Une FILLE de 14 ANS capturée par des habitants du 93 pour y être PROSTITUÉE
KomiSan
il y a 2 mois
Heureusement que sous Chirac, Sarko, Darmanin, Retailleau on avait aucun drame
Un jour vous comprendrez que c'est pas une question de qui est président/PM mais de paradygme, de dynamique sociétale et surtout d'idéologie. T'as cité 4 faibles qui ont entretenu le discours de la gauche sur les sujets de sécurité et d'immigration, les drames qu'on vit et les mesures nécessaires dépassent largement le cadre des politiciens.
JeanCalvitie15
il y a 2 mois
Tu sais que c'est faux, mais quant bien même ce serait vrai, pose toi la question de pourquoi ils se font bannir dans ce cas...
Le soucis, c'est celui qui insulte (et suffisamment pour prendre un ban) ou celui qui se fait insulter ?
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Tu inverses coupable et "victime"
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Néanmoins, je note que tu botes en touche concernant mon interrogation, que je vais te remettre ici pour te faciliter la tâche:
Explique le putain de rapport entre des gauchistes du forum qui se font bannir (donc qui ont dit des "dingueries") et les politiques de gauche et les médias mainstream qui ne parlent jamais de ces affaires
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KomiSan
il y a 2 mois
Bah non ça n'a aucun rapport
Mbappe fait un tweet pour une victime de l'état français dont le tueur n'est pas inquiété et reçoit même des centaines de milliers d'euro de cagnotte, y a une injustice évidente qui est cautionné par l'état et une partie de la population qui soutient le crime
Alors que là c'est tout bonnement un crime parfaitement caractérisé et parfaitement condamné par absolument tout le monde sans ambiguïté
La justice va s'occuper de leur cas il y a aucune ambiguïté sur la situation et personne ne soutient les criminels dans ce cas làDonc faut arrêter de tout mélanger parce que là vos posts ça n'a plus aucun sens du coup
"une victime de l'état français" c'est un autre nom pour désigner un danger public qui accumulait les faits de délinquance et était à 2 doigts de provoquer un drame quelques minutes avant son interpellation ?
HistorienBrisax
il y a 2 mois
RespirationAuto a écrit :
Bah non ça n'a aucun rapport
Mbappe fait un tweet pour une victime de l'état français dont le tueur n'est pas inquiété et reçoit même des centaines de milliers d'euro de cagnotte, y a une injustice évidente qui est cautionné par l'état et une partie de la population qui soutient le crime
Alors que là c'est tout bonnement un crime parfaitement caractérisé et parfaitement condamné par absolument tout le monde sans ambiguïté
La justice va s'occuper de leur cas il y a aucune ambiguïté sur la situation et personne ne soutient les criminels dans ce cas làDonc faut arrêter de tout mélanger parce que là vos posts ça n'a plus aucun sens du coup
Et du coup Mbappe a tweeté sur le laxisme judiciaire en France ? Ces mecs devraient prendre perpétuité voire plus
KOL304
il y a 2 mois
La fille est issue de l'immigration.
Une preuve de plus que Jean-Marie avait raison.
MagnaCarta181
il y a 2 mois
Tirie14_3
il y a 2 mois
RespirationAuto
il y a 2 mois
Bah non ça n'a aucun rapport
Mbappe fait un tweet pour une victime de l'état français dont le tueur n'est pas inquiété et reçoit même des centaine de milliers d'euro de cagnotte
Alors que là c'est tout bonnement un crime parfaitement caractérisé et parfaitement condamné par absolument tout le monde sans ambiguïté
La justice va s'occuper de leur cas il y a aucune ambiguïté sur la situation et personne ne soutient les criminels dans ce cas làDonc faut arrêter de tout mélanger parce que là vos posts ça n'a plus aucun sens du coup
HumainQuantique
il y a 2 mois
Seine-Saint-Denis : une jeune fille de 14 ans forcée de coucher avec une cinquantaine d'hommes sans contraception ni préservatif
Une jeune lyonnaise, qui pensait rejoindre une connaissance rencontrée sur les réseaux sociaux à Paris, a été forcée à se prostituer pendant plusieurs jours en Seine-Saint-Denis. Le cauchemar a pris fin le 1er février, avec l'intervention de la police.
