Bon, t'as déjà fait un premier sophisme ridicule en affirmant que le nationalisme c'est de mourir pour des libéraux ("au profit du productivisme"le productivisme n'existe pas. Ce qui est recherché, c'est le profit.), comme si l'expérience de la Première guerre mondiale résumait le nationalisme (première guerre mondiale qui n'aurait pas eu lieu sans les traîtres républicains ayant saboté la guerre de 1870), et maintenant t'en fais un second, en fournissant une définition bien pourrie, bien vague, de la chose.

Le nationalisme, c'est surtout assurer sa subsistance et la continuation de son héritage face aux libéraux, dont les rouges sont de tout temps les sales catins - normal, ils en émergent -, qui n'ont pour horizon que le refus de l'ordre moral éternel et leur profit (ça va ensemble). Mais t'as rien lu, comme tous les gros génies qui récitent cet argument moisi recyclé mille fois : "le fachiiisme c'est le sauvetage du libéralisme en crise !!!", qui ne fonctionne que dans ce paradigme de malade mental où tout ce qui n'est pas collectiviste est libéral. Affirmation qui s'avère d'ailleurs être une grosse inversion accusatoire, puisque, comme je l'ai dit, les rouges ont émergé du libéralisme : comme les libéraux, ils sont individualistes et rejettent la loi naturelle.

Le nationalisme est une contingence qui fait surface lorsqu'il y a un ennemi désagrégateur, et la conjoncture politique actuelle l'illustre bien (même si, en vérité, le RN n'est absolument pas nationaliste).