Une femme de 83 ans, utilisant un déambulateur et souffrant d'insuffisance respiratoire, a affirmé avoir été violée deux fois par un veilleur de nuit de 26 ans, employé par la municipalité d'une résidence pour personnes âgées en Seine-et-Marne. Il lui aurait ordonné de prendre une douche, puis l'aurait poussée sur son lit avant de lui imposer des attouchements à la poitrine et des pénétrations digitales. Après avoir quitté la pièce, il serait revenu une vingtaine de minutes plus tard pour lui imposer des pénétrations péniennes (vaginale et/ou anale et/ou buccale). Lui soutient qu'il s'agissait d'un rapport consenti, exigé par la grand-mère, qui aurait menacé de se suicider si ses avances n'étaient pas acceptées. Il a ensuite changé de version et a admis avoir honte de son attirance pour une personne âgée, affirmant qu'elle était toujours consentante et que son unique tort était de croire qu'une femme de cette génération pouvait accepter une relation sans lendemain. Le procès s'est tenu aujourd'hui et doit s'achever ce vendredi

la pauvre mamie