Ces histoires se répètent et se ressemblent, plus ou moins glauques, avec des victimes plus ou moins jeunes, et des proxénètes pas beaucoup plus vieux. Celle-ci commence, comme souvent, sur les réseaux sociaux. Inès* a 14 ans. Elle a grandi dans la banlieue de Lyon, dans une famille nombreuse d'origine maghrébine, avec un père quasi-absent. Elle a huit frères et sœurs.
Son père, violent, a interdiction de s'approcher du foyer familial, ce qu'il fait malgré tout. La situation est à ce point critique qu'Inès est plusieurs fois envoyée en foyer ou en famille d'accueil. Peu à peu, le lien avec ses parents s'effrite. Et puis il y a l'école, son petit copain, et les réseaux sociaux, où elle rencontre un certain Isaac, aux alentours du mois de novembre 2024.
Que se disent-ils précisément ? Les premières auditions ne permettent pas de la savoir. Mais ils échangent durant trois mois, dira la victime, et façon assez étroite pour qu'elle se décide à prendre un train pour le voir, à Paris. Isaac, grand prince, lui envoie un billet de train, et la voici qui débarque le 23 janvier, à la gare de Lyon, en fin d'après-midi.
Forcée à se prostituer à la chaîne sous la surveillance d'un autre mineur
A la gare, ce n'est pas Isaac qui l'attend, mais un de ses amis. Un certain B., 17 ans (raison pour laquelle nous ne pouvons donner son prénom), qui l'a fait monter dans une voiture conduite par un dénommé Wesley. Inès est alors emmenée dans un appartement en location courte durée, à Aubervilliers (93), où Isaac n'apparait toujours pas. Elle comprend qu'elle ne le verra pas, pour la bonne raison qu'il est en prison et manifestement en possession d'un téléphone.
Elle comprend aussi qu'elle est là pour " bosser ". En l'occurrence, se prostituer à la chaine, pendant que B. s'occupe de recevoir les clients et collecter l'argent, et qu'Isaac gère les annonces en lignes. Avant cela, raconte-t-elle, B. exige un rapport sexuel. Il fait également venir deux amis pour les mêmes raisons, qui la tripotent, ce qui amuse beaucoup B..
Les jours suivants, les passes s'enchainent. B. lui demande de fumer des joints, " pour me mettre dans un état secondaire " et qu'elle n'oppose pas de résistance. Lorsqu'elle exprime son refus, elle reçoit des claques. " Si tu ne fais pas je vais te faire pire ", lui dit-il. Elle raconte aux policiers : " Je me suis laissé faire et les clients voyaient que j'étais pas bien mais ils s'en foutaient, ils prenaient leur plaisir. "
"De temps en temps j'avais de la nourriture, j'avais des vêtements mais il voulait pas que je les lave, il voulait me faire passer pour une crasseuse. "
Et des clients, il y en a beaucoup. Six à sept par jours, qui parfois reviennent. Cinquante en tout, environ. Tarif : 50 euros pour 10 minutes. Le double pour 30 minutes. Ou encore 400 euros pour deux heures. La jeune fille raconte qu'aucun des rapports sexuels n'étaient protégés, et qu'elle avait interdiction de prendre des pilules contraceptives. " De temps en temps j'avais de la nourriture, j'avais des vêtements mais il voulait pas que je les lave, il voulait me faire passer pour une crasseuse " explique-t-elle.
Six jours après son arrivée, et le début de cet esclavage sexuel présumé, Inès est emmenée dans un autre appartement, à Bagnolet (93), pour y faire la même chose, non pas pour Isaac cette fois-ci, mais pour le compte d'un certain Yanis. Là-bas, comme dans l'appartement précédent, l'usage de son téléphone est surveillé. Mais deux jours plus tard, le 31 janvier, à la faveur d'une dispute qui éclate dans l'appartement, elle parvient à prévenir une amie par téléphone, qui elle-même prévient la police et donne son adresse.
Le 1er février, un équipage de police débarque dans l'appartement. Inès leur confirme la situation dans laquelle elle se trouve et indique que l'un de ses proxénète, B., est caché dans la salle de bain. Les policiers l'interpellent. C'est loin d'être sa première interpellation puisque ce dernier, mineur, actuellement placé en foyer, est connu pour une soixantaine de faits, notamment de vols et stupéfiants.
