vêtements de marque

Outre l'extrême violence, "les individus n'hésitaient pas à filmer leurs propres méfaits avec leurs téléphones portables

Le 15 octobre 2024. Une première opération de police a permis "l'interpellation de quatre jeunes individus âgés de quatorze à seize ans, essentiellement receleurs". Mais les violences ont perduré et "57 nouvelles plaintes de vols avec violences en réunion, extorsions, extorsions avec arme, vols avec arme, ont été recensées dans ce même secteur" depuis le mois de novembre.

L'enquête, les analyses et Le 19 mars dernier, "une vaste opération de police judiciaire, menée avec le concours de la CRS84 de nouvelle génération, a permis l'interpellation concomitante de ces sept mineurs". Les perquisitions menées dans leurs domiciles ont permis de retrouver "un nombre élevé des objets volés, ainsi que plusieurs autres biens de valeurs qui ont tous été saisis". Certains ont reconnu une partie des faits, d'autres les ont contestés "ou se sont retranchés derrière leur droit de garder le silence".

Les sept jeunes ont tous été déférés au parquet et présentés à un magistrat instructeur qui les a mis en examen des chefs de "vols avec violences en réunion, extorsions, extorsions avec arme, vols avec arme". Le parquet précise qu'ils ont chacun plusieurs agressions violentes à leur actif. "Le plus impliqué de ces mineurs a été mis en examen pour 28 faits tandis que les autres ont été mis en examen pour sept (trois individus), onze, dix-sept et vingt-deux faits".

La france qui se transforme en taudis ambulant ou tu ne peux circuler sans te faire agresser + filmer par tes agresseurs et finir dans une video snapchat, chaud