Un suspect arrêté, archi connu de la police
Placé en garde à vue, il nie en bloc. Fait mine de ne pas comprendre, ou de s'indigner à grands cris de " walah ", jure sur sa mère. Explique qu'il était payé pour s'occuper d'Inès et avoir des rapports sexuels avec elle. Selon nos informations, les investigations supplémentaires, notamment sur la téléphonie, ont permis de confirmer les dires de la victime sur le rôle des deux mis en cause. L'enquête a également permis de constater que le dénommé Isaac, qui aux dernières nouvelles n'avait pas été identifié, avait parfaitement connaissance du jeune âge de la victime.
Les investigations viseront notamment à déterminer dans quelle mesure la victime s'est rendue à Paris dans l'idée de se prostituer, ou non.
"Les jeunes proxénètes expliquent qu'ils n'ont pas besoin de forcer ces jeunes filles, car il y en a énormément sur les réseaux sociaux qui n'attendent que ça, expliquait au Parisien, Christophe Molmy, le patron de la Brigade de protection des mineurs, en septembre 2023. Et c'est plutôt vrai : des jeunes filles vraiment forcées, frappées, torturées, il y en a très peu. Ça peut arriver, mais c'est rare, avec des profils de jeunes filles particulièrement vulnérables, et des garçons - ou des jeunes filles - qui profitent d'elles. La plupart des jeunes filles qui se prostituent savent ce qu'elles font. C'est un choix." Les faits n'en demeurent pas moins d'une gravité extrême au regard de la loi et du jeune âge de la victime, qui pourrait avoir été influencée par le dénommé Isaac."
- Le prénom a été modifié
-DVG-
il y a 2 mois
Tirie14_3
il y a 2 mois
JeanCalvitie15
il y a 2 mois
--__--_--__--
il y a 2 mois
Jejajajre
il y a 2 mois
Me demandez pas, j'ai connue une meuf comme ça de 14 ans via un pote
Il a passé une main courante etc, rien à faire. La police a meme pas agit
Depuis elle doit avoir 18 là, je me demande ce qu'elle est devenue.
Jejajajre
il y a 2 mois
Une Pelicot mineure mais les féministes se taisent complétement
Non mais bon comme vous êtes persuadés que les feministes ne tapent que sur les b
QuidamCommun
il y a 2 mois
Pendant ce temps là on glorifie des putes qui se font tringler par kilos de bites en 24H, la pornographie est disponible en un click gratos, et on prépare l'éducation sexuelle dès la maternelle. "Mais ce sont des déséquilibrés. Ça n'a rien à voir !"
Bah évidemment que ça n'a rien à voir de vendre son corps en étant consentant et se faisant vendre son corps par autrui sans son consentement. Tu serais pas un peu taré, toi, par hasard ?
RespirationAuto
il y a 2 mois
"une victime de l'état français" c'est un autre nom pour désigner un danger public qui accumulait les faits de délinquance et était à 2 doigts de provoquer un drame quelques minutes avant son interpellation ?
Un type qui a été exécuté parce qu'un flic a décidé qu'il était de mauvaise humeur aujourd'hui
On peut tourner autour du pot 1000 ans à la fin de la journée le policier l'a exécuté sans que ce soit justifié c'est pas plus compliqué que ça
LatextileMessie
il y a 2 mois
Seine-Saint-Denis : une jeune fille de 14 ans forcée de coucher avec une cinquantaine d'hommes sans contraception ni préservatif
Une jeune lyonnaise, qui pensait rejoindre une connaissance rencontrée sur les réseaux sociaux à Paris, a été forcée à se prostituer pendant plusieurs jours en Seine-Saint-Denis. Le cauchemar a pris fin le 1er février, avec l'intervention de la police.Ces histoires se répètent et se ressemblent, plus ou moins glauques, avec des victimes plus ou moins jeunes, et des proxénètes pas beaucoup plus vieux. Celle-ci commence, comme souvent, sur les réseaux sociaux. Inès* a 14 ans. Elle a grandi dans la banlieue de Lyon, dans une famille nombreuse d'origine maghrébine, avec un père quasi-absent. Elle a huit frères et sœurs.
Son père, violent, a interdiction de s'approcher du foyer familial, ce qu'il fait malgré tout. La situation est à ce point critique qu'Inès est plusieurs fois envoyée en foyer ou en famille d'accueil. Peu à peu, le lien avec ses parents s'effrite. Et puis il y a l'école, son petit copain, et les réseaux sociaux, où elle rencontre un certain Isaac, aux alentours du mois de novembre 2024.
Que se disent-ils précisément ? Les premières auditions ne permettent pas de la savoir. Mais ils échangent durant trois mois, dira la victime, et façon assez étroite pour qu'elle se décide à prendre un train pour le voir, à Paris. Isaac, grand prince, lui envoie un billet de train, et la voici qui débarque le 23 janvier, à la gare de Lyon, en fin d'après-midi.
Forcée à se prostituer à la chaîne sous la surveillance d'un autre mineur
A la gare, ce n'est pas Isaac qui l'attend, mais un de ses amis. Un certain B., 17 ans (raison pour laquelle nous ne pouvons donner son prénom), qui l'a fait monter dans une voiture conduite par un dénommé Wesley. Inès est alors emmenée dans un appartement en location courte durée, à Aubervilliers (93), où Isaac n'apparait toujours pas. Elle comprend qu'elle ne le verra pas, pour la bonne raison qu'il est en prison et manifestement en possession d'un téléphone.Elle comprend aussi qu'elle est là pour " bosser ". En l'occurrence, se prostituer à la chaine, pendant que B. s'occupe de recevoir les clients et collecter l'argent, et qu'Isaac gère les annonces en lignes. Avant cela, raconte-t-elle, B. exige un rapport sexuel. Il fait également venir deux amis pour les mêmes raisons, qui la tripotent, ce qui amuse beaucoup B..
Les jours suivants, les passes s'enchainent. B. lui demande de fumer des joints, " pour me mettre dans un état secondaire " et qu'elle n'oppose pas de résistance. Lorsqu'elle exprime son refus, elle reçoit des claques. " Si tu ne fais pas je vais te faire pire ", lui dit-il. Elle raconte aux policiers : " Je me suis laissé faire et les clients voyaient que j'étais pas bien mais ils s'en foutaient, ils prenaient leur plaisir. "
"De temps en temps j'avais de la nourriture, j'avais des vêtements mais il voulait pas que je les lave, il voulait me faire passer pour une crasseuse. "
Et des clients, il y en a beaucoup. Six à sept par jours, qui parfois reviennent. Cinquante en tout, environ. Tarif : 50 euros pour 10 minutes. Le double pour 30 minutes. Ou encore 400 euros pour deux heures. La jeune fille raconte qu'aucun des rapports sexuels n'étaient protégés, et qu'elle avait interdiction de prendre des pilules contraceptives. " De temps en temps j'avais de la nourriture, j'avais des vêtements mais il voulait pas que je les lave, il voulait me faire passer pour une crasseuse " explique-t-elle.
Six jours après son arrivée, et le début de cet esclavage sexuel présumé, Inès est emmenée dans un autre appartement, à Bagnolet (93), pour y faire la même chose, non pas pour Isaac cette fois-ci, mais pour le compte d'un certain Yanis. Là-bas, comme dans l'appartement précédent, l'usage de son téléphone est surveillé. Mais deux jours plus tard, le 31 janvier, à la faveur d'une dispute qui éclate dans l'appartement, elle parvient à prévenir une amie par téléphone, qui elle-même prévient la police et donne son adresse.
Le 1er février, un équipage de police débarque dans l'appartement. Inès leur confirme la situation dans laquelle elle se trouve et indique que l'un de ses proxénète, B., est caché dans la salle de bain. Les policiers l'interpellent. C'est loin d'être sa première interpellation puisque ce dernier, mineur, actuellement placé en foyer, est connu pour une soixantaine de faits, notamment de vols et stupéfiants.
Un suspect arrêté, archi connu de la police
Placé en garde à vue, il nie en bloc. Fait mine de ne pas comprendre, ou de s'indigner à grands cris de " walah ", jure sur sa mère. Explique qu'il était payé pour s'occuper d'Inès et avoir des rapports sexuels avec elle. Selon nos informations, les investigations supplémentaires, notamment sur la téléphonie, ont permis de confirmer les dires de la victime sur le rôle des deux mis en cause. L'enquête a également permis de constater que le dénommé Isaac, qui aux dernières nouvelles n'avait pas été identifié, avait parfaitement connaissance du jeune âge de la victime.Les investigations viseront notamment à déterminer dans quelle mesure la victime s'est rendue à Paris dans l'idée de se prostituer, ou non.
"Les jeunes proxénètes expliquent qu'ils n'ont pas besoin de forcer ces jeunes filles, car il y en a énormément sur les réseaux sociaux qui n'attendent que ça, expliquait au Parisien, Christophe Molmy, le patron de la Brigade de protection des mineurs, en septembre 2023. Et c'est plutôt vrai : des jeunes filles vraiment forcées, frappées, torturées, il y en a très peu. Ça peut arriver, mais c'est rare, avec des profils de jeunes filles particulièrement vulnérables, et des garçons - ou des jeunes filles - qui profitent d'elles. La plupart des jeunes filles qui se prostituent savent ce qu'elles font. C'est un choix." Les faits n'en demeurent pas moins d'une gravité extrême au regard de la loi et du jeune âge de la victime, qui pourrait avoir été influencée par le dénommé Isaac."
- Le prénom a été modifié
Merci, enfin
whoom32
il y a 2 mois
Bah non ça n'a aucun rapport
Mbappe fait un tweet pour une victime de l'état français dont le tueur n'est pas inquiété et reçoit même des centaines de milliers d'euro de cagnotte, y a une injustice évidente qui est cautionné par l'état et une partie de la population qui soutient le crime
Alors que là c'est tout bonnement un crime parfaitement caractérisé et parfaitement condamné par absolument tout le monde sans ambiguïté
La justice va s'occuper de leur cas il y a aucune ambiguïté sur la situation et personne ne soutient les criminels dans ce cas làDonc faut arrêter de tout mélanger parce que là vos posts ça n'a plus aucun sens du coup
mais qu'est ce que tu raconte nahel n'as rien d'une victime il a essayer du tuer ce brave policier a l'aide de sa voiture a 17 ans
le policier a reagis en legitime defense et a sauver des vie
JeanCalvitie15
il y a 2 mois
Personne ne dit de dinguerie, on se fait bannir pour rien sur ce forum (et je ne t'inclue pas dans le on) car t'es la raison pour laquelle certains se font bannir, toi et l'autre lépreux du topic
Et pourquoi VA ne parle pas de faits divers en bouclant quand ce sont des blancs? T'as un début de réponse à ta question.
RespirationAuto
il y a 2 mois
Non l'enquête a justement pointé du doigt le fait que le policier n'était pas en danger et que sa réaction était excessive
Les enquêtes ca n'est pas le même chose que ta conviction personnelle khey
Et de toute façon on peut débattre là dessus autant que vous voulez c'est même pas le sujet
Là je répond à un khey qui compare l'affaire Nahel avec cette affaire d'esclavage sexuel, alors que ça n'a rien à voir, c'est ça le propos là
Tirie14_3
il y a 2 mois
JeanCalvitie15
il y a 2 mois
Personne ne dit de dinguerie, on se fait bannir pour rien sur ce forum (et je ne t'inclue pas dans le on) car t'es la raison pour laquelle certains se font bannir, toi et l'autre lépreux du topic
![]()
Et pourquoi VA ne parle pas de faits divers en bouclant quand ce sont des blancs? T'as un début de réponse à ta question.
hommepied
il y a 2 mois
QuidamCommun
il y a 2 mois
Un type qui a été exécuté parce qu'un flic a décidé qu'il était de mauvaise humeur aujourd'hui
On peut tourner autour du pot 1000 ans à la fin de la journée le policier l'a exécuté sans que ce soit justifié c'est pas plus compliqué que ça
Bah non, il a abattu un criminel pour préserver les citoyens du danger qu'il représentait.
Décidemment, beaucoup de tarés sur ce topic.
Trapisseur777
il y a 2 mois
horrible
par contre c'est quoi leur qi à ceux là pour lui laisser son téléphone, naturelle et 100% mérité pour ces monstres
le qi du mec qui a écrit l'article aussi ne reluit pas
ProutAnonyme
il y a 2 mois
Le nain qui se sent pousser des couilles derrière un ecran et en mp mais qui n'ose pas me contacter aya.
J'ai rarement vu plus lâche que toi.
broupak
il y a 2 mois
Elle avait des fella*** imposés aussi je suppose....Je croyais qu'ils aimaient que les femmes soient vierges , ca les dérange pas beaucoup on dirait.
Est ce qu'il y a une chance que les 50 mecs fassent de la prison pour viol sur mineur?
ScarletTerror
il y a 2 mois
On attend surtout que quelqu'un poste l'article, ça fait 5 pages de commentaires alors que personne n'a lu l'article
Une jeune lyonnaise, qui pensait rejoindre une connaissance rencontrée sur les réseaux sociaux à Paris, a été forcée à se prostituer pendant plusieurs jours en Seine-Saint-Denis. Le cauchemar a pris fin le 1er février, avec l'intervention de la police.
Par Amaury Bucco
Publié le 18 février 2025 à 15h00
Image d'illustration. Photo © Alain ROBERT/SIPA
Image d'illustration. Photo © Alain ROBERT/SIPA
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Ces histoires se répètent et se ressemblent, plus ou moins glauques, avec des victimes plus ou moins jeunes, et des proxénètes pas beaucoup plus vieux. Celle-ci commence, comme souvent, sur les réseaux sociaux. Inès* a 14 ans. Elle a grandi dans la banlieue de Lyon, dans une famille nombreuse d'origine maghrébine, avec un père quasi-absent. Elle a huit frères et sœurs.
Son père, violent, a interdiction de s'approcher du foyer familial, ce qu'il fait malgré tout. La situation est à ce point critique qu'Inès est plusieurs fois envoyée en foyer ou en famille d'accueil. Peu à peu, le lien avec ses parents s'effrite. Et puis il y a l'école, son petit copain, et les réseaux sociaux, où elle rencontre un certain Isaac, aux alentours du mois de novembre 2024.
Que se disent-ils précisément ? Les premières auditions ne permettent pas de la savoir. Mais ils échangent durant trois mois, dira la victime, et façon assez étroite pour qu'elle se décide à prendre un train pour le voir, à Paris. Isaac, grand prince, lui envoie un billet de train, et la voici qui débarque le 23 janvier, à la gare de Lyon, en fin d'après-midi.
Forcée à se prostituer à la chaîne sous la surveillance d'un autre mineur
A la gare, ce n'est pas Isaac qui l'attend, mais un de ses amis. Un certain B., 17 ans (raison pour laquelle nous ne pouvons donner son prénom), qui l'a fait monter dans une voiture conduite par un dénommé Wesley. Inès est alors emmenée dans un appartement en location courte durée, à Aubervilliers (93), où Isaac n'apparait toujours pas. Elle comprend qu'elle ne le verra pas, pour la bonne raison qu'il est en prison et manifestement en possession d'un téléphone.
Elle comprend aussi qu'elle est là pour « bosser ». En l'occurrence, se prostituer à la chaine, pendant que B. s'occupe de recevoir les clients et collecter l'argent, et qu'Isaac gère les annonces en lignes. Avant cela, raconte-t-elle, B. exige un rapport sexuel. Il fait également venir deux amis pour les mêmes raisons, qui la tripotent, ce qui amuse beaucoup B..
Les jours suivants, les passes s'enchainent. B. lui demande de fumer des joints, « pour me mettre dans un état secondaire » et qu'elle n'oppose pas de résistance. Lorsqu'elle exprime son refus, elle reçoit des claques. « Si tu ne fais pas je vais te faire pire », lui dit-il. Elle raconte aux policiers : « Je me suis laissé faire et les clients voyaient que j'étais pas bien mais ils s'en foutaient, ils prenaient leur plaisir. »
« De temps en temps j'avais de la nourriture, j'avais des vêtements mais il voulait pas que je les lave, il voulait me faire passer pour une crasseuse. »
Et des clients, il y en a beaucoup. Six à sept par jours, qui parfois reviennent. Cinquante en tout, environ. Tarif : 50 euros pour 10 minutes. Le double pour 30 minutes. Ou encore 400 euros pour deux heures. La jeune fille raconte qu'aucun des rapports sexuels n'étaient protégés, et qu'elle avait interdiction de prendre des pilules contraceptives. « De temps en temps j'avais de la nourriture, j'avais des vêtements mais il voulait pas que je les lave, il voulait me faire passer pour une crasseuse » explique-t-elle.
Six jours après son arrivée, et le début de cet esclavage sexuel présumé, Inès est emmenée dans un autre appartement, à Bagnolet (93), pour y faire la même chose, non pas pour Isaac cette fois-ci, mais pour le compte d'un certain Yanis. Là-bas, comme dans l'appartement précédent, l'usage de son téléphone est surveillé. Mais deux jours plus tard, le 31 janvier, à la faveur d'une dispute qui éclate dans l'appartement, elle parvient à prévenir une amie par téléphone, qui elle-même prévient la police et donne son adresse.
Le 1er février, un équipage de police débarque dans l'appartement. Inès leur confirme la situation dans laquelle elle se trouve et indique que l'un de ses proxénète, B., est caché dans la salle de bain. Les policiers l'interpellent. C'est loin d'être sa première interpellation puisque ce dernier, mineur, actuellement placé en foyer, est connu pour une soixantaine de faits, notamment de vols et stupéfiants.
Un suspect arrêté, archi connu de la police
Placé en garde à vue, il nie en bloc. Fait mine de ne pas comprendre, ou de s'indigner à grands cris de « walah », jure sur sa mère. Explique qu'il était payé pour s'occuper d'Inès et avoir des rapports sexuels avec elle. Selon nos informations, les investigations supplémentaires, notamment sur la téléphonie, ont permis de confirmer les dires de la victime sur le rôle des deux mis en cause. L'enquête a également permis de constater que le dénommé Isaac, qui aux dernières nouvelles n'avait pas été identifié, avait parfaitement connaissance du jeune âge de la victime.
Les investigations viseront notamment à déterminer dans quelle mesure la victime s'est rendue à Paris dans l'idée de se prostituer, ou non.
« Les jeunes proxénètes expliquent qu'ils n'ont pas besoin de forcer ces jeunes filles, car il y en a énormément sur les réseaux sociaux qui n'attendent que ça, expliquait au Parisien, Christophe Molmy, le patron de la Brigade de protection des mineurs, en septembre 2023. Et c'est plutôt vrai : des jeunes filles vraiment forcées, frappées, torturées, il y en a très peu. Ça peut arriver, mais c'est rare, avec des profils de jeunes filles particulièrement vulnérables, et des garçons ou des jeunes filles qui profitent d'elles. La plupart des jeunes filles qui se prostituent savent ce qu'elles font. C'est un choix.» Les faits n'en demeurent pas moins d'une gravité extrême au regard de la loi et du jeune âge de la victime, qui pourrait avoir été influencée par le dénommé Isaac.
- Le prénom a été modifié
-DVG-
il y a 2 mois
Bah évidemment que ça n'a rien à voir de vendre son corps en étant consentant et se faisant vendre son corps par autrui sans son consentement. Tu serais pas un peu taré, toi, par hasard ?
T'es bien naïf Célestin.
KomiSan
il y a 2 mois
Un type qui a été exécuté parce qu'un flic a décidé qu'il était de mauvaise humeur aujourd'hui
On peut tourner autour du pot 1000 ans à la fin de la journée le policier l'a exécuté sans que ce soit justifié c'est pas plus compliqué que ça
Tu vois c'est ça qui est insupportable à gauche. Je te balance des faits et toi tu me fais une réponse idéologique avec des termes volontairement choquants et déformants. C'est pour ça que vous êtes en train de tout perdre et que plus personne ne peut vous blairer. La vérité c'est qu'un policier a fait ce pour quoi un policier est fait : mettre fin aux nuisances.
MagnaCarta181
il y a 2 mois
Les féministes attendent que le bourreau soit français pour l'ouvrir comme d'hab
N'oubliez pas : ayez peur de votre père, frère, cousin, voisin
CelestinTricard
il y a 2 mois
Grand-Pope
il y a 2 mois
whoom32
il y a 2 mois
Non l'enquête a justement pointé du doigt le fait que le policier n'était pas en danger et que sa réaction était excessive
Les enquêtes ca n'est pas le même chose que ta conviction personnelle khey
Et de toute façon on peut débattre là dessus autant que vous voulez c'est même pas le sujet
Là je répond à un khey qui compare l'affaire Nahel avec cette affaire d'esclavage sexuel, alors que ça n'a rien à voir, c'est ça le propos là
mais arrete on a tous vu la video avec le policier coincé entre le mur et la voiture
ProutAnonyme
il y a 2 mois
Tirie14_3
il y a 2 mois
RespirationAuto
il y a 2 mois
Non l'enquête a justement pointé du doigt le fait que le policier n'était pas en danger et que sa réaction était excessive
Les enquête ca n'est pas le même chose que ta conviction personnelle khey
Et de toute façon on peut débattre là dessus autant que vous voulez c'est même pas le sujet
Là je répond à un khey qui compare l'affaire Nahel avec cette affaire d'esclavage sexuel, alors que ça n'a rien à voir, c'est ça le propos là
DocTran
il y a 2 mois